Annie Pic

Biographie

L'écriture, c'est un art très personnel.
Son pouvoir m'a permis à chaque étape de ma vie, d'élaborer mes pensées.
Je me passionne pour tout ce qui se confond avec l’imaginaire.
Peu importe où le délire, entre le rationnel et l'irrationnel, entraîne ma plume.

Annie Pic a noté ces livres

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Bonjour Paul Arte. Hasard et chance ! Dans votre livre, vous opposez ces deux mots avec une mauvaise foi certaine. Vous sacrifiez les contreforts d'une structure morale aux dépens d'une existence faite de manipulation jubilatoire. À mon humble avis, je pense que "Le voleur de chance" se perd un peu dans tous les genres, peut-être aussi, dans les longueurs des méandres tactiques du ballon ovale, des turfistes, etc, au détriment du grain de sel fantastique annoncé dans le synopsis. Chaque partie pourrait presque se suffire à elle-même et développer indépendamment sa propre histoire. J'ai particulièrement relevé la sagacité de votre plume, directe, sans ambages, et votre univers, somme toute peu éloigné du mien. Avec ma complicité d'auteur, Annie
Publié le 08 Août 2020
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Bonjour Bruno Verdin. À travers cette longue litanie, noyée sous pléthore de mots, j'ai perçu l'effervescence d'une âme meurtrie. Une ode à l'amour bien compliquée, difficile à cerner. Pour mon goût personnel, je pense que votre prose mériterait d'être plus disciplinée, plus aérée. Trop de paroles énigmatiques, de flots incontrôlés, peuvent nuire au propos. Toutefois, je n'ai pas été insensible à votre univers décalé. Amicalement, Annie
Publié le 04 Août 2020
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Bonjour Philippe RIBAGNAC. Votre travail d'information est remarquable. En vous appuyant sur une forte documentation, vous disséquez avec méthodologie un au-delà du possible. C'est un vaste programme. Notre propre chaos serait ce corps de matière qui nous conduit irréversiblement vers la fin de notre existence. Est-ce une absurdité ou bien au contraire l'accomplissement de l'immortalité ? Mais que devient notre conscience ? Un électron libre dans le temps et l'espace ? À l'ère des ordinateurs quantiques, nous faisons de plus en plus le rapprochement avec ces algorithmes qui les régissent. Notre propre programme serait-il en concordance avec celui intégré à ces machines ? Auront-elles un jour une conscience ? Ou comme vous le suggérez, elles se limiteront à une téléportation quantique de nos esprits ? Mais est-ce vraiment ce que désire l'âme humaine ? Cette entité qui nous habite, voudra-t-elle se laisser capturer ? J'ai apprécié cette approche sous forme de débat. Bien à vous. Annie
Publié le 02 Août 2020
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Bonjour Kroussar, je découvre avec horreur jusqu'où peut aller la corruption, la lâcheté, la cruauté des hommes. Vous usez de votre parfaite connaissance du Cambodge, de l'empire khmer, pour dévoiler les magouilles politiciennes, l'ingérence américaine, puis Russe, Chinoise... et des français qui ne sont pas les plus reluisants. Au fil de votre roman l'angoisse monte, vous avez l'art de la plume pour décrire des scènes à peine supportables. La précision de votre récit m'a entraînée aux confins de la barbarie, au-delà du réel. Heureusement parmi toute cette vision d'horreur, une belle histoire d'amour se dessine. Ce superbe mariage aux traditions ancestrales avec Tiane, au demeurant tragique, mais qui a porté un fruit. Un enfant, par malheur, brève fut son existence. Toujours au Cambodge, une autre romance suivra faite de bonheur et de joie. Cher Kroussar, la résilience vous habite et à l'heure du bilan, vous avez osé avouer les derniers secrets qui vous rongent. Merci pour ce partage très enrichissant. Bien à vous. Annie
Publié le 31 Juillet 2020
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Bonjour Lys Jean-Luc, la construction de votre ouvrage est en accord avec votre intention. C'est d''une plume chirurgicale que vous dressez un tableau de haute volée. Chaque personnage est en soi le complément des autres postulants, et avec habileté vous dévoilez leurs failles à bon escient. Le constat final est assez glaçant. Il nous laisse entrevoir comment notre humanité pourrait glisser dans un futur qui ne serait pas des plus reluisant. Amicalement, Annie
Publié le 22 Juillet 2020

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