Bonjour et merci de votre intérêt pour mes écrits. Effectivement, actu, j'ai un roman/polar écrit et commandé sur style régional et à la San Antonio. Celui-ci "Place des deux soeurs" figure sur la liste Monbestseller mais il doit être loin, cela date d'au moins cinq ans !!!! Ma passion est effectivement davantage axée sur les nouvelles : votre demande est un élément déclencheur pour le faire figurer prochainement. Dès lors, je vous ferai signe ! Amitiés à vous.
Merci beaucoup @JOHANNELLE pour votre gentil retour. Je suis ravie qu'un peu de rêve, de paresse et de temps en trop aient pu parvenir ce matin jusqu'à vous. Au plaisir de découvrir un jour une de vos nouvelles (vous indiquez en écrire dans votre bio). Bien cordialement et belle journée à vous.
On ne peut rêver mieux !!!!! Vive la philosophie du lâcher prise, de l' abandon de soit au temps.... au risque de faire passer ces moments si précieux pour de la paresse.... protégeons cette qualité de liberté en échappant aux jugements, à ces chaines de clichés étouffants. Vous pouvez le constater, elle fait du bien votre nouvelle ! La fraîcheur d'une respiration.
Cher Antar,
Merci tout d'abord pour ton retour précieux, uni à trois jolis cœurs.
J'ai connu un ouvrier qui en rentrant du travail lisait et avait des activités très créatives. Je l’admirais de parvenir à cela après des journées aussi rudes - tant physiquement que psychologiquement. Je ne sais pas si j’en aurais été capable à sa place ! Il ne se mettait pas devant la télé pour se « vider la tête », mais il choisissait de s'emplir et de rêver, ce qui me paraissait le comble du courage. Et c'est vrai que le rêve nécessite parfois de l'énergie, voire de l'audace, si par exemple on est malheureux ou dans un contexte difficile... Il n'est pas toujours donné, inné, acquis. Sans doute que comme certains sentiments, il doit parfois se cultiver pour survivre et continuer de nous élever ?
Le droit de rêver, quelle belle idée ! Et pourquoi pas l'associer au « devoir » de rêver ? Encore merci @antarabdelaziz38 et à bientôt.
Bonjour @Vanessa Michel
J’ai bien apprécié ton hymne au rêve. On méprise les rêveurs parce qu’on considère qu’ils se perdent dans des futilités qui les empêchent de se tourner vers la véritable réalité, concrète et utile. Utile ? Mais les rêves ne le sont pas moins que l’air que nous respirons ou le pain que nous mangeons. Malheureusement les « réalistes » l’ignorent. Ils souffrent de myopie, car comme disait Saint-Exupéry : on ne voit qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible aux yeux. Un seul bémol à cela : l’organisation impitoyable de la société moderne qui pressure l’individu, l’écrase par des tâches éprouvantes et le rejette dans sa banlieue chaque soir comme une loque. Comment une loque peut-elle rêver ? Un jour, peut-être, dans un monde idéal, le droit de rêver sera inscrit dans la constitution. En attendant, je te remercie de nous donner l’occasion de réfléchir à des sujets aussi essentiels. Bonne journée ! Antar.
C'est moi qui vous remercie chaleureusement Annie !
Je suis sincèrement touchée par votre vision de ce texte et la générosité de votre retour - unies à trois si jolis cœurs. Bien cordialement. @Annie Pic
Au commencement, l'homme ne se préoccupait que de sa survie. Mais des millénaires plus tard, où en sommes-nous ?
J'ai lu "Penser À Rêver", et selon vos préceptes :
Pour ne pas se perdre dans l'infinité du temps, il faut éviter de se noyer dans la pénibilité du quotidien, et porter fièrement notre croix.
Maitriser notre entrée dans l'ère technologique, qui, mal gérée, contribue à nous abrutir.
Et surtout, savoir rêver tout éveillé pour exister.
Oui, je suis adepte de ce rêve, de cette euphorie poétique que vous nous offrez si généreusement. Grâce à votre vision enchantée, nous devenons plus vivants.
Bravo et merci, Annie.
Un immense merci @Cortex ! Je suis vraiment ravie d'avoir pu partager des bribes de rêves, (de révolte) et de poésie avec vous.
À très vite pour le prochain Caramel Swirl ou Milk Choc Block de votre fabrication ;-)
Bonsoir cher @Comte de Clermont
Je te lis en souriant et avec plaisir, et je réalise que l'on s'est rencontré autour de petits "macarons" collés sur le sol de toute une rue, que j'avais emplie le temps d'un week-end des noms et métiers de ses habitants d'il y avait 100 ans et 150 ans avant nous...
C'était il y a 15 ans, je pense - avant les peintures collées sur le mur d'une mairie… Tout cela pour atterrir sur ce texte gravé dans la neige (et pour une éternité partagée) qui a créé un fort ralentissement des voitures ici ;-)
MERCI pour ce retour enthousiaste et chaleureux et tes cœurs toujours aussi flamboyants.
Bien à toi.
Un grand merci à vous @Emilie Germain pour votre commentaire uni à trois jolis cœurs. Je pense que l'on peut toujours trouver le temps (ou le courage ?) du silence, du vide et de l'immobilité qui lorsqu'on les fixe, apportent si souvent musique, plénitude et mouvements ;-) Bien cordialement.
Bonjour Vanessa,
Et oui, je suis dans les parages ! Les post-it, les chevaux de bois, les oiseaux en papier, le poème à la craie. C'est TOI. Et j'adore. Je me souviens d'un texte écris dans la neige sur le fameux banc un 8 Février. Tout cela c'est TOI et j'aime. A bientôt de te lire et ...de RÊVER encore et encore.
Merci pour cette ode à la rêverie et à l'émerveillement de chaque instant que nous avons laissés dans nos corps d'enfant. Il serait temps de les retrouver, de leur faire une place dans nos quotidiens productifs et surchargés. Mais sommes-nous prêts à accueillir ce silence, ce vide, cette immobilité ?
Bonsoir @lereverdy
Et merci beaucoup pour votre commentaire savoureux. Pour rebondir sur votre image, je note que les crêpes sont pleinement compatibles avec différents types de rêveries...
Bien à vous.
Vous nous emmenez, chère @Vanessa Michel, vers ce lieu indéfini propre à chacun qu'est la
rêverie. Et vous nous montrez avec brio divers chemins à suivre pour y parvenir et s'y attarder. Car la rêverie est autant nécessaire que le temps de pause pour la pâte à crêpe avant son utilisation. Bien à vous, Vanessa.
Ça fait plaisir de te voir Laurent ! Un grand merci pour les petits cœurs et ton retour détaillé.
J'essaye que les nouvelles se suivent sans trop se ressembler (c'est moins flagrant que toi, je l'admets !), et c'est plutôt positif si je donne ici l'impression de prendre mon temps... Il est vrai que l'homme pressé a troqué son joli marcel contre une cravate. Le confort n'est sûrement pas le même ;-) Bien à toi @carpov
Bonjour @Vanessa Michel,
J'étais content lorsque j'ai rouvert MBS et que j'ai vu que tu avais publié un texte. Alors je me suis empressé de lire. J'ai bien aimé cette critique de l'homme moderne, on a envie de lui dire : " cette cravate, Ö civilisé, ôte-la si tu veux mieux respirer". J'ai retrouvé dans ton phrasé les messages isolés par la typographie, mais pas les couleurs que tu mets d'habitude. Je t'ai trouvée plus patiente, avec des sections plus longues, c'était agréable. L'éloge du rêve aboutit à ta poésie qui m'est restée parfois un peu obscure, mais c'est sûrement voulue, et puis je n'y connais pas grand chose. Alors je me suis laissé porter par la mélopée et le rythme, que tu as particulièrement soignés.
Un grand merci @Anaïs DJEZZAR, pour les jolis cœurs et votre super retour. Je suis ravie que ce texte ait pu trouver un (ou des) écho(s) en vous. Bien cordialement.
Très joli texte avec des mots forts et subtils, au rendu poétique, qui vient réveiller notre âme d'enfant depuis longtemps enfouie, pour nous rappeler l'essentiel. Arrêtons de se prendre au sérieux, et enfin, autorisons-nous à rêver à nouveau!
Bravo
Apparemment les cœurs rosissent en juillet... Qu'en sera-t-il de la tenue de leur bronzage ?
Mystère !
Belle journée & merci @Catarina Viti
Ayant eu la chance de rêver en bord de mer sur l'une de vos nouvelles, je suis ravie que la mienne ait pu faire échos à votre inspiration, pour ce commentaire empreint de poésie.
Merci ! Bien cordialement @Buvard de mots
Rêver un impossible rêve (...) partir où personne ne part...
Prendre son temps, ralentir, laisser échapper ses pensées sur les reflets moirées d'une cétoine, respirer le subtil parfum d'une fleur de sureau ou sentir la chaleur intense contre sa peau.
Merci @Vanessa Michel pour ce joli texte qui nous rappelle que l'important c'est la poésie et le rêve pour rester vivant !
Merci beaucoup @ROSE MARSAC pour les petits cœurs et votre retour.
J'aime avoir l'interprétation de chacun, la vôtre rejoint un peu celle de Michel et c'est drôle, car mon intention était plus d'évoquer les brasseurs de vent surbookés. Je n'associe pas nécessairement le rêve à ne rien faire... mais pourquoi pas ? Il est vrai que la contemplation contient sa dose de suavité ! Bon week-end à vous. Bien cordialement.
Bonsoir Michel,
Tout d'abord un grand merci pour votre retour détaillé associé à de jolis petits cœurs. Je confesse n'avoir lu ni l'éloge ni le droit à la paresse… Mais trois heures de travail, ça me semble tout de même un peu beaucoup, non ? Les dadaïstes faisaient de la patatogravure, il me semble. Sur pastèque ça doit avoir moins de tenue, mais ça reste à tenter ;-)
Je pense que vous avez totalement raison pour l'adjectif valable. De fait, j'ai un peu modifié le paragraphe :
« Et parce que l’air et les atmosphères du rêveur s’acharnent à trouver des songes délicats ou lyriques au cours de chaque saison de la destinée, le premier champignon ou le premier flocon se révèlent tout aussi féériques. Ils contiennent autant de charme et de ravissements que la chaleur et nous offrent, comme elle, de voyager jusqu’à l’ici et maintenant. Ils réinventent demain en nous reparlant d’autrefois et ils flottent, affectueusement, sur nos moindres sentiments. »
Je choisis par contre de conserver l'idée du banc d'oiseau, car elle fait écho au milieu des nuages à des mouvements dans la mer. J'apprécie votre poésie et les phrases magnifiques si gentiment soufflées, mais mon texte n'avait (je le dis aussi pour @Bruno Bonheur') aucune intention "poétique" - hormis à la toute fin.
En réalité, je partais sur l'idée d'un personnage un peu à la russe, ce qui en vous lisant tous ne s'est absolument pas vu. Bon ben... peut-être une prochaine fois !
Bonne soirée @Michel Laurent - ex Joker380
Chère Michèle, merci pour ton retour enthousiaste et les petits cœurs. Je suis contente que tu aies pu te retrouver dans cette saine rébellion de rêveuse ! Belle soirée à toi. Bises. @Zoé Florent
Bonsoir Bruno,
Je te sens un peu déçu, ça arrive, mais il est vrai que cette ancienne nouvelle n'avait pas pour but d'explorer la langue, plutôt de parcourir une idée, une aspiration. C'est un texte volontairement léger, même s'il exprime une de mes convictions.
"Penser à rêver" était un de mes premiers boulots d'Arts plastiques, j'avais peint un mini mur et collé un mini post-it "Penser à rêver" dessus. J'imagine très souvent des ajouts aux paysages lorsque je me balade... Merci pour ton retour. Belle soirée et bon week-end à toi.
@Vanessa Michel Comme ce texte est joli, chère Vanessa, et pas que ! J'ai aimé son punch, cette rébellion contre la morosité, le désenchantement, la perte de la capacité à l'émerveillement, et cette apologie d'un rêve permanent qui n'est ni perché, ni accusable de flemmardise. Un état d'esprit, tout simplement. // Cela n'engage que moi, mais n'en rajoute pas. Ton texte a de la force. Le dosage est parfait. // Merci pour ce partage, avec lequel j'ai été totalement en phase, bises et bon week-end, Michèle
@Pierre Sansberro Salut Pierre. Oui, j'ai confondu " l'éloge" d' Eugène Marsan avec "le droit" de Lafargue, le beauf de Karl, 40 ans plus tôt. Et tous deux parlaient effectivement de paresse....
Dans ma jeunesse, l’un de mes livres de chevet était L’Éloge de la paresse de Paul Lafargue. Pour ce visionnaire allongé, trois heures de boulot par jour, c’était bien assez. Le reste du temps devait être consacré à des activités récréatives. Aujourd’hui, je nous verrais bien sculpter des pastèques ou même écrire des haïkus sur les chats qui tombent. Prolongeant le rêve de Lafargue, votre texte, @Vanessa Michel, toujours éminemment poétique, est un vibrant hommage à la divine inutilité, au plaisir de flâner et de rêvasser.
J’ai seulement deux petits désaccords avec vous :
- « le premier champignon et le premier flocon sont tout aussi valables » (p. 6) . L’adjectif « valable » me donne l’impression qu’il y aurait quelque part un comité secret qui tamponnerait nos idées avec un gros tampon "APPROUVÉ". Moi, j’aurais plutôt dit quelque chose comme : « Flocon qui tombe du ciel ou champignon qui éclot sous les feuilles, le miracle tient parfois dans ce premier éclat qui nous arrête le cœur. «
- Par ailleurs (mais c’est là une affaire de goût), plutôt que de "profiter longuement d’un banc d’oiseaux désordonné dans le ciel", je préfère admirer ces ballets aériens où les oiseaux, mieux synchronisés qu’une réunion Zoom, tracent des figures géométriques d’une poésie céleste : flèches, spirales, voiles qui se plient et se déplient, comme si le vent révélait des secrets cachés à l’œil distrait.
Voilà qui est plus que bien. Le rêve, surtout le rêve éveillé, est essentiel à la vie et même à la survie de l'espèce humaine. Et pas la peine de faire de grands rêves de gloire. Les petits, les quotidiens, qui s'accumulent, apportent le réconfort et réveillent le poète (et la poétesse) qui somnole en nous. Comment écrire si on ne sait pas rêver ? Comment écrire si on ne sait pas contempler… être contemplatif ?
Un texte très riche qui se termine en apothéose.
P.
Je dédie cette version alternative, légèrement remastérisée, à Monsieur Pierre Sombrero.
J'ai également une pensée particulière pour le Comte de Clermont - s'il passe dans les parages ;-)
Publié le 26 Juin 2025
Vanessa Michel
Biographie
Peintre & écrivaine.
Thèmes de recherche : poésie, lumière, beauté & subjectivité.
Ce livre est noté par
Un grand merci pour votre retour auréolé de jolis cœurs.
Belle soirée à vous @Martine Elisabeth.
Super, au plaisir de découvrir votre travail. Bien cordialement @JOHANNELLE
Bonjour et merci de votre intérêt pour mes écrits. Effectivement, actu, j'ai un roman/polar écrit et commandé sur style régional et à la San Antonio. Celui-ci "Place des deux soeurs" figure sur la liste Monbestseller mais il doit être loin, cela date d'au moins cinq ans !!!! Ma passion est effectivement davantage axée sur les nouvelles : votre demande est un élément déclencheur pour le faire figurer prochainement. Dès lors, je vous ferai signe ! Amitiés à vous.
Merci beaucoup @JOHANNELLE pour votre gentil retour. Je suis ravie qu'un peu de rêve, de paresse et de temps en trop aient pu parvenir ce matin jusqu'à vous. Au plaisir de découvrir un jour une de vos nouvelles (vous indiquez en écrire dans votre bio). Bien cordialement et belle journée à vous.
On ne peut rêver mieux !!!!! Vive la philosophie du lâcher prise, de l' abandon de soit au temps.... au risque de faire passer ces moments si précieux pour de la paresse.... protégeons cette qualité de liberté en échappant aux jugements, à ces chaines de clichés étouffants. Vous pouvez le constater, elle fait du bien votre nouvelle ! La fraîcheur d'une respiration.
Cher Antar,
Merci tout d'abord pour ton retour précieux, uni à trois jolis cœurs.
J'ai connu un ouvrier qui en rentrant du travail lisait et avait des activités très créatives. Je l’admirais de parvenir à cela après des journées aussi rudes - tant physiquement que psychologiquement. Je ne sais pas si j’en aurais été capable à sa place ! Il ne se mettait pas devant la télé pour se « vider la tête », mais il choisissait de s'emplir et de rêver, ce qui me paraissait le comble du courage. Et c'est vrai que le rêve nécessite parfois de l'énergie, voire de l'audace, si par exemple on est malheureux ou dans un contexte difficile... Il n'est pas toujours donné, inné, acquis. Sans doute que comme certains sentiments, il doit parfois se cultiver pour survivre et continuer de nous élever ?
Le droit de rêver, quelle belle idée ! Et pourquoi pas l'associer au « devoir » de rêver ? Encore merci @antarabdelaziz38 et à bientôt.
Merci beaucoup @incrédule pour votre retour et les petits cœurs.
Avec ou sans rimes, poésie et rêves sont toujours possibles ! Bien cordialement.
C'est moi qui vous remercie chaleureusement Annie !
Je suis sincèrement touchée par votre vision de ce texte et la générosité de votre retour - unies à trois si jolis cœurs. Bien cordialement. @Annie Pic
Un immense merci @Cortex ! Je suis vraiment ravie d'avoir pu partager des bribes de rêves, (de révolte) et de poésie avec vous.
À très vite pour le prochain Caramel Swirl ou Milk Choc Block de votre fabrication ;-)
Bonsoir cher @Comte de Clermont
Je te lis en souriant et avec plaisir, et je réalise que l'on s'est rencontré autour de petits "macarons" collés sur le sol de toute une rue, que j'avais emplie le temps d'un week-end des noms et métiers de ses habitants d'il y avait 100 ans et 150 ans avant nous...
C'était il y a 15 ans, je pense - avant les peintures collées sur le mur d'une mairie… Tout cela pour atterrir sur ce texte gravé dans la neige (et pour une éternité partagée) qui a créé un fort ralentissement des voitures ici ;-)
MERCI pour ce retour enthousiaste et chaleureux et tes cœurs toujours aussi flamboyants.
Bien à toi.
Un grand merci à vous @Emilie Germain pour votre commentaire uni à trois jolis cœurs. Je pense que l'on peut toujours trouver le temps (ou le courage ?) du silence, du vide et de l'immobilité qui lorsqu'on les fixe, apportent si souvent musique, plénitude et mouvements ;-) Bien cordialement.
Bonsoir @lereverdy
Et merci beaucoup pour votre commentaire savoureux. Pour rebondir sur votre image, je note que les crêpes sont pleinement compatibles avec différents types de rêveries...
Bien à vous.
Vous nous emmenez, chère @Vanessa Michel, vers ce lieu indéfini propre à chacun qu'est la
rêverie. Et vous nous montrez avec brio divers chemins à suivre pour y parvenir et s'y attarder. Car la rêverie est autant nécessaire que le temps de pause pour la pâte à crêpe avant son utilisation. Bien à vous, Vanessa.
Ça fait plaisir de te voir Laurent ! Un grand merci pour les petits cœurs et ton retour détaillé.
J'essaye que les nouvelles se suivent sans trop se ressembler (c'est moins flagrant que toi, je l'admets !), et c'est plutôt positif si je donne ici l'impression de prendre mon temps... Il est vrai que l'homme pressé a troqué son joli marcel contre une cravate. Le confort n'est sûrement pas le même ;-) Bien à toi @carpov
Merci pour votre retour @Antoine Guy.
Bonne journée
Un grand merci @Anaïs DJEZZAR, pour les jolis cœurs et votre super retour. Je suis ravie que ce texte ait pu trouver un (ou des) écho(s) en vous. Bien cordialement.
Merci infiniment @Logan Wane pour ce retour enthousiaste et super touchant.
Bien cordialement.
Apparemment les cœurs rosissent en juillet... Qu'en sera-t-il de la tenue de leur bronzage ?
Mystère !
Belle journée & merci @Catarina Viti
Ayant eu la chance de rêver en bord de mer sur l'une de vos nouvelles, je suis ravie que la mienne ait pu faire échos à votre inspiration, pour ce commentaire empreint de poésie.
Merci ! Bien cordialement @Buvard de mots
Merci beaucoup @ROSE MARSAC pour les petits cœurs et votre retour.
J'aime avoir l'interprétation de chacun, la vôtre rejoint un peu celle de Michel et c'est drôle, car mon intention était plus d'évoquer les brasseurs de vent surbookés. Je n'associe pas nécessairement le rêve à ne rien faire... mais pourquoi pas ? Il est vrai que la contemplation contient sa dose de suavité ! Bon week-end à vous. Bien cordialement.
Bonsoir Michel,
Tout d'abord un grand merci pour votre retour détaillé associé à de jolis petits cœurs. Je confesse n'avoir lu ni l'éloge ni le droit à la paresse… Mais trois heures de travail, ça me semble tout de même un peu beaucoup, non ? Les dadaïstes faisaient de la patatogravure, il me semble. Sur pastèque ça doit avoir moins de tenue, mais ça reste à tenter ;-)
Je pense que vous avez totalement raison pour l'adjectif valable. De fait, j'ai un peu modifié le paragraphe :
« Et parce que l’air et les atmosphères du rêveur s’acharnent à trouver des songes délicats ou lyriques au cours de chaque saison de la destinée, le premier champignon ou le premier flocon se révèlent tout aussi féériques. Ils contiennent autant de charme et de ravissements que la chaleur et nous offrent, comme elle, de voyager jusqu’à l’ici et maintenant. Ils réinventent demain en nous reparlant d’autrefois et ils flottent, affectueusement, sur nos moindres sentiments. »
Je choisis par contre de conserver l'idée du banc d'oiseau, car elle fait écho au milieu des nuages à des mouvements dans la mer. J'apprécie votre poésie et les phrases magnifiques si gentiment soufflées, mais mon texte n'avait (je le dis aussi pour @Bruno Bonheur') aucune intention "poétique" - hormis à la toute fin.
En réalité, je partais sur l'idée d'un personnage un peu à la russe, ce qui en vous lisant tous ne s'est absolument pas vu. Bon ben... peut-être une prochaine fois !
Bonne soirée @Michel Laurent - ex Joker380
Chère Michèle, merci pour ton retour enthousiaste et les petits cœurs. Je suis contente que tu aies pu te retrouver dans cette saine rébellion de rêveuse ! Belle soirée à toi. Bises. @Zoé Florent
Bonsoir Bruno,
Je te sens un peu déçu, ça arrive, mais il est vrai que cette ancienne nouvelle n'avait pas pour but d'explorer la langue, plutôt de parcourir une idée, une aspiration. C'est un texte volontairement léger, même s'il exprime une de mes convictions.
"Penser à rêver" était un de mes premiers boulots d'Arts plastiques, j'avais peint un mini mur et collé un mini post-it "Penser à rêver" dessus. J'imagine très souvent des ajouts aux paysages lorsque je me balade... Merci pour ton retour. Belle soirée et bon week-end à toi.
@Pierre Sansberro Salut Pierre. Oui, j'ai confondu " l'éloge" d' Eugène Marsan avec "le droit" de Lafargue, le beauf de Karl, 40 ans plus tôt. Et tous deux parlaient effectivement de paresse....
@Michel Laurent - ex Joker380 Ca ne serait pas plutôt" Le droit à la paresse" mon petit marxounet!
Dans ma jeunesse, l’un de mes livres de chevet était L’Éloge de la paresse de Paul Lafargue. Pour ce visionnaire allongé, trois heures de boulot par jour, c’était bien assez. Le reste du temps devait être consacré à des activités récréatives. Aujourd’hui, je nous verrais bien sculpter des pastèques ou même écrire des haïkus sur les chats qui tombent. Prolongeant le rêve de Lafargue, votre texte, @Vanessa Michel, toujours éminemment poétique, est un vibrant hommage à la divine inutilité, au plaisir de flâner et de rêvasser.
J’ai seulement deux petits désaccords avec vous :
- « le premier champignon et le premier flocon sont tout aussi valables » (p. 6) . L’adjectif « valable » me donne l’impression qu’il y aurait quelque part un comité secret qui tamponnerait nos idées avec un gros tampon "APPROUVÉ". Moi, j’aurais plutôt dit quelque chose comme : « Flocon qui tombe du ciel ou champignon qui éclot sous les feuilles, le miracle tient parfois dans ce premier éclat qui nous arrête le cœur. «
- Par ailleurs (mais c’est là une affaire de goût), plutôt que de "profiter longuement d’un banc d’oiseaux désordonné dans le ciel", je préfère admirer ces ballets aériens où les oiseaux, mieux synchronisés qu’une réunion Zoom, tracent des figures géométriques d’une poésie céleste : flèches, spirales, voiles qui se plient et se déplient, comme si le vent révélait des secrets cachés à l’œil distrait.
Bravo encore à vous.
Je suis bien d'accord avec vous !
Merci pour ce retour qui me touche beaucoup @Pantinois et belle journée à vous.
Merci à vous Pierre ! Belle journée et à bientôt.
@Pierre Sansberro
Je dédie cette version alternative, légèrement remastérisée, à Monsieur Pierre Sombrero.
J'ai également une pensée particulière pour le Comte de Clermont - s'il passe dans les parages ;-)