Alix Cordouan

@galodarsac Du tragique au comique, il n’y a qu’un pas que vos alexandrins franchissent allègrement. Chapeau bas pour votre érudition doublée d’un travail d’écriture à en perdre la tête.

@Zoé Florent Cinq mots pour que tout bascule. Cinq mots pour mettre fin à quatre années de doute et d’atermoiement. C’est admirablement écrit, et l’on se sent malgré soi entraîné par la désespérance des protagonistes pour qui finalement rien ne changera jamais, quelles qu’en soient les conséquences. Merci Michèle pour ce partage émouvant. Amicalement, Jean-Bernard

@Philippe Doro Ayant donné pour cadre les années 60-70 à quelques uns de mes romans, j’ai été attiré par votre synopsis qui promettait une immersion dans ce Paris quelque peu oublié et je n’ai pas été déçu. Ça castagne sévère dans votre histoire et ça écluse itou. Rien d’étonnant, si l’on se souvient de la multitude de bistrots qui jalonnaient certaines rues de la capitale en ce temps-là et où le ballon de rouge coûtait la moitié du prix d’un diabolo menthe. Merci pour ce texte très documenté qui nous replonge avec talent dans cette époque révolue, mais néanmoins attachante.

@Gueladio Sall. Votre façon bien particulière de nous conter cette histoire, où poésie et réalisme s’épousent harmonieusement, nous entraîne dans un autre monde, votre monde. C’est ce qui fait tout le charme et l’originalité de cette lecture. Merci de nous avoir offert ce voyage dépaysant fort agréable.

@Annie Pic. J’avoue être assez éloigné de votre univers singulier, mais vous avez le rare talent de nous arracher à la réalité pour nous propulser dans des mondes chimériques dans lesquels nous finissons par sombrer le temps d’une lecture. Et si, comme vous le suggérez, nous n’étions que le fruit de notre propre création ? Poser cette question ouvre la porte à l’imaginaire que vous savez si bien exploiter, et je ne doute pas que vous en tirerez le meilleur profit pour nous offrir d’autres moments d’exception hors du temps. Amicalement, Alix.