J’avais trois projets
Un texte sur les contrastes extraordinaires de certains qui baignent dans la connectivité et d’autres qui en sont encore au moyen âge, voire à la préhistoire.
Un texte qui aurait cherché à déterminer à quoi sert le cri. Pourquoi les hommes et les animaux crient et peut-être d’autres qu’on n’entend pas.
Et un autre texte, un truc humouristique sur la turlutte, qui aurait envoyé au diable les deux textes intellectuels précédents.
La turlutte… Ça c’est un sujet, si vous ne savez pas ce que c’est, documentez-vous !
Tiens ! Je vais vous apprendre un truc. Le chien aboie, le chat miaule, l’alouette turlutte…
Ça ne m’étonne pas qui y en ait un qui a écrit la chanson
Alouette, gentille alouette…
Alouette je te… etc.
Bref ! J’ai mélangé les trois textes.
Ce livre est noté par
Ma chère @Parthemise33
Merci d’avoir passé du temps à me lire et de me faire rire avec vos commentaires Hilarants.
Je ne manquerais de vous faire signe lors de la prochaine bacchanale sur la dune du Pyla.
c'est la seule montagne du coin. faut faire avec...
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Cher @AndréSe
Merci d’avoir passé du temps à lire ma nouvelle et de l’avoir commentée. Je me demande où vous avez été cherché que c’était un extrait. Sûrement une confusion avec un autre texte. Très heureux de voir que vous êtes d’accord avec certaines de mes idées.
J’essaye toujours d’avoir une chute plus ou moins inattendue dans mes textes.
C’est plus drôle.
Un extrait original avec un personnage original.
Nouvelle assez touchante qui raconte la vie d'un solitaire hors norme, un berger, confronté à une certaine et grande solitude.
Les remarques faîtes au travers de cette nouvelle sont justes et judicieuses. La signification que vous donnez au cri est pertinente.
Les aptitudes que nous avons tous et toutes sont des dons naturelles qui viennent de la providence. On naît avec 2 bras ou 2 jambes ou pas.
`J'ai aimé cette ambiance de village chaleureuse avec ses événements insolites et mystérieux.
La fin est inattendue et drôle avec cette histoire de cri que le mâle fait pour attirer l’attention de la femelle.
Chère @Chanelle75
C'est un grand plaisir de vous revoir dans mes commentaires
Elle m’a dit d’aller là-haut
Crier sur la colline
J’ai crié tant que j’ai pu
Elle n’est jamais venue…
Lalala, lalala, etc…
C’est la différence entre poésie et réalité.
Mais il ne faut pas perdre espoir.
Y a une couille dans le potage de temps en temps.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Ma chère @Michèle C.
Ça a été un plaisir pour moi d’écrire cette histoire où je voulais développé les étonnants pouvoirs de l’homme nu par rapport à l’homme moderne bardé de technologie.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
@Galodarsac
Mon cher Patrick
Au début, avec mes trois sujets (comme je les décris dans mon synopsis) on peut penser à juste raison que le troisième était tendancieux. Ça devait être un conte pour adultes avec la participation de la fée Lation.
Mais la partie de moi que je ne commande pas en a décidé autrement.
Et ce texte finit dans mon esprit par la fin naturelle des contes qui m’ont fait rêver dans mon enfance.
« Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. »
Merci pour ce commentaire généreusement auréolé d’étoiles.
FF
Ma Chère @Catarina Viti
Quel beau commentaire ! Avec un commentaire dithyrambique comme çà je démarre sur les chapeaux de roues. Et un grand merci pour toutes ces étoiles.
Le mois dernier, J’ai visité la maison de Jean Giono à Manosque comme il n’avait pas internet, il vivait au milieu de 8000 livres et une tribu de porte-plumes. Il a écrit tous ses bouquins à la plume avec une régularité de machine à écrire sur des feuilles sans lignes.
Sincèrement, y avait de quoi rendre jaloux les mecs comme moi qui n’auraient jamais écrit une ligne s’il n’y avait pas les ordinateurs.
Quand je suis rentré, j’ai mis mes deux ordinateurs sur mon bureau, toutes mes souris, tous mes stylos, tous mes crayons et je te leur ai soufflé dans les bronches, menacé d’être mis au chômage…
Bref ! Remotivé à fond j’ai écrit ce texte.
Tu vois, les artistes doivent se fréquenter même à titre posthume, ça déclenche l’émulation, l’envie de créer. Mes doigts se sont mis à écrire sur un papier imaginaire dans mon esprit le texte que tu viens de lire.
Merci encore pour ce beau commentaire, je t’embrasse.
FF