Je vous avais déjà lu et j’ai relu quelques unes de vos balades avec plaisir. C’est écrit fluide, il y a de de jolies formules bien tournées, dont je comprends qu’elles puissent vous plaire ! Pour les lecteurs, j’ai sélectionné celle-là : "À ma grande confusion j’avoue que j’en fus ravi, lorsque l’on ne peut songer à caresser un espoir on n’est tout de même pas fâché d’inspirer des regrets". Merci pour ces parenthèses.
Vous m’avez titillée, je suis revenue ! Je sais maintenant mon sentiment sur votre autre nouvelle que j’ai lue, l’art n’est pas forcément seulement dans la chute (puisque vous nous la laissez deviner), mais dans l’ambiance, dans l’envie de savoir comment on y arrive, et puis il y a des petits bijoux de phrases, comme celle-ci par exemple : Marinette était vêtue de sa fonction, et de tout le respect qu'elle devait à sa patronne. Heureuse d’être repassée par votre page.
Vous faites durer le plaisir… un long avant-propos, vous voulez qu’on devine un peu, qu’on lise entre les lignes, qu’on fasse une partie du chemin. J’aime cette manière de lire où il faut faire un petit effort. Et tenter d’imaginer là où vous voulez nous amener.
La fanfare est pleine de fun ! Galodorsac évoque Agatha Christie, et moi elle me fait penser aux petits meurtres d’Agatha Christie que l’on a vu à la télévision avec d’abord de l’humour et ensuite de l’esprit. Idem pour vous. Je suis toujours fana !