Vanessa Michel

Cher Laurent, sincèrement j'adore que tu m'époustoufles, car c'est un tel plaisir (en musique, en écriture, en peinture…), ce souffle coupé, me retrouvée ébahie, désarçonnée, admirative... Sciée ! Me sentir exister - un peu plus qu'exister quoi. Par contre, j'apprécierais beaucoup que tu cesses de me faire pleurer... Blague à part, j'apprécie ton travail à un point que tu n'imagines sans doute pas. Il prend le corps, il dérobe le cœur, il électrise les tripes, il éparpille l'âme... On est en miette, oui, complètement rincé, mais on existe un peu plus. Un peu plus qu'un peu plus quoi... Merci.

Superbe écriture qui coule de différentes sources de saveurs, d'odeurs et de couleurs... J'ai adoré ce voyage, sur le fil d'une tendre naïveté que même l'inattendu de la chute ne parvient pas à totalement renverser ! Le tout saupoudré délicatement d'un grand amour... Je vous remercie pour ce moment ! Bien cordialement.

J’édite ma note après lecture intégrale sur 4 mois de ce feuilleton devenu sous nos yeux, « au jour le jour », un roman d’aventures, mais pas que ! L’écriture est superbe, la narration est riche et palpitante. On prend un grand plaisir à suivre Victor puis Vincent, notamment, au cœur d’une histoire dense où l’on ne s’ennuie jamais. Trente-trois, ce sont de nombreux personnages, du clair à l'obscur ; de l'humour, mais des sujets parfois graves ; des maîtres intégrés et digérés, mais une écriture et un récit très contemporains ; des thèmes complexes, traités de manière abordable et tellement agréable à lire… Je me suis régalée et je recommande vivement. Merci à vous et encore Bravo !

Cher Laurent, j'aurais voulu écrire au moins à moitié aussi bien que toi quand je serai grande... Je ne sais même pas quoi te dire, je trouve ça tellement magnifique que mes émotions en bafouillent. J'ai rarement eu la chance de lire à un tel apogée le sens, la forme, la musique, l'extase, le calvaire... J'ai l'impression que l'essence des possibilités que peut offrir une existence, de simplicités et de paroxysmes, de réalités ou de chimères, d'enfers comme de paradis, se love dans ta nouvelle. Je suis admirative quant à l'étendue de ton talent, car c'est la troisième œuvre que je découvre et chacune porte en elle tant de qualités et d'émotions différentes - comme si ta sensibilité n'avait aucune limite. C'est super beau ! Je te remercie sincèrement de m'avoir offert un tel moment de ravissement littéraire, peuplé d'outrances et de pudeurs. Ton écriture imprègne vraiment le lecteur... Tu vois pour moi, "Billy", c'était toujours la voix de Christian Décamps. Maintenant, les rares fois où je croiserai ce prénom, s'ajoutera également la voix fragile, éclatante et multicolore de Rebecca-(>Laurent). Bien à toi. P.S.: Jeff Koons s'écrit aussi Koonz ?

J'ignore pourquoi, je vous sens jeune, mais presque d'une âme ancienne ? et j'aurais spontanément utilisé le tutoiement. Mais comme je me trompe peut-être, je n'insiste pas ! J'ai ressenti un grand plaisir à découvrir cette légende qui semble résonner comme une vérité très intime, toute de pudeur, de sensibilité et de poésie. Les mots, les rythmes, les mouvements sont aériens et c'est ce qui à mon avis les rend si puissants. J'aime ce parcours très féminin et sacré, voilé, dé-voilé, qui traverse presque charnellement les ténèbres pour sortir et enfin rayonner dans la lumière. C'est très beau, très pur. Bravo !