« Il y a toujours quelqu’un qui meurt. »
Au travers de quelques nouvelles et textes poétiques, cette constatation sillonnera, comme un fil rouge, les tranches de vies de personnages aussi attachants qu’inquiétants parfois… De la fille facile à l’écrivain en instance de divorce, en passant par un repenti, une pianiste confinée, un facteur, un flic New-Yorkais, une coiffeuse, un chauffard, un tueur de la mafia, une jeune fille ukrainienne ou un candidat présidentiel… Ces personnages sont à notre image… Humains.
Ce livre est noté par
@Philippe De Vos
Bonjour Philippe.
Merci de ce retour sur mes textes. Vous êtes sûrement le premier à citer ce que vous avez aimé. Une attente de ma part pour connaître ce qui plaît chez "les autres". Force est de constater que la beauté est dans l’œil de celui qui regarde, et que les ressentiments sont affaires de goûts finalement très personnels. De même que nos écrits reflètent ce qui se cachent au plus profond de nous, nos lectures semblent, au contraire, prendre un chemin différent. Il est tout de même intéressant de connaître les avis de chacun. Intéressant, et curieux aussi, de s'apercevoir que notre vision des choses est aussi différente que complémentaire... Par exemple, vous semblez préférer ici les textes courts (très courts même, on parle d'une seule page) alors que mes préférences vont à l'inverse sur mes textes les plus longs... Réactions en chaîne et Fille facile restant mes préférés. Bien sûr je n'aime pas quand c'est trop long, il faut effectivement trouver le juste milieu. J'aime beaucoup cependant Le job et Ma moitié, mais le format très court est quelque chose qui m'est presque impossible à faire... J'ai tellement de choses à dire !!! Pour vous citer un exemple ; pour le challenge du mois prochain, où MBS nous demande d'écrire un texte sur le sujet "Rien ne s'est passé comme prévu", j'ai effectivement commencé une histoire (Karma) qui ne devait pas dépasser les deux pages selon les indications du site... Peine perdue, mon texte a fini par faire 5 pages, voire 8 si je choisis une police plus lisible pour le site. Je pense le publier ici même, si jamais je prends la décision de m'abonner au site pour plus de facilité de publication.
Il n'y a qu'à regarder la longueur de mes commentaires !!! Je ne sais pas faire court.
Pour ce qui est des textes poétiques, j'ai déjà des contacts avec deux figures incontournables de ce site que sont Pierre D'Arlet et Galodarsac, avec qui j'ai même converser en vers, tant ce qu'il écrit me subjugue. Mais au final, même si la poésie dite "classique" reste le fondement de tout ce qui a été fait par la suite. Je ne suis pas sûr de vouloir m'enfermer dans ce classicisme. En effet, comme je me suis expliqué avec Pierre D'Arlet, ce qui m'a amené à la poésie, ce sont d'abord les chansons française de ceux qui sont malgré tout considérés comme des poètes alors même qu'ils contournent les règles établies. J'estime, pour ma part, qu'un texte accessible, est plus à même d'intéresser les gens à la poésie véritable, que le plus grand des classiques qui cumulera en son sein la totalité des règles établies.
Je vais tenter malgré tout le défi de produire un texte dit "classique", mais revisiter mes anciens textes me semble, pour le moment, une chose impossible à faire, sans toucher au sens même de ce que je voulais dire initialement. Mais pour un prochain... Pourquoi pas !? Le défi est de taille, et prendra certainement du temps. J'ai deux "maîtres" pour me guider et m'inspirer pour cela ;-)
Merci encore du temps passé en compagnie de mes personnages, et surtout de ce beau retour en commentaire... J'ai toujours vos textes en bibliothèque, et soyez assuré qu'une fois lus, je viendrai laisser un commentaire, c'est la moindre des choses ;-)
Au plaisir de vous lire à nouveau.
Cordialement
Eric
@Renaud R
Un grand merci tout d'abord pour ces 5 étoiles lumineuses, et merci également pour m'avoir choisi le temps de quelques pages et histoires. J'espère qu'elles vous plairont. N'hésitez pas à me dire quels textes vous avez appréciés.
Concernant ce sondage, j'ai lu la même chose que vous, à savoir un retour favorable de la peine de mort, ce qui a motivé la réécriture de ce texte que j'ai écrit il y a plus de 30 ans. Au début, il ne faisait que deux pages, et ne racontait que le rêve troublant d'un futur étudiant en droit. Ces 40 pages sont donc plus extrêmes, et j'ai poussé la réflexion assez loin pour éveiller les consciences. Nous vivons aujourd'hui dans un monde violent, empli de monstres humains que les gens ont à cœur de voir mourir, pour une vie plus sereine. Ce sentiment d'injustice de voir des prisonniers nourris à la sueur du peuple, plus l'insécurité grandissante de nos villes et cités, engendrent une peur farouche qui nous rapproche des solutions extrêmes.
Mais supprimer une vie n'a finalement rien d'anodin. J'ai tenté ici, de démontrer l'extrême gravité d'un tel acte, et des conséquences qui s'en suivent. Mes recherches ont été nombreuses pour étayer les propos des deux personnages principaux, et j'ai essayé de citer des phrases de grands hommes pour illustrer les situations.
J'ai mis ce texte en premier pour donner le ton de l'ensemble de mon recueil. Ce n'est pas joyeux joyeux...mais comme il a été dit dans un autre commentaire, j'ai essayé d'être juste dans mes propos et dans les mots que j'ai choisis.
Bonne lecture pour la suite ;-) et au plaisir de vous lire à nouveau.
Cordialement
Eric
@ RodigueHatu
Merci de votre intérêt pour mon ouvrage, et de ces belles étoiles, les premières finalement, qui vont avec. J'avoue que le "magistralement" n'est pas pour me déplaire, même si je ne sais pas à quels textes cet adverbe se rapporte. Quelles ont été les histoires qui vous ont le plus conquis ?
Merci également pour le titre... J'en voulais un qui ne soit pas trompeur sur la marchandise, et qui prévienne d'emblée, qu'il ne s'agit pas vraiment de textes comiques. Quant au premier texte de ce recueil, ses 11 700 mots en 40 pages, en font effectivement plus une novelette qu'une nouvelle. Mais le terme n'étant pas encore très répandu, j'ai préféré inclure ce texte dans un terme plus général, puisque qu'au final, nous sommes très loin du roman court.
Un grand merci encore de m'avoir lu, et surtout d'avoir pris le temps d'écrire ces quelques lignes ;-)
Au plaisir de vous lire à nouveau...
Cordialement
Eric
@Pierre d'Arlet
Bonjour mon cher Pierre.
J'ai lu avec attention et curiosité également, puisque je vous l'avais cordialement demandée, votre formulation sur ce que vous pensiez qu'il y avait à changer. Je retrouve effectivement les remarques faites dans un précédent commentaire concernant ma versification pour le moins approximative. J'ai jeté un œil (quelle curieuse expression finalement...on voit bien mieux avec les deux !) sur le lien de votre commentaire. Une vraie mine d'or, en termes de constructions et de règles en tous genres. Et à la lumière de ce que j'y ai pu lire. Je comprends mieux certaines de vos remarques. Je vais essayer d'être plus bref que dans mon précédent commentaire, finalement presque aussi long qu'une nouvelle... Et je m'en excuse. Quand la passion parle, il est bien difficile de la faire taire. Il s'avère que j'y ai lu des choses très intéressantes, pour le moins stimulantes, et je dirais même excitantes. Merci pour ce lien où j'ai pu découvrir d'autres liens qu'il faut que je parcoure également. Cela m'a donné envie de retravailler, une fois de plus, mes textes pour en corriger quelques-uns, voire tous peut-être même... Vous qui parliez de progression pour sublimer la langue écrite, je crois que l'on est sur le bon chemin, non ? Et c'est en grande partie grâce à vous.
Avec tous mes remerciements...
Eric
Bonsoir @Eric BEAUME,
Je ne me sens aucunement qualifié pour donner des leçons de versification, et le seul respect que vous pouvez me manifester n'est dû qu'à mon grand âge et non à mes compétences.
Vous devrez , si cela vous intéresse, trouver sur internet les nombreux sites qui s'y rapportent.
Exemple https://www.gil-poesie.fr/flo1_oni_myndie-domi.php
Pour répondre malgré tout à votre demande, simplement pour illustrer mes critiques (positives), je vous suggère des corrections qui, bien entendu, vont démolir le poème, le fond et la forme étant indissociables...
1ère strophe de "Elle" :
Je vais vous raconter l’histoire d’une fille.
Que m’importe son âge et qu’importe son nom.
Elles sont par milliers et dans chaque famille
Les parents en sont fiers et ils ont bien raison.
Mais ce n’est pas vraiment ce que vous vouliez dire…
Pourquoi tous ces changements ?
1- Nécessité d’alterner une rime feminine (e-es) et une rime masculine.(autres)
2- Les rimes doivent être toutes les deux soit singulières, soit plurielles. Enfant#temps
3- Il "y e" n a , Pe"u i"mporte ,sont des hiatus.
4- Suppression des virgules à la césure.
5- Et toujours 12 pieds.
La strophe suivante présente une difficulté majeure alors qu’elle est presque bonne : Il n’y a que des rimes féminines. Il faudrait tout changer…
(Comme dans mon poème « la plage »)
Si on oublie ce défaut, ce pourrait être :
Une enfant comme une autre, innocente superbe
Qui nous fait regretter de n’avoir plus son âge
Quand elle nous paraît, marchant pieds nus dans l’herbe,
Belle nymphe sublime au rayonnant visage.
et là, je trouve que ce n'est pas mal...
etc.
C’est passionnant et difficile. Je ne suis même pas sûr de n’avoir pas fait de fautes moi-même dans mes suggestions.
Beaucoup vous diront qu’il n’est pas nécessaire de s’embarrasser de telles subtilités du moment qu’on écrit de jolies choses, mais le lecteur a quelquefois des exigences !
Bon courage,
Amicalement.
@Pierre d'Arlet
Bonjour Pierre. Je ne prends aucunement ombrage de ces remarques, car je sais pour ma part ne pas être un professionnel de quoi que ce soit, mais plus un néophyte. J’en ai conscience. L'écriture est pour moi une passion, certainement pas mon métier. Quant au site de langue française, malgré les "packs" proposés pour la correction d'éventuels textes publiés, il m'arrive parfois de trouver quelques erreurs dans les articles publiés. Allez sur l'appel à l'écriture "Rien ne s'est passé comme prévu", et là, rien qu'à mon humble niveau, j'ai trouvé deux erreurs … "parait" sans accent circonflexe, ainsi que "mauvaises augures" qui, si je ne m'abuse, est un nom masculin (qui plus est le titre de mon recueil). Le plus ironique, c'est qu'il est spécifié en fin d'article ... (copié/collé) "Merci de soigner votre orthographe et syntaxe car vos textes paraitront tels quels." Toujours sans accent... Pour autant, même si j’ai été tenté d’en faire la remarque dans un commentaire, je ne l’ai finalement pas fait, car je sais moi-même ne pas être irréprochable sur ce plan.
La perfection n'est pas de ce monde, et j'ai conscience qu'il me reste du chemin à parcourir, tant dans la versification que pour le reste. Si j'étais excellent en orthographe durant mes études, j'avoue que j'avais bien du mal avec la grammaire, à identifier les compléments, adverbes et autres réjouissances de la langue française. Mais j’avais déjà une attirance pour les rimes de Lamartine et d’Hugo. Pour ce qui est de la ponctuation, c'est autre chose. J'ai lu des auteurs reconnus, qui publiaient des textes avec lesquels ils jouaient plus qu'ils ne respectaient les conventions établies. Baudelaire, lui-même créa une innovation poétique qui lui valut par ailleurs dans un premier temps, les foudres de la censure et des bien pensants de l’époque. Loin de moi, très loin même, de me comparer de quelque manière que ce soit, à cet alchimiste mélancolique qui a plus ou moins changé les choses (faire chanter les mots tout en parlant d’une charogne, n’est quand même pas donné à tout le monde).
Les choses changent, c’est inévitable. Une sorte d’évolution naturelle. La poésie moyenâgeuse n’a plus rien à voir avec celle de Victor Hugo, et encore moins celle de Ponge. Doit-on alors se cantonner à un classicisme absolu? Ou peut-on accepter des changements mineurs, quitte à abandonner l’idée même de poésie, en retenant la notion de « texte poétique » ? Peut-on accepter une évolution naturelle pour toucher, non pas les esthètes qui ne seront jamais satisfaits du résultat, mais les amoureux des mots, des histoires ?
Je pense que oui, nous pouvons accepter ces changements… Car même dans la littérature générale, la poésie à fait place au théâtre, le théâtre au roman, et le roman aux essais divers comme Perec qui écrit un livre entier sans la lettre « E », symbole même de la disparition évoquée dans son titre. Que dire de Queneau et ses « Exercices de style », qui à lui seul, bouleverse allégrement et sans vergogne les schémas « classiques » de l’écriture et surtout du récit… Finalement, sous couvert d’une curiosité, d’une envie, d’un ennui peut-être, allez savoir, ils ont tous deux été des précurseurs, avant d’être des auteurs reconnus « classiques » finalement. Il doit y en avoir beaucoup d’autres, mais en l’instant, ce sont les deux qui me viennent à l’esprit.
Mes écarts de versifications et mes virgules excessives (même si elles sont là justement pour aider le profane) seront donc pour le moins dérisoires et ne remettent aucunement l’existence même de la rime, et du profond respect que j’ai pour ceux qui la pratiquent dans sa forme la plus parfaite. Vouloir sans savoir est probablement ici mon crime le plus flagrant… Mais est-ce finalement un crime ? Surtout que je n’ai aucunement l’intention de renverser les codes pour en créer de nouveaux. Ici-même, nous ne communiquons pas dans un parfait et vieux françois, et pourtant nous réussissons tout de même à échanger.
Est-ce une si vilaine chose ? Aurait-on autant de textes à lire sur MBS si la perfection et le classicisme étaient une barrière à l’entrée ?
Ce qui compte dans une œuvre, quelle qu’elle soit, c’est quand même plus le fond que la forme. Le message est plus important que l'enveloppe qui le contient. Et ceci est valable pour tous les arts existants. J'essaie donc, dans la mesure du possible, de m'adresser au lecteur lambda (qui n'aura de fait, pas toutes les connaissances que vous semblez avoir en la matière) en faisant juste passer un message, ou en racontant juste une histoire... Comme pour "Elle" dont vous parlez ici, un texte que j'ai formulé comme l'aurait fait un troubadour.
Ce que je retiens, outre l’imperfection signalée, c’est surtout la pertinence que vous avez peut-être ressentie, au point que vous qualifiez mon texte comme étant « très bon », finalement. Rien que pour cela, je vous remercie, car au regard de ce que vous écrivez, je prends ces mots presque comme une récompense, oubliant presque au passage le précédent « dommage ». Je sais me contenter de peu de choses.
Comme dit plus avant, j'ai conscience qu'aujourd'hui nous parlons en "mangeant" les syllabes, les sons. C'est un fait. Mais je me demande si, en publiant quelque chose de parfait, nous n’aurions pas les mêmes reproches, mais inversés… A savoir une incompréhension dommageable.
Votre si beau poème « La plage », déclencheur de cet échange, aura par exemple, beaucoup plus de chance d’attirer les gens, que « L’odyssée » d’Homère ou « La divine comédie » et son empyrée Dantesque. C’est mon cas.
Très honnêtement, j’ai lu des « classiques » estampillés comme étant d'une perfection absolue, et très franchement je n’avais pas le niveau pour comprendre. Je m’en suis donc détourné. S’il y a quelque chose de dommageable, c’est bien cela. On a beau vous vanter les qualités nutritionnelles des insectes grillés et des larves vivantes, vous aurez beau faire un effort, quand ça ne veut pas passer… C'est une histoire de goût, pas d'irrespect.
Une autre question peut se poser… Ecrit-on pour les autres (un amour propre, envie de reconnaissance, ou recherche de respect par l’écrasante supériorité de style d’un individu sur un autre) ou d’abord pour soi-même? Peut-être un peu tout cela en même temps. Il est de notoriété publique que les artistes sont d’abord des égoïstes convaincus.
Comme je l’ai déjà dit, en ce qui me concerne, il s’agit plus d’une passion, peut-être même un besoin car, bien qu’ayant conscience d’une certaine banalité dans ce qui résulte de mes pensées, j’éprouve le besoin de coucher les mots sur du papier, car sinon ils ont tendance à m’obséder. C’est toujours mieux dehors que dedans. C’est ce que disent les psychologues ; si on a quelque chose à dire, il faut que ça sorte. De quelque manière que ce soit.
Bien évidemment, je ne suis pas fermé à la progression, bien au contraire, et si le cœur vous en dit, j’accepterai volontiers de correspondre avec vous, pour connaître votre vision plus précise de cet art si délicat. Comment auriez-vous mis en forme ce texte ? Apprenez-moi, mon cher Pierre, car malgré mon demi-siècle passé, j’avoue posséder toujours la curiosité de cet enfant qui mit un jour les pieds dans une bibliothèque municipale, ce qui changea sa vie à jamais.
Très respectueusement,
Eric
Bonsoir @Eric BEAUME,
Je comprends bien votre point de vue.
Mais vous publiez sur un site de langue française, et quand vous placez des virgules entre un sujet et le verbe ou le verbe et son complément direct, ce n'est plus du français.
Quand on relève pas moins de huit fautes de versification sur la première strophe de votre poème "Elle", qui est au fond un très bon texte, il y a quand même un problème.
Je me permets de vous dire ça très amicalement car je me suis fait proprement "allumer" moi-même le jour où comme vous j'ai cru avoir raconté une histoire en alexandrins. Ca y ressemblait, mais ce n'en était pas. Depuis, j'essaie de mieux faire, car si je publie sur mBS , c'est pour être lu, et souvent par des lecteurs avertis.
L'exercice est certes contraignant et freine quelquefois l'imagination poétique, mais le minimum pour un alexandrin est quand même d'avoir douze pieds et pas 13 ou 14 ! sinon votre poème est illisible. Les autres défauts, hiatus, non alternance des genres etc. sont moins choquants, et souvent même peu relevés, sauf par les puristes qui heureusement ne sont pas la majorité, mais grâce auxquels nous pouvons faire des progrès.
Je crois pour ma part n'avoir réussi à publier qu'un seul texte correct (un sonnet) depuis que je m'essaie à la rimaillerie, mais je ne désespère pas!
La chanson est une autre histoire ! Elle est faite pour être écoutée, pas lue...
J'ajouterai quand même que si vous relisez Bérénice de Racine, qui était écrite pour être déclamée et donc écoutée, je vous assure que tous ses vers comportent 12 pieds, pas un de plus, pas un de moins!
Bien sûr la poésie ne se limite pas à la forme, mais une versification solide ne peut que la magnifier.
Bien amicalement
@Pierre d'Arlet
Tout d'abord, merci de votre intérêt pour mon ouvrage. Le mélange nouvelles/poésies était risqué, mais je tenais à avoir des retours sur les deux. C'est chose faite pour mes textes poétiques. J'avoue que je dépasse souvent le cadre ordonné par les règles, mais je n'ai pas la prétention d'être un vrai poète qui utiliserait les enjambements et autres structures. J'utilise également beaucoup de virgules, surtout sur les alexandrins, pour donner justement au lecteur la pause nécessaire pour que le nombre de pieds soit respecté. Une syllabe "mangée" par une lecture trop rapide, et l'on peut penser également que le nombre de pieds n'est pas respecté. Ce qui rejoint donc votre point de vue sur le fait que ces textes sont plus efficaces en étant dits, et non lus... Écrivant essentiellement en rimes croisées (ABAB), il me semble donc que les rimes sont respectées. Ceci étant dit, il est vrai que plusieurs personnes m'ont déjà dit que mes textes se rapprochaient plus des chansons ou du mouvement Slam. Je travaille d'ailleurs avec un musicien pour mettre en musique certains de mes textes, mais ce n'est pas simple non plus, car en musique le nombre de pieds n'est par forcément respecté, pour combler la mesure.
Merci pour ce premier retour, en tous cas ;-)
J'attends désormais votre avis sur le reste de mes textes, que j'espère vous apprécierez... J'ai essayé de varier les styles et surtout les sujets.
Bonne lecture ;-)
P.S. Surtout, dites-moi quels textes avez-vous le plus appréciés.
Bonjour @Eric BEAUME
J'ai téléchargé votre ouvrage qui me semble intéressant. J'ai d'entrée recherché les poèmes, et là j'ai constaté que votre poésie est conçue pour être dite et non pas lue., car elle ne respecte aucune des règles élémentaires de la versification, tant dans les rimes que le nombre de pieds. C'est dommage, car les poèmes sont agréables à ..écouter.
Heureusement, seuls les lecteurs férus de classicisme seront surpris, et ils sont peu nombreux.
Bonne chance à votre ouvrage que je vais lire complètement maintenant.