Voici ma contribution au dernier concours de nouvelles organisé par MonBestSeller.
C'est l'histoire de Mina et de Javier, dépressif de longue date...
Bonne lecture !
@Foxyne Moon Mille mercis pour vos commentaire sensible et généreuse appréciation, chère Foxyne. Ils me ravissent une fois de plus !
Cette nouvelle m'a été inspirée par un couple de proches, avec inversion du genre. Toute l'attention de leur entourage était focalisée sur la femme dépressive, tandis que l'époux dépérissait en silence. Mais contrairement à mon héroïne, il a trouvé la force de surmonter le sentiment de culpabilité que supposait son départ, et, étonnamment, elle ne s'est pas effondrée. Elle s'est prise en main et a repris le dessus de façon pérenne. Ce sont donc bien les dépressifs que j'ai souhaité interpeller au travers de cette courte nouvelle ;-).
Merci encore et belle journée.
Très amicalement,
Michèle
La dépression ? Vaste sujet. Au départ, une fatigue passagère qui finit par s'installer, des moments lourds à porter, le noir remplace le rose, l'angoisse se glisse dans les draps, on se " désaime "... Pour celui qui la vit, c'est insupportable, ça ronge et ça dirige les jours et les nuits ; pour celui qui la côtoie, c'est la tranquillité qui s'en va, l'envie de fuir qui envahit, c'est une sangsue qui ne laisse aucune place à la joie de vivre, une impuissance que l'on pensait ne jamais connaître. Vous l'avez fort bien décrit dans cette nouvelle. Vous avez parlé du rôle difficile de l'accompagnant qui, lui aussi, souffre et qui se bat à mains nues pour survivre et ne pas s'écrouler à son tour. Une fin d'histoire surprenante, fidèle à vous même. Que nos jours soient en permanence baignés de lumière ma chère Michèle. Bonne soirée. Amicalement, Foxyne.
@Valérie-Pison Mille mercis pour vos lecture attentive et sympathique commentaire.
Les concours de nouvelles organisés par MBS et leur limitation en nombre de caractères sont un excellent exercice pour essayer de dire beaucoup en peu de mots. Je suis contente que vous ayez capté tout ce qu'il y avait à capter, en dépit de ce format limité ;-).
Merci encore et bonne fin de journée.
Amicalement,
Michèle
Bonjour @zoe florent. J’ai beaucoup aimé cette nouvelle, où Mina tergiverse, voudrait partir puis non, et si….. ? Très joli texte sur l’amour malgré les difficultés, la maladie. Jusqu’où faut-il tenir? Accompagner? Se laisser couler ou rompre le lien qui nous entraine? Voilà de quoi passer quelques longs moments de réflexion….
@Joker380 Bof... C'est chiche... Petit coup de mou ;-) ?
PS : qu'il s'agisse de bibi ou des commentateurs de cette nouvelle, vous êtes le seul à avoir fait ce lien à connotation scatologique entre une réplique et l'état d'esprit de l'héroïne... ce qui en dit long sur le vôtre, d'état d'esprit :-) !
L’archipel du Vanuatu est plus agréable que celui du Vatout. Sa mer de Corail y est moins scatologiquement polluée : ‘Démerde-toi avec, merde ! Voilà, c’est sorti. C’est fait.’ (p.5)
@Marie Fontaine Mille mercis pour votre lecture et votre commentaire délicat. Pour votre généreuse appréciation aussi.
Je lis sur votre page que vous êtes de retour après dix années d'absence. Inutile de préciser que je suis flattée que vos premiers pas vous aient amenée sur ma page ;-).
J'ai le souvenir de vous avoir lue, appréciée et commentée sous mon ancien pseudo, Lamish, il y a...
Au plaisir de découvrir vos prochains partages monbestselleriens.
Amicalement,
Michèle
Très jolie chronique d'une séparation annoncée, composée de touches impressionnistes, comme un tableau, et baignée de mots délicatement choisis, doux-amers, fleurs fragiles d'un bouquet de tristesse. Bravo !
@Wilfrid TETARD Bonjour, Wilfrid, et mille mercis pour ce commentaire flatteur qui me ravit d'autant plus venant de vous, dont je connais les exigences ;-). Mille autres pour votre généreuse appréciation.
Je suis sincèrement comblée que vous ayez aimé.
Bonne fin de journée.
Amicalement,
Michèle
Bonsoir, Zoé !
Pas fan de nouvelles mais, pour une fois, peu importe. Très difficile d'intéresser le lecteur en 9 pages, mais, ici, tout est dit. Bon, convenons que l'histoire est classique mais, comme vous le savez, de mon point de vue, le style a plus d'importance que l'histoire ; et il est là, ce style : épuré, efficace, une indéniable musicalité, des mots qui sonnent comme du cristal (ou la voix de Barbara à sa belle époque). Bref : j'aime.
Amicalement,
Wilfrid
@Michel LAURENT Bonsoir, cher Michel, et mille mercis pour ce commentaire inspiré qui me comble. Pour les étoiles chaleureuses qui l'accompagnent itou.
"Lucidité légère", voilà qui fait mouche, qui me comble aussi ;-).
Merci encore, bises et, vu l'heure, bonne nuit !
Michèle
Zoé sait comme nulle autre sonder les cœurs. Elle nous fait partager ici la désespérance d’un couple qui se défait. Le courage de dire à l’autre que le chemin s’arrête, celui de lui laisser malgré tout une dernière chance de se reprendre en main pour se rendre compte rapidement que c’est vain. Ce qui est remarquable dans l’écriture de Zoé, c’est qu’elle entretient de situations lourdes sans nous accabler, avec une sorte de lucidité légère. Du grand art. Bravo Michèle.
@Anne TALFOS Mille mercis pour vos lecture, commentaire avisé et généreuse appréciation.
Je suis ravie que ce texte court vous ai "parlé".
Au plaisir de vous lire à mon tour (dès qu'un planning un peu chargé me le permettra) et bonne fin de journée.
Amicalement,
Michèle
J ai aimé. Le courage de dire tout est fini et l'espoir malgré tout à s accrocher à croire que tout peut encore s arranger, que l autre peut changer..et la fin, les rails, le train, la seule issue ? Merci pour ce partage. Je m y reconnais presque...
@lereverdy Je comprends tout à fait, soyez rassuré, et vous souhaite une bonne navigation ponctuée de quelque agréable escale prolongée, comme celle qui m'a permis de découvrir votre belle plume ici.
Au plaisir, bien sûr, et bonne fin de journée.
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent. Merci, Zoé, de m'avoir proposé de m'aider pour la remise en ligne de "Brumes d'Ouest". Malgré l'intérêt qu'apporterait cette meilleure visibilité, je désire laisser en l'état la parution telle qu'elle navigue sur le Web avec le bouche à oreille pour affluent. Mes soucis de santé m'y incitent. Pouvoir lire et délivrer quelques commentaires restent heureusement dans mes cordes.
Merci Zoé et au plaisir de vous lire encore de nombreuses fois.
Bien amicalement.
Lereverdy
@Caroline Devivie Bonsoir, Caroline, et mille mercis de suivre pas à pas mes écrits, tout sincères mais modestes soient-ils. Mille autres pour votre commentaire avisé et les jolies étoiles associées.
J'ai un peu péché par accumulation dans ma bibliothèque virtuelle, ces derniers temps, mais l'extrait de votre roman m'a d'ores et déjà interpellée.
Je vous dis donc à bientôt et vous souhaite une belle soirée.
Amicalement,
Michèle
Bonjour Zoé, je continue la lecteur de votre oeuvre et je ne suis pas déçue ! Mina est enfermée dans un cercle infernal et le lecteur est lui aussi pris au piège. L'avertissement dans les dernières lignes est clair, pas de porte de sortie.
Amicalement,
Caroline
@Bahloul Bonjour, Mohamed, et mille mercis pour ton commentaire sensible, ton appréciation généreuse.
Je suis contente que cette nouvelle, qui se voulait plaidoyer pour personne vivant avec un (ou une) dépressif chronique, t'ait touché. On a tendance à faire toujours plus de cas de la personne initialement en souffrance, ignorant les dommages collatéraux que tu évoques... Dommages parfois irréversibles, comme dans le cas de Mina.
Merci encore, cher ami, et bonne soirée, ainsi qu'à tes proches.
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent.
C'est une nouvelle percutante, pleine d'émotions, écrite avec style et précision. C'est tout un art.
La situation de Mina n'est point une mince affaire: gérer une telle relation, qui baigne dans la dépression, avec tous les dommages collatéraux qui planent, n'est jamais évident. Heureux qui s'en sort indemne.
Bravo chère amie et merci pour l'échange.
@Woinghila Inapogui Excessif, mais je prends ;-). J'aime la concision et l'enthousiasme de votre commentaire.
Mille mercis, Woinghila, et bon week-end !
Amicalement,
Michèle
@DEC Mille mercis pour votre commentaire généreusement étoilé, Salomon.
Eh oui, cette fameuse attention qui ne fonctionne pas à sens unique ! Vous devriez conseiller votre manifeste à tout couple en détresse, du fait de l'ego dominant de l'un des deux, aussi dépressif soit-il ;-).
Merci encore et bon dimanche.
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Chère Zoé,
Je tiens à vous remercier pour ce format court, qui est mon préféré ! J'espère sincèrement que Mina et Javier finiront par réaliser la véritable signification de l'amour : l'attention.
Bien à vous.
@LAULAULA Mille mercis pour votre adorable commentaire étoilé, Laurence.
Pour ce qui est de la fin, elle revient en rappel de la réflexion de Mina, page 3, sa lucidité profitant de ce moment où son courage s'est fait la malle.
Merci encore et bon week-end.
Amicalement,
Michèle
Bravo @Zoé Florent j'ai adoré cette nouvelle... Le rythme est parfait. La situation réaliste, et décrite avec tant de profondeur comme dans chacun de vos écrits, les personnages poignants, tout comme si on y était et pourtant c'est bien de la littérature ! J'avoue cependant n'avoir pas compris la chute. J'ai relu quatre fois, en vain, pour comprendre l'allusion qui serait faite au cours du texte... Trop subtil pour moi sans doute. Bien à vous
@Alix Cordouan Bonjour, Jean-Bernard, et Mille mercis pour ce commentaire étoilé, qui me rassure particulièrement venant de vous, dont j'apprécie tant l'imagination, la plume, le style... en bref, le talent.
Eh oui, cinq petits mots pour essayer de rattraper tous ceux que l'on n'a pas su trouver avant, handicapés de la communication que nous sommes trop souvent, majoritairement ;-).
Je suis contente que cette nouvelle vous ait plu sous cette forme totalement épurée, qui privilégie l'émotion...
Merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Cinq mots pour que tout bascule.
Cinq mots pour mettre fin à quatre années de doute et d’atermoiement.
C’est admirablement écrit, et l’on se sent malgré soi entraîné par la désespérance des protagonistes pour qui finalement rien ne changera jamais, quelles qu’en soient les conséquences.
Merci Michèle pour ce partage émouvant.
Amicalement, Jean-Bernard
@Antar Abdelaziz Mille mercis pour ce nouveau commentaire sensible et bienveillant, cher Antar. Pour votre généreuse notation aussi.
Il est l'occasion pour moi de découvrir un roman de vous que je n'ai pas lu, édité sous cet autre pseudo. Je reviens vers vous dès que possible, car les priorités jouent un peu des coudes, en ce moment.
À bientôt, merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Bonjour chère Michèle ! Je viens de lire avec plaisir votre nouvelle. Comme toujours, avec ce style à minima qui colle parfaitement au sujet, sans grandiloquence, vous nous inoculez la lassitude de Mina qui, par votre magie, devient la nôtre. Le regard lucide qu'elle pose sur elle-même nous est palpable et nous fait ressentir toute sa lâcheté. Tellement de couples sont dans cette situation, se débattent, espèrent un lendemain meilleur, et à la fin, n'y croient plus. Faute de courage, ils se résignent. Merci donc d'avoir partagé avec nous ce morceau de vie qui mérite incontestablement les cinq étoiles que je vous décerne. En attendant le plaisir de lire de vous un autre texte, je vous souhaite une très belle journée ! Antar.
@A.P. Gounon Oui, on peut tout imaginer, chère Anne, y compris une issue heureuse, même si, pour les besoins de cette nouvelle, elle peut paraître mal engagée. En tout cas, c'est ce que m'a toujours démontré la vie, à conditions de ne pas baisser les bras ;-).
Mille mercis pour ton commentaire aussi aimable que flatteur, bises et bon week-end,
Michèle
@ Zoé Florent. Après Le bikini rose, encore une nouvelle très émouvante et très réussie. Le style sec et haché que tu as adopté nous communique parfaitement l'angoisse de Mina qui étouffe devant une situation sans issue. Pauvre Mina, pauvre Javier. Ils sont campés avec tant de subtilité qu'on souffre avec eux...La chute est logique, mais, après tout, on peut aussi espérer la guérison ...
Bravo et bises chère Michèle. Anne
@Parthemise33 C'est en route pour la campagne que je réceptionne ton adorable commentaire, tes chaleureuses étoiles, qui réchauffent cette journée pluvieuse.
Mille mercis, chère Annie !
Bises et bon week-end,
Michèle
@Zoé Florent Chère Michèle, Suis-je une de tes thuriféraires bêlantes ? Une espèce de béni-oui-oui anencéphale ? Eh bien non. Je suis une lectrice qui apprécie tes écrits. Malgré le canevas contraint du concours, tu nous présentes, avec ton style fait de souplesse et de précision, encore une histoire taillé au scalpel. Tes écorchés vifs de la vie pourraient être nos soeurs (ou nos frères) tant ils nous paraissent proches. Pour résumer sans divulgâcher, je dirai que c'est une nouvelle dure, ciselée avec ta finesse de coeur et d'esprit, comme j'aime en lire sous ta plume. Merci Bisous Merci pour cette lecture
@Pierre d'Arlet Mille mercis pour votre sympathique commentaire, Pierre.
Je vous rassure, si certains de mes proches ou de mes collègues l'ont vécu, j'ai la chance d'avoir échappé à ce piège infernal, nommé burn-out, tout comme vous. Peut-être n'ai-je jamais eu assez de neurones en bon état itou ;-) ?
Merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Je n'ai plus assez de neurones en bon état pour faire un burn-out, et j'en remercie le ciel!
La nouvelle est bien écrite, avec talent, mais je n'en ferai pas un livre de chevet... trop triste!
@JeanPignon2 Votre commentaire me touche puisqu'il confirme que "Le va-tout" a su créer cette proximité dont je vous ai parlé dans mon appréciation sur "En terre rouge".
Mille mercis pour vos étoiles chaleureuses et bon dimanche.
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Du tout va les jours heureux au va-tout lorsque le thème du "je t'aime" est écorné, le récit qui en est fait est réaliste et bien rendu. Bravo Zoé.
C'est poignant.
Encore une fois, je me reconnais dans vos écrits, je suppose que tous vos lecteurs ressentent les mêmes émotions en vous lisant. Terribles situations que résonnent en moi, ma vie passée et présente. Je me sens moins seul, grâce à vous.
@AUDRAS Frédéric Mille mercis pour votre retour et vos encouragements qui me touchent, Frédéric. Je lutte pour continuer, contre vents et marées de tout acabit, promis ;-) !
J'ai vu que vous avez souscrit un pack Prem's et mis en ligne votre nouvelle qui avait disparu. Je n'ai plus le commentaire que je vous avais laissé, mais je vais essayer de m'en souvenir, quitte à la relire une deuxième fois, car j'en garde assurément un bon souvenir.
Merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Merci pour cette nouvelle qui conjugue émotions retenues et tension dramatique. Un dialogue intérieur de la narratrice inspirant.
Je découvre avec plaisir toutes vos nouvelles sur ce site, continuez !
@Fernand Fallou Mille mercis pour ton passage étoilé sur cette page, cher chevalier blanc ;-). Et mille autres pour te soucier de mon état d'esprit, mais je te rassure : je vais bien. Très bien même, et comme chaque nuit, j'ai dormi comme un bébé.
J'ai toujours trouvé un Dinghy, même dans les situations les plus improbables, pour ne jamais descendre en-dessous de ma ligne de flottaison.
En 2015, il a pris la forme d'un clavier, d'une amitié avec feu mon ami Bossy, qui me sauvèrent du naufrage en 2016, année où, comme Mina, j'avoue avoir filé un mauvais coton... Depuis, et peu m'importe ceux que cela défrise, je ne le lâche plus, tandis que mon ami continue de m'accompagner par la pensée.
Quant aux rêveurs qui imaginent encore pouvoir m'en priver, de ce clavier, ils ne savent pas quel service il m'ont rendu en m'apprenant à relativiser, puis à me blinder... avec discernement, bien sûr ;-).
Merci encore et belle journée à toi, à ta compagne.
Bisous à vous deux,
Michèle
@Zoé Florent
ma chère Michele, d’abord l’histoire cette jeune fille qui est attirée dans un guet-apens et maintenant cette triste histoire à la triste fin avec cette Garcia qui est sûrement la bonne femme à la faucille. Il ne faut pas suivre ses conseils. Même si tes textes sont bien écrits et se lisent facilement cela dénote un esprit qui surnage au-dessous de la ligne de flottaison.
Symptôme : un coup de fatigue – remède : un peu de repos
Et si ça ne te fait pas de bien, ca ne peut pas te faire de mal.
Bisous.
@Alhéna Skat Décidément, Mina et Javier font mouche, même si la mouche en question évoque la triste ritournelle des difficultés de s'épanouir en couple.
Mille mercis à vous deux. Vos mots, votre sensibilité, me touchent, une fois de plus.
À bientôt, je l'espère, pour lire la suite de "L'enfant du péché"... Ne nous faites pas trop languir ;-) !
Bises chaleureuses, affectueuses,
Michèle
@Zoé Florent
Je vois à l’instant que vous avez déposé la nouvelle « Le va-tout »
Cette histoire percutante est malheureusement trop courante à notre époque. Les mots sont faits pour être dits sans se rendre compte de l’impact qu’ils peuvent amener chez l’autre.
Ces 3 mots, « je te quitte » représentatifs d’un abandon définitif, vont créer une fin à laquelle on ne s’attendait pas… mais que je ne vais pas dévoiler…
Ce beau texte est à méditer pour pouvoir se rendre compte de la difficulté de vie des couples dont l’un est « à la traîne ».
Félicitations, comme d’habitude. Gros bisous dont mon cœur ♥️ déborde.
///// Bonsoir Zoé,
J’ai lu votre texte et j’ai eu la vision de la dissection à vif d’un couple ! Cruel, cynique et tellement vrai !
J’ai noté une phrase que j’aurai aimé savoir écrire : « … raflant les miettes d’un courage en déliquescence… ».
À bientôt…
Amicalement,
Jan
@Annie Pic Bonjour chère Annie,
Quel plaisir de trouver ce midi ton commentaire étoilé, qui embellit une journée déjà très ensoleillée ! Merci, mille mercis !
Une fois de plus, et en dépit de nos genres littéraires différents, nous sommes en phase... Une fois de plus, cela me ravit.
Belle et bonne fin de journée également.
Bises,
Michèle
Chère Michèle / Écrite comme un scénario, cette nouvelle m'a interpellée.
Les mots sont forts, brulants, la souffrance transpire en phrases saccadées.
L'alternance entre espoir et désespoir, tout est dit. La fin de Mina se faufile et se grave dans l'enfer de sa lassitude.
Bravo Michèle, fidèle à toi-même tu donnes en quelques pages, le contexte, l'épreuve, et le dénouement inattendu.
Belle journée à toi, bises, Annie
Bonsoir, @JP LAURIER.
Je suis bien d'accord avec vous : le moins que l'on puisse conclure est que ce texte ne respire pas le bonheur. Il témoigne de l'épuisement face au gâchis. Un gâchis que j'observe trop souvent, d'où cette forme pessimiste que je voulais percutante, dans un but dissuasif.
Sinon, bien sûr que je ne vous tiens pas l'ombre d'une rigueur, et c'est moi qui vous remercie pour ce commentaire sensible qui, sincèrement, me ravit.
Bonne soirée. Amicalement,
Michèle
@alban paulh Une menace, car cette technique de la terre brûlée, croyez-moi, a déjà fait pas mal de dommages ici et poussé à fuir des auteurs pourtant talentueux...
Merci pour votre complément de réponse qui me rassure ;-).
Bonsoir @Zoé-Florent, c'est vrai que ce texte ne respire pas le bonheur... Il me semble qu'il est malheureusement d'actualité et ne laisse à l'espoir qu'une toute petite place. Les mots sont durs, ils font mal mais ils décrivent parfaitement ce genre de situation sans issue... Le style que vous adoptez est approprié. Moi qui préfère les belles histoires d'amour, les jolis mots, les sourires et les rires, j'ai un peu de mal à noter. Mais je sais que vous ne m'en tiendrez pas rigueur alors je m'abstiens et vous remercie pour ce partage...merci encore, Michèle...pour tout
@alban paulh Heureuse de vous retrouver sur ma page, cher Alban ; heureuse que vous ayez apprécié cette nouvelle.
Mille mercis pour votre commentaire judicieux, vos chaleureuses étoiles. Je les engrange là où il se doit : du côté du coeur.
Pour le reste, vous avez tellement raison ! Pratiquer l'olibrius pendant six ans, je vous assure que ça vaut toutes les écoles du Zen ;-)... Mais voilà que déjà la menace plane sur vous pour avoir contrarié sa seigneurie... Vous m'en voyez désolée.
Merci encore et bonne soirée !
Amitiés,
Michèle
@Michel CANAL Mille mercis, cher Michel, car tu résumes parfaitement ce qui a motivé mes choix, lors de la rédaction de ce texte court.
Quoi que j'écrive, je vise l'immersion rapide du lecteur et évite pour ce faire circonvolutions et emphase ; du simple, du brut, du droit au but, encore plus marqués lorsqu'il s'agit d'une nouvelle à nombre de caractères limité.
Ça a fonctionné avec toi, avec d'autres amis qui ont lu cette nouvelle, et cela me suffit. Toi qui me connais bien, tu sais mon aversion pour les projecteurs, alors ceux de pacotille ;-)...
Quant à l'aigrefin de service, il y a belle lurette que sa prose ampoulée m'a lassée, tout comme ses commentaires orientés (quand il ne sont pas irrespectueux)... Il me fait bâiller, tant il rabâche.
Merci encore pour ton adorable commentaire, tes étoiles...
Bises et bonne journée,
Michèle
@Zoé Florent, et oui, me voilà pour ne pas décevoir l'aigrefin de service, l'empêcheur de tourner en rond, celui qui vient juste pour torpiller les auteurs pour lesquels sa rancoeur est tenace, maladive. Il s'agit d'un appel à l'écriture, d'une nouvelle au nombre de caractères limité. Ce que tu voulais exprimer, tu l'as fait avec le rythme et le style qui conviennent... Rythme saccadé d'une femme à bout, déterminée à la rupture ; une rupture pas facile car Javier souffre d'une dépression, de faiblesses qu'il ne peut maîtriser. Style du langage parlé d'une femme en colère qui a beaucoup hésité et s'est forcée pour prononcer ces cinq mots sans faire face : « Je vais devoir te quitter ». Tu as parfaitement traduit la situation entre Mina et Javier. On est en tant que lecteur pris dans la tourmente. Chercher un style littéraire comme le suggère l'olibrius aurait été une profonde erreur. Le talent d'un auteur est de savoir traduire une situation avec les mots appropriés... c'est réussi jusqu'à la chute sur ce quai, tout près des rails. Bravo ! Michèle, ton talent se mesure à l'aune de ton évolution depuis que nous avons fait nos premiers pas ici-même en 2015. Que dirait-on d'un compositeur qui ne saurait imprimer la mélodie à ses créations ? La caravane passe, le chien aboie... laisse-le aboyer. Avec toute ma sympathie face aux basses besognes de ton détracteur qui ne sait plus qui il est ni où il habite tant il a usé de pseudos et d'avatars.
@galodarsac Mille mercis de te risquer à commenter cette nouvelle le premier, Patrick (même si une forme de routine aide à ne plus faire cas de l'aigrefin de service ;-)). Mille autres pour tes lecture, adorable commentaire et généreuse notation.
Comme je te l'ai écrit en privé, ce texte court se veut plaidoyer pour compagnes et compagnons de personnes dépressives. Un sujet qui revient souvent dans mes écrits, tu as raison. Il a même fait l'objet d'un écrit exutoire en 2016, "Ultime procès"... ce qui me permet d'apprécier, et ta mémoire éléphantesque ;-), et ta réelle implication de lecteur.
Heureusement, dans la réalité, l'issue n'est pas toujours aussi noire, et la relation peut perdurer dans un nouvel équilibre, quotidiennement, soigneusement entretenu par deux protagonistes aussi échaudés qu'éclairés... et ainsi va la vie, belle, au demeurant :-) !
Merci encore, bises et bonne journée !
Michèle
Voilà un récit à ne pas lire un jour de dépression ! Ambiance un peu noire, on ne voit pas d'issue... Petite parenthèse, me trompé-je ou retrouve-t-on des ici deux personnage d'un autre de tes romans, hélas disparu du site ? Ma mémoire me le murmure, mais elle me joue parfois des tours... Bravo en tout cas pour cette nouvelle courte mais percutante (sans jeu de mots facile...)
Publié le 02 Octobre 2023
Zoé Florent
Biographie
"Si tu éprouves le désir d'écrire, et nul autre que l'Esprit n'en détient le secret, tu dois maîtriser connaissance, art et...
Ce livre est noté par
@Foxyne Moon Mille mercis pour vos commentaire sensible et généreuse appréciation, chère Foxyne. Ils me ravissent une fois de plus !
Cette nouvelle m'a été inspirée par un couple de proches, avec inversion du genre. Toute l'attention de leur entourage était focalisée sur la femme dépressive, tandis que l'époux dépérissait en silence. Mais contrairement à mon héroïne, il a trouvé la force de surmonter le sentiment de culpabilité que supposait son départ, et, étonnamment, elle ne s'est pas effondrée. Elle s'est prise en main et a repris le dessus de façon pérenne. Ce sont donc bien les dépressifs que j'ai souhaité interpeller au travers de cette courte nouvelle ;-).
Merci encore et belle journée.
Très amicalement,
Michèle
@Valérie-Pison Mille mercis pour vos lecture attentive et sympathique commentaire.
Les concours de nouvelles organisés par MBS et leur limitation en nombre de caractères sont un excellent exercice pour essayer de dire beaucoup en peu de mots. Je suis contente que vous ayez capté tout ce qu'il y avait à capter, en dépit de ce format limité ;-).
Merci encore et bonne fin de journée.
Amicalement,
Michèle
Bonjour @zoe florent. J’ai beaucoup aimé cette nouvelle, où Mina tergiverse, voudrait partir puis non, et si….. ? Très joli texte sur l’amour malgré les difficultés, la maladie. Jusqu’où faut-il tenir? Accompagner? Se laisser couler ou rompre le lien qui nous entraine? Voilà de quoi passer quelques longs moments de réflexion….
@Joker380 Re-bof, cher "humoriste" anonyme...
Les premiers lecteurs auraient-ils parcouru ce grand texte d’une fesse distraite ?
@Joker380 Bof... C'est chiche... Petit coup de mou ;-) ?
PS : qu'il s'agisse de bibi ou des commentateurs de cette nouvelle, vous êtes le seul à avoir fait ce lien à connotation scatologique entre une réplique et l'état d'esprit de l'héroïne... ce qui en dit long sur le vôtre, d'état d'esprit :-) !
L’archipel du Vanuatu est plus agréable que celui du Vatout. Sa mer de Corail y est moins scatologiquement polluée : ‘Démerde-toi avec, merde ! Voilà, c’est sorti. C’est fait.’ (p.5)
@Nina Martins Mille mercis pour votre commentaire encourageant et les coeurs associés.
Bonne soirée. Amicalement,
Michèle
@Marie Fontaine Mille mercis pour votre lecture et votre commentaire délicat. Pour votre généreuse appréciation aussi.
Je lis sur votre page que vous êtes de retour après dix années d'absence. Inutile de préciser que je suis flattée que vos premiers pas vous aient amenée sur ma page ;-).
J'ai le souvenir de vous avoir lue, appréciée et commentée sous mon ancien pseudo, Lamish, il y a...
Au plaisir de découvrir vos prochains partages monbestselleriens.
Amicalement,
Michèle
@Wilfrid TETARD Bonjour, Wilfrid, et mille mercis pour ce commentaire flatteur qui me ravit d'autant plus venant de vous, dont je connais les exigences ;-). Mille autres pour votre généreuse appréciation.
Je suis sincèrement comblée que vous ayez aimé.
Bonne fin de journée.
Amicalement,
Michèle
@JOHANELLE Mille mercis pour vos lecture et aimable commentaire.
Bon week-end. Amicalement,
Michèle
Belle nouvelle sur un des points cruciaux de la vie, celui de la séparation !
@Michel LAURENT Bonsoir, cher Michel, et mille mercis pour ce commentaire inspiré qui me comble. Pour les étoiles chaleureuses qui l'accompagnent itou.
"Lucidité légère", voilà qui fait mouche, qui me comble aussi ;-).
Merci encore, bises et, vu l'heure, bonne nuit !
Michèle
@Anicia DESJARDINS Mille mercis, Anicia ! Bonne continuation à vous aussi et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
Merci pour votre récit qui doit parlé à tout ce qui ce sont séparés un jour. On se sent moins seul.
Bonne continuation sur le chemin de l'écriture.
@Anne TALFOS Mille mercis pour vos lecture, commentaire avisé et généreuse appréciation.
Je suis ravie que ce texte court vous ai "parlé".
Au plaisir de vous lire à mon tour (dès qu'un planning un peu chargé me le permettra) et bonne fin de journée.
Amicalement,
Michèle
@lereverdy Je comprends tout à fait, soyez rassuré, et vous souhaite une bonne navigation ponctuée de quelque agréable escale prolongée, comme celle qui m'a permis de découvrir votre belle plume ici.
Au plaisir, bien sûr, et bonne fin de journée.
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent. Merci, Zoé, de m'avoir proposé de m'aider pour la remise en ligne de "Brumes d'Ouest". Malgré l'intérêt qu'apporterait cette meilleure visibilité, je désire laisser en l'état la parution telle qu'elle navigue sur le Web avec le bouche à oreille pour affluent. Mes soucis de santé m'y incitent. Pouvoir lire et délivrer quelques commentaires restent heureusement dans mes cordes.
Merci Zoé et au plaisir de vous lire encore de nombreuses fois.
Bien amicalement.
Lereverdy
@Caroline Devivie Bonsoir, Caroline, et mille mercis de suivre pas à pas mes écrits, tout sincères mais modestes soient-ils. Mille autres pour votre commentaire avisé et les jolies étoiles associées.
J'ai un peu péché par accumulation dans ma bibliothèque virtuelle, ces derniers temps, mais l'extrait de votre roman m'a d'ores et déjà interpellée.
Je vous dis donc à bientôt et vous souhaite une belle soirée.
Amicalement,
Michèle
@Bahloul Bonjour, Mohamed, et mille mercis pour ton commentaire sensible, ton appréciation généreuse.
Je suis contente que cette nouvelle, qui se voulait plaidoyer pour personne vivant avec un (ou une) dépressif chronique, t'ait touché. On a tendance à faire toujours plus de cas de la personne initialement en souffrance, ignorant les dommages collatéraux que tu évoques... Dommages parfois irréversibles, comme dans le cas de Mina.
Merci encore, cher ami, et bonne soirée, ainsi qu'à tes proches.
Amicalement,
Michèle
@Rezkallah Et moi, je kiffe ton com' percutant comme les étoiles qui l'accompagnent ;-) !
Mille mercis, bises et bonne soirée,
Michèle
@Woinghila Inapogui Excessif, mais je prends ;-). J'aime la concision et l'enthousiasme de votre commentaire.
Mille mercis, Woinghila, et bon week-end !
Amicalement,
Michèle
@DEC Mille mercis pour votre commentaire généreusement étoilé, Salomon.
Eh oui, cette fameuse attention qui ne fonctionne pas à sens unique ! Vous devriez conseiller votre manifeste à tout couple en détresse, du fait de l'ego dominant de l'un des deux, aussi dépressif soit-il ;-).
Merci encore et bon dimanche.
Amicalement,
Michèle
@LAULAULA Mille mercis pour votre adorable commentaire étoilé, Laurence.
Pour ce qui est de la fin, elle revient en rappel de la réflexion de Mina, page 3, sa lucidité profitant de ce moment où son courage s'est fait la malle.
Merci encore et bon week-end.
Amicalement,
Michèle
@Alix Cordouan Bonjour, Jean-Bernard, et Mille mercis pour ce commentaire étoilé, qui me rassure particulièrement venant de vous, dont j'apprécie tant l'imagination, la plume, le style... en bref, le talent.
Eh oui, cinq petits mots pour essayer de rattraper tous ceux que l'on n'a pas su trouver avant, handicapés de la communication que nous sommes trop souvent, majoritairement ;-).
Je suis contente que cette nouvelle vous ait plu sous cette forme totalement épurée, qui privilégie l'émotion...
Merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
@Pascal Renaudineau Mille mercis !
Amicalement,
Michèle
Bravo !
@Antar Abdelaziz Mille mercis pour ce nouveau commentaire sensible et bienveillant, cher Antar. Pour votre généreuse notation aussi.
Il est l'occasion pour moi de découvrir un roman de vous que je n'ai pas lu, édité sous cet autre pseudo. Je reviens vers vous dès que possible, car les priorités jouent un peu des coudes, en ce moment.
À bientôt, merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
@Philippe Clausels Mille mercis pour tes lecture, gentil commentaire et belles étoiles scintillantes !
Bises et bonne soirée,
Michèle
@A.P. Gounon Oui, on peut tout imaginer, chère Anne, y compris une issue heureuse, même si, pour les besoins de cette nouvelle, elle peut paraître mal engagée. En tout cas, c'est ce que m'a toujours démontré la vie, à conditions de ne pas baisser les bras ;-).
Mille mercis pour ton commentaire aussi aimable que flatteur, bises et bon week-end,
Michèle
@ Zoé Florent. Après Le bikini rose, encore une nouvelle très émouvante et très réussie. Le style sec et haché que tu as adopté nous communique parfaitement l'angoisse de Mina qui étouffe devant une situation sans issue. Pauvre Mina, pauvre Javier. Ils sont campés avec tant de subtilité qu'on souffre avec eux...La chute est logique, mais, après tout, on peut aussi espérer la guérison ...
Bravo et bises chère Michèle. Anne
@Parthemise33 C'est en route pour la campagne que je réceptionne ton adorable commentaire, tes chaleureuses étoiles, qui réchauffent cette journée pluvieuse.
Mille mercis, chère Annie !
Bises et bon week-end,
Michèle
@Pierre d'Arlet Mille mercis pour votre sympathique commentaire, Pierre.
Je vous rassure, si certains de mes proches ou de mes collègues l'ont vécu, j'ai la chance d'avoir échappé à ce piège infernal, nommé burn-out, tout comme vous. Peut-être n'ai-je jamais eu assez de neurones en bon état itou ;-) ?
Merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Je n'ai plus assez de neurones en bon état pour faire un burn-out, et j'en remercie le ciel!
La nouvelle est bien écrite, avec talent, mais je n'en ferai pas un livre de chevet... trop triste!
@Annabelle Markarian Mille mercis pour vos commentaire adorable, avisé, et généreuse appréciation.
Bonne semaine.
Amicalement,
Michèle
@JeanPignon2 Votre commentaire me touche puisqu'il confirme que "Le va-tout" a su créer cette proximité dont je vous ai parlé dans mon appréciation sur "En terre rouge".
Mille mercis pour vos étoiles chaleureuses et bon dimanche.
Amicalement,
Michèle
@lereverdy Mille mercis pour vos lecture et sympathique commentaire.
Bon dimanche.
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Du tout va les jours heureux au va-tout lorsque le thème du "je t'aime" est écorné, le récit qui en est fait est réaliste et bien rendu. Bravo Zoé.
@AUDRAS Frédéric Mille mercis pour votre retour et vos encouragements qui me touchent, Frédéric. Je lutte pour continuer, contre vents et marées de tout acabit, promis ;-) !
J'ai vu que vous avez souscrit un pack Prem's et mis en ligne votre nouvelle qui avait disparu. Je n'ai plus le commentaire que je vous avais laissé, mais je vais essayer de m'en souvenir, quitte à la relire une deuxième fois, car j'en garde assurément un bon souvenir.
Merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Merci pour cette nouvelle qui conjugue émotions retenues et tension dramatique. Un dialogue intérieur de la narratrice inspirant.
Je découvre avec plaisir toutes vos nouvelles sur ce site, continuez !
@Fernand Fallou Mille mercis pour ton passage étoilé sur cette page, cher chevalier blanc ;-). Et mille autres pour te soucier de mon état d'esprit, mais je te rassure : je vais bien. Très bien même, et comme chaque nuit, j'ai dormi comme un bébé.
J'ai toujours trouvé un Dinghy, même dans les situations les plus improbables, pour ne jamais descendre en-dessous de ma ligne de flottaison.
En 2015, il a pris la forme d'un clavier, d'une amitié avec feu mon ami Bossy, qui me sauvèrent du naufrage en 2016, année où, comme Mina, j'avoue avoir filé un mauvais coton... Depuis, et peu m'importe ceux que cela défrise, je ne le lâche plus, tandis que mon ami continue de m'accompagner par la pensée.
Quant aux rêveurs qui imaginent encore pouvoir m'en priver, de ce clavier, ils ne savent pas quel service il m'ont rendu en m'apprenant à relativiser, puis à me blinder... avec discernement, bien sûr ;-).
Merci encore et belle journée à toi, à ta compagne.
Bisous à vous deux,
Michèle
@Alhéna Skat Décidément, Mina et Javier font mouche, même si la mouche en question évoque la triste ritournelle des difficultés de s'épanouir en couple.
Mille mercis à vous deux. Vos mots, votre sensibilité, me touchent, une fois de plus.
À bientôt, je l'espère, pour lire la suite de "L'enfant du péché"... Ne nous faites pas trop languir ;-) !
Bises chaleureuses, affectueuses,
Michèle
@Annie Pic Bonjour chère Annie,
Quel plaisir de trouver ce midi ton commentaire étoilé, qui embellit une journée déjà très ensoleillée ! Merci, mille mercis !
Une fois de plus, et en dépit de nos genres littéraires différents, nous sommes en phase... Une fois de plus, cela me ravit.
Belle et bonne fin de journée également.
Bises,
Michèle
Bonsoir, @JP LAURIER.
Je suis bien d'accord avec vous : le moins que l'on puisse conclure est que ce texte ne respire pas le bonheur. Il témoigne de l'épuisement face au gâchis. Un gâchis que j'observe trop souvent, d'où cette forme pessimiste que je voulais percutante, dans un but dissuasif.
Sinon, bien sûr que je ne vous tiens pas l'ombre d'une rigueur, et c'est moi qui vous remercie pour ce commentaire sensible qui, sincèrement, me ravit.
Bonne soirée. Amicalement,
Michèle
@alban paulh Une menace, car cette technique de la terre brûlée, croyez-moi, a déjà fait pas mal de dommages ici et poussé à fuir des auteurs pourtant talentueux...
Merci pour votre complément de réponse qui me rassure ;-).
Bonsoir @Zoé-Florent, c'est vrai que ce texte ne respire pas le bonheur... Il me semble qu'il est malheureusement d'actualité et ne laisse à l'espoir qu'une toute petite place. Les mots sont durs, ils font mal mais ils décrivent parfaitement ce genre de situation sans issue... Le style que vous adoptez est approprié. Moi qui préfère les belles histoires d'amour, les jolis mots, les sourires et les rires, j'ai un peu de mal à noter. Mais je sais que vous ne m'en tiendrez pas rigueur alors je m'abstiens et vous remercie pour ce partage...merci encore, Michèle...pour tout
@alban paulh Heureuse de vous retrouver sur ma page, cher Alban ; heureuse que vous ayez apprécié cette nouvelle.
Mille mercis pour votre commentaire judicieux, vos chaleureuses étoiles. Je les engrange là où il se doit : du côté du coeur.
Pour le reste, vous avez tellement raison ! Pratiquer l'olibrius pendant six ans, je vous assure que ça vaut toutes les écoles du Zen ;-)... Mais voilà que déjà la menace plane sur vous pour avoir contrarié sa seigneurie... Vous m'en voyez désolée.
Merci encore et bonne soirée !
Amitiés,
Michèle
@Michel CANAL Mille mercis, cher Michel, car tu résumes parfaitement ce qui a motivé mes choix, lors de la rédaction de ce texte court.
Quoi que j'écrive, je vise l'immersion rapide du lecteur et évite pour ce faire circonvolutions et emphase ; du simple, du brut, du droit au but, encore plus marqués lorsqu'il s'agit d'une nouvelle à nombre de caractères limité.
Ça a fonctionné avec toi, avec d'autres amis qui ont lu cette nouvelle, et cela me suffit. Toi qui me connais bien, tu sais mon aversion pour les projecteurs, alors ceux de pacotille ;-)...
Quant à l'aigrefin de service, il y a belle lurette que sa prose ampoulée m'a lassée, tout comme ses commentaires orientés (quand il ne sont pas irrespectueux)... Il me fait bâiller, tant il rabâche.
Merci encore pour ton adorable commentaire, tes étoiles...
Bises et bonne journée,
Michèle
@galodarsac Mille mercis de te risquer à commenter cette nouvelle le premier, Patrick (même si une forme de routine aide à ne plus faire cas de l'aigrefin de service ;-)). Mille autres pour tes lecture, adorable commentaire et généreuse notation.
Comme je te l'ai écrit en privé, ce texte court se veut plaidoyer pour compagnes et compagnons de personnes dépressives. Un sujet qui revient souvent dans mes écrits, tu as raison. Il a même fait l'objet d'un écrit exutoire en 2016, "Ultime procès"... ce qui me permet d'apprécier, et ta mémoire éléphantesque ;-), et ta réelle implication de lecteur.
Heureusement, dans la réalité, l'issue n'est pas toujours aussi noire, et la relation peut perdurer dans un nouvel équilibre, quotidiennement, soigneusement entretenu par deux protagonistes aussi échaudés qu'éclairés... et ainsi va la vie, belle, au demeurant :-) !
Merci encore, bises et bonne journée !
Michèle