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Synopsis
Dans toute guerre, on nous cache l'histoire, on occulte les intérêts et tout ce qui dérange. Car il y a toujours deux histoires : L’histoire officielle, menteuse ; L’histoire secrète, où se cachent les véritables causes des événements.
Ce roman nous plonge au cœur de secrets bien gardés et cachés depuis très longtemps par les États Occidentaux, ceux-là même qui provoquèrent un chaos de trente années au Royaume du sourire.
Selon les lecteurs : "Plus qu'un roman, c'est d'abord un témoignage bouleversant, une histoire d'amour, un récit qui surprend par la force qu'il porte, et lève le voile sur la honteuse géopolitique occidentale".
https://www.youtube.com/watch?v=KSQoVTahcak
(pour ceux qui veulent découvrir "La Longue Quête" en cinq minutes).
Temps de lecture estimé : 5 heures.
Publié le 11 Juin 2018
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Kroussar
Biographie
Ex-Officier supérieur de l'Armée de l'Air française, je me suis battu toute ma vie, pour faire éclater la vérité !
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Ce livre est noté par
@Saphyrah
Merci également à vous, pour avoir pris le temps de découvrir cette histoire méconnue.
Très cordialement, Jean-Claude dit Kroussar.
@Sophia Desliet
Je vous remercie pour votre commentaire qui me touche vraiment.
Effectivement, c'est une double et interminable quête, à la fois pour retrouver le bonheur, et faire connaître les actes odieux des Occidentaux dans ce chaos de 30 années...
Très amicalement, Jean-Claude dit Kroussar.
@alban paulh
Les mots me manquent pour vous remercier. Et je suis très touché par votre analyse fine et subtile qui pourrait être la quatrième de couverture de mon humble témoignage.
Alors, simplement, merci.
@Anne-Marie Gorce
Un grand merci pour votre retour élogieux, qui me touche vraiment.
Heureux d'avoir partagé avec vous cette histoire méconnue, puisque cachée au grand public par les mensonges des gouvernements et leurs fidèles servants, les médias mainstream.
Je partage votre conclusion. À un point près...
Aucun gouvernement n'apprendra de ses erreurs. Puisque ce ne sont pas des erreurs, mais des actes délibérés...
PS : je poursuis ma lecture de votre roman et reste accroché aux pas de Marie.
@Kroussar
Bonjour à vous.
Je viens de terminer votre livre.
J'aurais honte de commenter la relation d'une telle vie. Tout au long, j'ai admiré votre "sagesse" et votre retenue face à cette hypocrisie des distributeurs d'idées démocratiques, que l'Occident se targue d'être !
Dans la relation des combats, j'ai retrouvé l'univers de Jean Lartéguy, que je dévorais il y a 30 ans.
Et pour finir, cela m'a éclairée( et horrifiée) sur les tenants et les aboutissants de cette guerre jusque là un peu obscure, aux informations bien manipulées. Et ça continue... à croire que personne ne veut apprendre de ses erreurs.
Je salue donc votre courage passé et votre courage présent. Bravo.
@Sharewood
Comme le précise mon synopsis : "Dans toute guerre, on nous cache l'histoire, on occulte les intérêts et tout ce qui dérange. Car il y a toujours deux histoires : L’histoire officielle, menteuse ; L’histoire secrète, où se cachent les véritables causes des événements."
Alors, oui ! D'autres témoigneront, plus tard, sur les réelles causes du conflit en Ukraine, certains tentent de le faire déjà, mais sont muselés. La vérité avance à pas lents, moins vite que le mensonge, mais elle avance.
Encore un grand merci de l'intérêt que vous portez à mon témoignage. Cordialement, Kroussar.
@kroussar
je continue de progresser dans votre livre, je ne peux m'empêcher de faire le parallèle avec la guerre en Ukraine et les livraisons d'armes distillées...et il faudra un Kroussar dans x ans pour savoir la vérité.
@Sharewood
Je vous remercie sincèrement.
@Valero
Merci pour votre constellation d'étoiles et votre commentaire bienveillant. Oui, que d'atrocités commises au nom de la honteuse géopolitique ! Amicalement, Jean-Claude dit Kroussar.
@Alhéna Skat
Merci de votre premier retour et, surtout, pour votre lecture attentive. Je vous remercie, amicalement.
@Kroussar
J’ai commencé la lecture de votre témoignage qui m’a profondément bouleversée. Comment un homme peut-il supporter tant d’atrocités ? Quel courage vous a-t-il fallu pour survivre à toutes ces horreurs !
J’en suis à la lecture de la page 70 et à la page 68 je viens de remarquer une erreur sur un mot : « … Dans les minutes qui suivirent elle courra vers son ami… » courra ne me semble pas juste….
Je vais continuer ma lecture et je reviendrai vers vous….
A très bientôt avec toute ma sympathie et mon admiration. A.S.
@Alhéna Skat
Je vous remercie pour vos délicates intentions, c'est la première fois que l'on m'offre un brin de muguet, fût-il numérique.
Je vous souhaite une bonne lecture. La longue quête vous emmènera au cœur d'une histoire méconnue.
Amicalement, Jean-Claude dit KROUSSAR.
@Kroussar
Un petit brin de muguet pour vous porter bonheur dans la réalisation de vos projets. Avec toute ma sympathie.
A.S.
@Kroussar
Un grand merci d’avoir lu ma nouvelle « le Baiser de la Mort »
J’ai été très impressionnée par votre biographie et votre vidéo sur YouTube m’a profondément émue. On y ressent un vécu particulièrement fort, bravo pour votre courage à vouloir faire éclater la vérité. Je me propose de lire votre livre.
@Kroussar J'ai relu, senti de nouveau très fort les peurs, les souffrances, les révoltes, les incompréhensions, la détresse... Je n'ai plus le fichier original, mais il me semble que tu t'es moins attardé sur ta vie personnelle en France, dans cette ultime version. Ainsi, plus ciblé, avec l'accent mis sur le Cambodge, pays martyr malmené par les grands, ton récit devient d'autant plus percutant.
Un roman fort qui m'a encore interpellée, chamboulée, et rend mes mots bien dérisoires...
Amitiés,
Michèle
@Zoé Florent
Merci Michèle pour ton soutien et ton amitié indéfectibles. Oui, déjà cinq années entre la première version (quelque peu bancale) et la toute dernière version qui a pris une dimension littéraire digne de ce nom ; et ce, grâce aux aides entre auteurs membres de monBestSeller, dont tu fus la toute première. Amitiés,
@Kroussar Très belle chronique de jean-Benjamin Jouteur, qui a su trouvé les mots et le juste ton pour donner envie de lire ton magnifique roman.
Amitiés,
Michèle
@beltege
Veuillez m'excuser pour cette réponse tardive. De retour sur MonBestSeller, pour une période assez longue (du moins je l'espère) je peux enfin répondre à votre élogieux commentaire étoilé. Merci à vous. Amicalement.
Bonjour @Kroussar
En commençant la lecture de votre roman qui me semble très intéressant, je me suis vite rendu compte que je n'écris pas bien. Je suis vraiment loin d'être comme vous, car je vous trouve un grand écrivain. Vous avez un style très particulier. La langue est fort fluide. Un vocabulaire très riche. Vous êtes un remarquable écrivain. Je vois que votre livre mérite d'être édité et publié pour être vendu et pourquoi pas adapté à l'écran : le cinéma.
Je vous félicite d'avoir obtenu le prix Concours monBestSeller. Bonne continuation.
Bonjour @Kroussar
Je vous invite à découvrir mon roman intitulé "SARAH LEADERWAY", publié sur ce site dans les deux catégories "Roman" et "Jeunesse". J'aimerais bien que vous lisiez mon roman pour donner votre avis sur lui. Voici les deux liens :
https://www.monbestseller.com/manuscrit/15837-sarah-leaderway
https://www.monbestseller.com/manuscrit/15838-sarah-leaderway
@NOUMMAK
/n
Merci pour votre commentaire et sa constellation d'étoiles.
/n
Vous avez raison de comparer les atrocités perpétrées, en Irak et ailleurs, par les Américains et les Occidentaux au nom de la démocratie ou de la suprématie, avec ce qui s'est passé au Cambodge. Le XXe et XXIe siècles n'ont rien apporté de mieux que la guerre et encore la guerre... Et cela continue.
@Corinne Darquey
/n
Chère Corinne, je vous suis infiniment reconnaissant pour votre pertinent commentaire, il m'a ému.
Il est difficile d'être à contre-courant, c'est s'exposer à la vindicte populaire, ou aux pressions étatiques. Allant, parfois, jusqu'aux drames...
/n
Même si l'écriture de ce témoignage fut difficile, il m'a permis d'évacuer de vieux démons qui me tourmentaient encore. Mais aussi, j'ai pu rendre un brillant hommage à ce Peuple Khmer que j'aime tant.
/n
Enfin, concernant les ONG et Associations présentes au Cambodge, heureusement qu'il y en a d'excellentes : Pour un Sourire d'Enfant (PSE), ou encore Krousar Tmèye et quelques autres...
Malheureusement, elles sont nombreuses celles qui ne sont là que pour faire du business et engraisser les fondateurs sur le dos de la crédulité des donateurs. Constat que vous aviez pu faire de vous-même.
/n
Encore merci, amicalement Jean-Claude dit Kroussar.
Merci Jean pour ce percutant témoignage, tellement "à contre-courant " de l'air du temps...
Merci aussi de m'avoir permis de lire ce que je pense des " œuvres caritatives " qui pullulent ici ( heureusement quelques unes échappent à cette monstruosité).
Merci de l'amour que vous portez à ce merveilleux peuple Khmer, tellement éprouvé et déchiré par la folie des grands prêcheurs de "démocratie" et fervents défenseurs des droits de l'homme....
Et merci de vous être livré à cœur ouvert...Le chemin a dû être douloureux.
@Les Marien
/n
Merci à vous pour ce magnifique commentaire et sa constellation d'étoiles. Car effectivement, il y a de l'humanisme qui me fait vibrer l'âme et le cœur.
@Kroussar
C'est gentil de penser que je puisse vous conseiller, moi qui ne suit aucunement spécialiste de l'édition indé. Je n'ai hélas pas d'idée pour rendre ce témoignage plus accessible, à part le publier en version e-book à un prix très modique sur les grandes plateformes comme Amazon etc. Le sujet est difficile et, étant donné que les lecteurs cherchent majoritairement de la détente et de l'évasion dans la lecture, ce n'est pas ce type de lecture qu'ils chercheront en premier. A part diffuser ce texte sur toutes les plateformes gratuites / payantes en ligne possible, je ne vois pas trop. Le mettre à disposition sur mBS est déjà beaucoup, étant donné le nombre de retours que votre témoignage a suscité ! Bien à vous, LadyA1800
@Saint-Bleyras
Étoilé ou non, les étoiles brillent dans mes yeux en découvrant votre commentaire. Votre lecture attentive et bienveillante vous a permis, non seulement de détecter les dernières scories (je l'espère.), mais aussi de vous imprégner de mon témoignage, afin d'en percevoir toute sa dimension. Oui, le mot AMOUR résume bien cette "Longue Quête". Amour d'une femme, amour d'un peuple, amour d'un pays.
Il y a exactement 46 ans, le 17 avril 1975, nos vies basculaient en enfer.
Merci, Georges, pour ce magnifique retour de lecture.
Cordialement, Jean-Claude dit Kroussar
@Saint-Bleyras
/n
Bonjour Georges,
Vous pouvez me contacter à l'adresse e-mail suivante : kroussar@gmail.com
En retour je vous transmettrai le PDF de mon roman.
Très cordialement,
Jean-Claude dit Kroussar
@Bahloul
/n
Je suis très touché par votre commentaire élogieux, et sa galaxie d'étoiles. Mais surtout, par votre analyse juste et précise : effectivement, les acteurs engagés ne sont que pions manipulés au gré des fantaisies et fantasmes d'une poignée de renégats déshumanisés, que l'on appelle des HOMMES D’ÉTAT.
/n
Ainsi, les pions s'avèrent être les fantômes d'un passé trop facilement ignoré, qui n'ont certainement pas vendu leur honneur, leurs valeurs, et qui ont aussi en eux leurs tourments et leurs secrets. Parfois, la vérité n'apparaît que sous le scalpel et la dissection des événements par ceux qui en furent les acteurs. Et je fus l'un de ces pions. Très respectueusement.
Bonjour @Kroussar.
Que dire sinon merci et chapeau pour ce roman douloureux et passionnant à la fois. Douloureux : parce qu'il bouleverse, peine, inquiète et dérange. Il interpelle la conscience humaine et toute âme saine, droite et sensible un tant soit peu.
Passionnant : parce qu'il est raconté avec style et manière.
Il y a certes beaucoup à dire sur ce travail remarquable et exceptionnel dont la narration est menée de main de maître. Mais il n'en demeure pas moins que le plus dérangeant, le plus frustrant ce sont les révélations sur les véritables causes du malheur du peuple cambodgien et sur les véritables responsables. Preuve qu'en politique, seules les intérêts prédominent et conditionnent les évènements et les destins des peuples affaiblis. Même les "acteurs" engagés, missionnés ne sont en fin de compte que des pions guidés au gré des fantaisies et fantasmes d'une poignée de renégats déshumanisés. Beaucoup dans l'histoire me rappelle "les mercenaires" de Jean Lartéguy, où il était question du bataillon français de Corée, "intégré aux forces de l'ONU pour combattre l'ennemi rouge", et dont Jean Lartéguy disait qu' ils étaient sacrifiés en vain, sans foi et sans cause.
Bien plus qu'un roman historique, ou une autobiographie, c'est une leçon de courage et de dévouement, un hymne à l'amour, à l'amitié et aux valeurs; seul vrai bien que possède (et qui fait) l'humain.
Merci @Kroussar pour ce magnifique roman qui mérite une belle édition. Je joins cinq étoiles, portées à la puissance dix. Bahloul
@Pierre Repond,
/n
Bonjour Pierre, merci pour votre généreux commentaire qui me touche vraiment. Oui, ce témoignage est aussi un hymne à la vie, ne jamais perdre courage. Quand l’on croit que tout est fini, quand on s’y attend le moins, un nouveau chemin apparaît. Amicalement, Jean-Claude dit Kroussar.
@Kroussar
Cher Monsieur,
Je viens de terminer votre livre. C'est une oeuvre rare de révélations interpelantes, de précisions historiques, d'authenticité narrative, d'une humanité absolue. Votre témoignage est un hymne à la vie qui parvient à se faufiler dans les décombres de politiques scandaleuses et dévastatrices. Il est une ode à l'amour qui panse les êtres de force, de courage et de foi comme vous l'êtes, les êtres éprouvés comme vous l'avez été. Je rejoins certains autres commentaires pour dire que le monde entier des hommes doit connaître votre histoire. Il en va de notre évolution vers la victoire du bien. Un immense merci!
Bien à vous,
Pierre
@Marie Peterburger
/n
Chère Marie, je me doutais que mon témoignage ne vous laisserait pas insensible. Nous partageons cette même volonté d'éclairer les pans méconnus de l'Histoire, de donner une autre réalité à l'Histoire, que celle définie dans les livres scolaires... ou par les médias à la botte des puissants.
/n
Merci pour votre commentaire et sa constellation d'étoiles qui me réchauffent le cœur. À bientôt.
@Jean Michel Nivet
/n
Jean-Michel, merci pour votre commentaire élogieux et votre parfaite compréhension de l'histoire.
/n
Comme vous le dites, les Occidentaux, avec leur soif de pouvoir, ont propagé la misère dans de nombreuses parties du monde. Le plus dramatique, c'est hélas toujours valable de nos temps. Je ne manquerais pas d'appliquer vos conseils. Amicalement, Jean-Claude dit Kroussar.
votre témoignage est fort, poignant et intéressant. Les informations et révélations sont révoltantes et montrent encore une fois la perversíté des pouvoirs. Vous êtes d'accord avec les idées de mon livre " inévitable" , le plus gros défaut des démocraties sont les élections. En occident , les hommes ( et les femmes ) sont prêts à sacrifier des centaines de milliers de vies, la planète, les ressourses, simplement pour gagner ou conserver le pouvoir. Vous avez vécu cette expérience, elle vous a révolté. vous en avez perdu des êtres chers et c'est hélas toujours valable de nos temps.
Je pense que votre témoignage doit dépasser ce site, et vous devriez le mettre en téléchargement pour qu'il reste quelque part ( en plus il sera plus facile à lire ) et le faire imprimer pour une diffusion matérielle. Il y a peu de chance que le système laisse un éditeur le diffuser à grande échelle ( pas plus que le mien d'ailleurs !) mais les générations futures doivent savoir ce qui s'est passé au Cambodge .
@Parthemise33
/n
Merci pour votre généreux commentaire et sa constellation d'étoiles.
/n
Comme vous le dîtes, vous ne connaissiez du Cambodge, au-delà de ses temples, que le génocide commis par les sanguinaires Khmers rouges.
/n
Deux clichés véhiculés par les Occidentaux afin de cacher leurs crimes. Car somme toute, dans cette histoire méconnue, le génocide fit moins de morts que les bombardements américains (1968-1975), et moins de victimes que le blocus qui priva le peuple khmer des moyens de subsistance et de santé, essentiels à sa survie... (1979 à 1991).
/n
Une hécatombe qui porta le nombre de morts à 2 millions supplémentaires, dépassant de très loin ce que l'on attribue à Pol Pot.
/n
Alors, je suis extrêmement touché que mon témoignage vous ait apporté l'éclairage nécessaire pour comprendre ces trente années de misère et de chaos.
@Sylvie Petitmarie
/n
C'est moi qui vous remercie pour votre commentaire élogieux. Oui, presque 500 pages ! Qui se lisent aussi facilement qu'un roman d'aventures ; où se mêlent la grande et la petite histoire.
/n
Si certains passages sont durs à lire, les écrire fut encore plus douloureux. La souffrance suppurait entre les lignes ; chacun des mots comme un stigmate dans le texte… Même si certains passages sont chargés de drames, d’autres, sont magnifiques dans la résilience, ce qui donne encore plus de force à ce témoignage. Amicalement, Kroussar.
@Kroussar Absolument d'accord avec vous! Publier sur MBS, c'est le meilleur pied-de-nez que l'on puisse faire aux éditeurs qui nous recalent et ainsi rejoindre, plus efficacement, des lecteurs de partout dans la francophonie.
@GEORGES F
/n
Merci pour ce commentaire élogieux et votre parfaite compréhension de l'histoire. Oui, cette mission recelait autant de pièges de larmes que de mirages exotiques... et je fus un pion au service des viles machinations géopolitiques. Quant à l'édition de ce témoignage, qui dérange, je n'ai jamais eu de réponse des éditeurs. Depuis 2018, monBestSeller m'offre la visibilité sur cette histoire qui mérite d'être partagée par le plus grand nombre. Alors, l'essentiel est d'être lu, peu importe la forme d'édition. Et puis, MBS, c'est l'avenir ! Non ? Amicalement Jean-Claude
@Kroussar Comme promis, je viens de profiter des derniers jours (avec quelques mois de retard je m'en excuse) pour compléter la lecture de votre récit. Et quelle oeuvre majestueuse! Quel témoignage de vie troublant! On savoure vos descriptions précises et étoffées de la faune cambodgienne, de son relief, son climat et sa flore. On se laisse envoûter aisément. La progression est vivante, coulante, et le rythme ne lésine point. Juste le bon équilibre. Cette assignation militaire d'écoute électronique que vous avez acceptée à Phnom Penh recelait autant de pièges de larmes que de mirages exotiques où, malheureusement, l'on ne peut que devenir un pion au service des viles machinations géo-politiques des hautes sphères dirigeantes. Vous et vos confrères en avez fait les frais... C'était un espèce de cadeau de Grec, et, je crois qu'en toute lucidité, vous en aviez peut-être l'intuition. Mais c'était une occasion de promotion que vous ne pouviez laisser tomber. Alors vous avez foncé courageusement, traversant les plus implacables et douloureuses épreuves parsemant votre route. Je loue votre générosité de nous offrir un tel récit de vie, riche en enseignements sur les travers de l'homme et de ses friponneries. A lire! (au fait, comment diable des éditeurs ont-il pu vous ignorer????)
Cordialement
@kroussar c'est sincère. Merci. Au plaisir de vous lire une prochaine fois...
@Marion Deligny,
/n
Chère Marion, mon militaire a bien ri en lisant votre commentaire. Il a apprécié votre humour et vos compliments. Je vous transmets ses remerciements. Vous avez raison, Kroussar a survécu à la connerie humaine et aux malédictions familiales. Merci à vous.
@Marie Bataille
/n
J'ai tardé à vous répondre étant indisponible plusieurs jours. Mais, sachez que votre commentaire élogieux, auréolé de sa constellation d'étoiles, m'a ému. Vous avez raison de dire "une page de l'histoire écrite avec la mémoire du cœur", oui une page d'histoire totalement méconnue qui mériterait d'être partagée par le plus grand nombre.
Amicalement Jean-Claude dit Kroussar.
@Louise Casenove
/n
Les mots me manquent pour vous témoigner ma reconnaissance. Comme JBJ avant vous, Vous avez parfaitement perçu et décrit ce que l'on ressent à la lecture de ce témoignage. Vous avez suivi les pas de Kroussar, ressenti ses doutes, discerné sa pudeur, pour finalement vous libérer de l'angoisse à la lecture de l'épilogue. Merci à vous pour votre généreux commentaire. Amicalement Jean-Claude dit Kroussar.
@Jean Benjamin Jouteur
/n
Cher Jean Benjamin, votre chronique m'a laissé sans voix... et les larmes aux yeux.
/n
Vous avez tenu à rendre un vibrant hommage à cette histoire qui est mienne et celle d'un peuple, je vous en remercie sincèrement. Un peuple qui peine encore à se relever après plus de quarante ans de drames, trente années de guerre, quatre années de génocide.
/n
J'ai aimé le son de votre voix, le choix de vos mots, la pertinence des images, la justesse du ton employé, la justesse des comparaisons.
/n
Jean Benjamin, en plus d'être un érudit, vous êtes avant tout un homme au grand cœur.
Amitiés, Kroussar
Bonjour Kroussar, je vous ai transmis le lien de ma chronique, bien plus détaillée que le retour ci dessous, par l'intermédiaire de Messenger. Amicalement.
@Jean Benjamin Jouteur,
Je suis vraiment touché par votre long retour de lecture, qui témoigne de votre empathie envers ce Royaume. Ce pays qui a subi les pires drames durant plus de trente ans. Vous avez parfaitement perçu et décrit ce que l'on ressent à la lecture de ce témoignage. Votre commentaire élogieux prouve que vous fûtes sensible à cette histoire méconnue. Vos encouragements à lire mon roman me vont droit au cœur, et vous avez toute latitude pour chroniquer mon livre sur votre blog.
/n
Actuellement, je préfère le partager avec les lecteurs de mBS. L'éditer serait perçu comme une nouvelle provocation de ma part par les autorités françaises. Dans une dizaine d'années pourquoi pas ! Même à titre posthume. Merci à vous Jean Benjamin. Amicalement, Jean-Claude dit Kroussar.
Bonjour @Kroussar, non je ne suis pas hugo. Je suis simplement un jeune khmer né en France enfant de parents ayant fuit le Cambodge après les guerres des années 70.
Mon but est de rétablir la vérité et les vrais faits de ce qui s'est vraiment passé. Pouvez-vous m'aider?
Cordialement
@Ippoz
/n
Si ma mémoire ne me trahit pas, vous êtes Hugo, le jeune stagiaire qui souhaitait me rencontrer au fond de mes rizières, mais qui n'a pas pu, pour raisons personnelles. Et votre enquête c'est bien votre thèse au sujet de la République Khmère, n'est-ce pas ?
/n
Par ailleurs, si je porte mon nom Khmer et si je me suis exilé au Cambodge c'est bien pour limiter les risques afin que les drames se renouvellent pas. Cordialement
@Kroussar Merci pour votre réponse.
Avec toute ces révélations, même si sa date plus de 40 ans et que certains responsables sont hors services, vous ne risquez rien? Car vous donnez pas mal de noms et d'informations.
Et par hasard, savez-vous où je peux trouver le testament de Ho Chi Minh qui nous fait comprendre qu'il avait pour but de prendre tout l'indochine notamment le Cambodge?
Merci
@MaelysF,
Vous vous trompez, ce n'est pas entre 9h et 16h, mais entre 3h du matin (heure française) et 17h que mes amis viennent lire ma page, puisque c'est une possibilité offerte par mBS.
Pour votre gouverne, sachez que j'anime un blog/forum sur le Cambodge. Le nombre de visiteurs oscille entre 40 et 90 par jour. Certains, les plus curieux, viennent jeter un œil sur mon témoignage, ce qui incrémente le compteur...
/n
Et puis, il y a deux ans, mon classement oscillait déjà entre 20 et 40... sans tricher !
@Ippoz
/n
Bonjour, et merci pour votre pluie d'étoiles.
/n
Oui, je suis bien Jean-Claude et Kroussar est mon nom Khmer. Mon nom de naissance ne me sert plus que pour les formalités administratives en France. Comme vous le précisez, j'ai survécu mais je n'en suis pas sorti indemne. Tout ce qui est mentionné dans ce témoignage historique est VRAI, 100% vrai et vécu, il n'y a aucune romance, ni déformation de la vérité. Si vous souhaitez utiliser ces informations je vous rappelle quelle sont protégées par Copyright. Par contre, on peut en reparler. Cordialement.
@L. Moussard,
/n
Cher Laurent, votre commentaire encomiastique (comme aimait le dire notre bien-aimé Roi du Cambodge) ma bouleversé. Savoir que mon témoignage a su retenir votre attention me réjouit. Savoir que Vous, homme de culture, romancier et scénariste talentueux, puissiez apprécier mon écriture est pour moi le comble du bonheur. Encore merci. Amicalement Jean-Claude.
@Annie Pic
/n
Chère Annie, comment vous remercier pour votre magnifique commentaire étoilé. Oui, une belle histoire d'amour qui m'a permis de résister dans les moments les plus difficiles et, par chance, la nature m'a donné la force de caractère pour aller au-delà des limites. Ainsi, j'ai pu reconstruire une vie, enfin méritée. Encore merci, et à très vite car je n'ai pas fini la lecture de vos romans. Amicalement Jean-Claude.
@Benoît Otis
/n
Benoît, je vous souhaite une bonne lecture. Il se trouve que j'étudie actuellement votre Bible du troisième millénaire. OUI. Vous avez bien lu ! J'étudie ! Car il y a beaucoup de sagesse et de connaissances dans les 48 thèmes que vous développez. Alors, on s'en reparlera également. Amicalement Jean-Claude.
@mahaut7377
Me permettez-vous de vous dire : Chère Catherine, Comment vous remercier pour votre élogieux commentaire que je reçois comme un cadeau et, surtout, celui d'être apprécié par d'autres auteures alors que j'ai longtemps douté de l’intérêt de mon témoignage. Mais ce qui est sûr c'est que l'écriture fut salvatrice, et m'a permis la résilience pour reconstruire une nouvelle vie. Et cette nouvelle vie me comble de bonheur. Merci encore Catherine, Amicalement Jean-Claude dit Kroussar.
@Hubert,
/n
Non Hubert, tu n'as pas rêvé. ET en plus du cadeau, je te proposai autre chose. À toi de voir si cela peut se concrétiser. Amicalement Jean-Claude.
Jean-Claude. Ai-je rêvé ? il me semble avoir reçu de ta part un cadeau un peu douloureux et pourtant vraiment mérité. Certains "accidents de la vie" m'ont rendu un peu amorphe voir fainéant sur l'écriture. Les excuses de l'urgence éloignent souvent facilement de l'essentiel. En tout cas, un sincère merci pour ta précieuse "poussée" . Qui aime bien châtie bien (enfin pas trop quand même O>) . A bientôt j'espère.
@Hubert,
Votre commentaire et sa constellation d'étoiles m'honorent sincèrement. Vous, l'un des plus anciens lecteurs de monBestSeller, si ce n'est le plus ancien, dont les commentaires sont toujours pertinents. Alors, encore merci pour avoir consacré du temps à cette longue quête. Amicalement Jean-Claude dit Kroussar.
@kroussar
Riez !
J'ai tout lu, absolument tout lu …
Sauf la note 15
Moi qui mets la famille au-dessus de tous les biens…
Riez !
@stanislawa
/n
Merci pour votre commentaire qui me touche sincèrement. Je n'ai malheureusement aucun retour de mes enfants. Sont-ils aussi bornés que leur père ? Peu importe, ce qui compte c'est que bouddha les aide à traverser les difficultés de la vie. Amicalement Kroussar.
@Fernand Fallou
/n
Cher Fernand, merci pour votre commentaire élogieux et sa pluie d'étoiles. J''ai été sensible à vos propos. De par son côté historique, vous avez raison de dire que c'est un livre qui s'étudie et qui doit être lu plusieurs fois. Mais de par son aspect témoignage et aventures, il peut se lire comme un roman, en oubliant les détails de l'Histoire, en ne retenant que les monstruosités commises contre peuple Khmer.
/n
Vous avez bien lu, c'est bien le père de Tiane qui m'a appelé "Kroussar" pour la première fois, et c'est expliqué en page 105.
/n
Merci également pour votre lecture attentive qui a permis de détecter quelques coquilles. C'est incroyable, qu'après moult et moult lectures il en reste encore quelques-unes. Ces coquilles qui se cachent à son auteur et sautent aux yeux du lecteur...
Promis, je n'engueulerai pas Volterre.
Amicalement Jean-Claude dit Kroussar.
Votre témoignage est bouleversant. Vous avez fait preuve d'un courage et d'une témérité extraordinaires. Merci de m'avoir éclairée sur l'histoire des Kmers qui ne peut qu'émouvoir profondément. J'espère que vos enfants auront pris conscience du profond respect qu'ils vous doivent.
@F. Cassagne,
/n
"Si vivre c'est accepté l'inacceptable, alors l'auteur a connu sans nul doute l'enfer.", dites-vous ?
/n
Votre phrase résume parfaitement mon témoignage. Même si je n'ai jamais accepté l'inacceptable, mais plutôt contraint à me taire pour éviter d'autres drames. Vous ne pouvez imaginer la pression que peuvent exercer certains puissants, pour empêcher que la vérité n'éclose.
/n
Tiane, mon épouse, me disait toujours : tu ne changeras pas le monde… il est plus fort que toi. Mais fais ce que tu crois être juste, je suis avec toi.
/n
Non, je ne le changerai pas. Mais il est parfois de notre devoir de témoigner afin de dévoiler la vérité. Pendant toutes ces années de folies et de destructions , je pense avoir vu tout ce qu'un homme peut voir : des populations jetées sur les routes, des enfants jetés dans la guerre, des vainqueurs et des vaincus finalement réconciliés dans la mort.
C’est à cette époque que je perdis l’espoir dans le genre humain, où le vice demeure la partie la plus invisible, la plus redoutable de tout individu, en fonction des circonstances auxquelles il est confronté. L’homme sans contrôle ni garde-fou n’est qu’une bête immonde, avide de puissance et de pouvoir.
/n
Merci pour votre sympathique commentaire. Très cordialement.
@Yvan Ollive,
/n
Merci pour votre généreux commentaire. Digne d'un Kessel, dites-vous ! Ainsi que votre souhait pour un meilleur futur, qui me va droit au cœur. Vous n'êtes pas le seul à être effrayé par le côté militaire de mon témoignage, mais comme tous ceux qui ont franchi le pas, vous avez découvert une roman d'aventure, d'amour, et de drames. Je suis heureux de vous avoir fait voyager à l'autre bout du monde. Très cordialement.
@Marc Lebreton
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Marc, tout d'abord je vous remercie pour votre commentaire élogieux et sa pluie d'étoiles, comparant mon récit à ceux des grands écrivains que vous citez. Mais surtout, ce sont vos souhaits qui m'ont profondément touché. Car, même si j'ai écrit ce récit pour témoigner, c'est aussi dans l’espoir de retrouver mes enfants.
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Vous avez mentionné que mon sauvage vous faisait penser à Ayrton. Effectivement, il y a une petite ressemblance avec Tom Ayrton, ce personnage imaginaire, inventé sous la plume de Jules Verne. Moi, je porte encore les marques de notre rencontre, cicatrices indélébiles sur mes avant-bras, mes jambes, mon dos. Je revois encore son visage déformé par la démence lorsqu'il se jeta sur moi...
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Encore un grand merci pour votre encouragement, c'est toujours un immense plaisir que de recevoir des compliments d'un autre auteur.
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Il se trouve que je lis actuellement votre passionnant roman, j'en suis à la moitié et je ne manquerais pas de revenir vers vous très rapidement. Très respectueusement Jean-Claude.
@Martine Fève,
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Chère Martine,
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Les mots me manquent, et je n'ai ni votre plume, ni votre belle écriture, pour vous dire combien j'ai été ému aux larmes en vous lisant. Alors permettez-moi de vous appeler par votre prénom afin de vous remercier pour ce commentaire élogieux accompagné d'une pluie d'étoiles. Surtout, venant d'une auteure telle que vous, c'est donc beaucoup d’honneurs qui me comblent infiniment.
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Je suis vraiment touchée, par votre appréciation "Tout y est pour capter l'âme des lecteurs" dites-vous. C'est un magnifique compliment, car il m'en aura fallu, du temps, pour parvenir à ordonner mes pensées, à maîtriser mes vieux démons, afin de trouver les mots justes... souvent avec difficulté, mais il le fallait.
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Cependant, je ne cherche pas à être édité, seulement à partager mon témoignage avec le plus grand nombre, ce qui se réalise grâce à monBestSeller qui m'a permis de publier mon récit, au lieu de le censurer, comme pourrait le faire certains éditeurs à la botte de la bien-pensance ! Et c'est l'essentiel, mon témoignage peut enfin être lu et partagé avec vos proches, vos amis... Mais ce qui est sûr c'est que l'écriture fut salvatrice, et m'a permis la résilience pour reconstruire une nouvelle vie. Amicalement Kroussar.
@Chiara Catalina
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Comment vous remerciez ? Votre sensibilité et votre empathie sont telles que vos mots reflètent l'union d'idées, de pensées, de sentiments que nous avons pu avoir durant votre lecture. Quant à mes enfants, ils sont toujours aussi éloignés de leur père, et pourtant ce ne sont pas les tentatives de rapprochement qui manques.
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Vous dîtes Walk-in ! C'est exactement cela ! Comment de pas y croire, depuis sept ans maintenant que j'en ai la preuve au quotidien avec Lyly et Lyna notre fille. J'ai retrouvé une partie de ma vie; celle qui me manquait cruellement. D'ailleurs, je suis étonné de découvrir que de plus en plus de personnes sont conscientes du transfert d’âme. Même si cela reste un faible pourcentage malgré tout.
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J'avoue que j'attendais avec impatience vos commentaires, espérant que chaque chapitre vous transporte vers de nouveaux sentiments, de nouvelles émotions, ou tout simplement vous permette de revenir en Asie.Merci Charia, merci pour ses échanges qui me manqueront sûrement à l'avenir. Amitiés Kroussar
Un dernier passage pour vous dire que, quelques heures après le mot FIN de votre magnifique roman, il est dans mes pensées, et nul doute qu'il y restera quelque temps. Il est si dense, si tant de choses, il apporte tant d'images de toutes natures, de sentiments... Il est, de plus, si visuel... Vous m'avez totalement "captée" et je suis imprégnée de votre Histoire. J'ai l'impression d'avoir, désormais, alors que je ne vous connais pas, un "vieil ami". Vous vous êtes livré en entier. C'est aussi ça, être auteur... Je conseille ce très beau texte. On n'en sort pas indemne, mais enrichi. Si je pouvais mettre d'autres étoiles, je le ferais... D'ailleurs, je le fais... ********************************************************...
Et puis vous m'avez ramenée en Asie... Un autre merci pour ça...
@Chiara Catalina
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Permettez-moi de vous répondre en utilisant vos propres mots, ceux que vous décrivez avec justesse dans votre magnifique roman "Soleil Bleu".
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Pour s'élever il faut savoir pleurer et admettre ses erreurs. Celui qui pleure s'élève, et ne reste pas au stade animal. Un homme doit fort, oui ! Mais les émotions refoulées finissent toujours par le détruire. Alors, il doit savoir pleurer et partager ses émotions. D'autant plus lorsqu'il a un devoir de mémoire.
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Chère Chiara, ce roman à bien faillit finir au fond d'un tiroir... sans la découverte de monBestSeller, c'était sa destination. Alors, ici, je le propose à la lecture. Et depuis deux ans je suis comblé par les retours des lecteurs.
Amicalement, KROUSSAR.
Deux phrases... « Ce que je veux dire, Jean-Claude, c’est qu’en étouffant ta peine, tout ce que tu vas faire c’est te priver de tous tes souvenirs d’elle, de votre première rencontre à son dernier sourire . Tu vas tout effacer. Accepte la peine, Jean-Claude, accepte-la. »
« En m’appelant plusieurs fois par mon surnom, Kroussar… » Famille…
Je ne vais pas parler de l'histoire, la "guerre", terrifiante, vos autres lecteurs l'ont fait bien mieux que je ne le ferais. Je vais m'arrêter sur l'homme, vous...
La première... Affronter la peine, est, au-delà de la nécessité, une grande force. Fort, vous l'êtes, pour avoir su écrire de façon si prenante cette histoire qui est la vôtre. Vous êtes bien davantage que cette peine. Vous vous êtes élevé. Vous avez atteint le stade d'humain, alors que d'autres n'ont pas ou ont à peine entamé leur processus d'hominisation. C'est un ami sociologue qui le dit et je crois qu'il dit vrai. Mais être humain donne des "devoirs". Celui de transmettre en est un. Ce que vous faites de très jolie et douloureuse manière. La seconde, "Kroussar", va bien avec la première. Vous êtes de cette famille humaine et méritez ce titre. Ne laissez pas ce roman dans quelques tiroirs (forums), proposez-le à l'édition. Proposez-le, Kroussar, c'est, et vous en avez l'habitude, un devoir. Pour moi, vous serez Kroussar éternellement... Je reviens...
@Chiara Catalina
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J'avoue que vos passages successifs font naître une relation épistolaire particulière, celle de partager en direct vos émotions, vos joies et peut-être vos peines, à travers la lecture progressive de mon témoignage. C'est un merveilleux moments que de découvrir vos mots, tout en espérant que les miens vous emporteront jusqu'à la fin du récit. Merci Chiara, pour ce magnifique exercice.
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