J'ai été touchée par l'histoire de Morgan Segui, diffusée à la radio, cet été.
Cela m'a inspiré un texte court... "d'après (donc) une histoire vraie".
C'est une histoire de vie, de survie, de prise de conscience...
Bien entendu, ceci n'est pas l'histoire de Morgan, juste une pensée pour lui, grâce à lui.
Pour connaître son histoire telle que lui la raconte :
https://www.facebook.com/watch/?v=1987679548404764
Ce livre est noté par
@Yann POREE
Merci, Yann, d’avoir pris le temps de lire et pour votre retour. Heureuse que ce texte ait pu vous offrir un bon moment.
@Frédéric Pavlenko
Bonjour Frédéric, merci pour votre lecture et ce retour. Je vais aller découvrir votre « petite philosophie du paddle » qui, si elle résonne avec ce texte, doit être aussi inspirante.
Bien à vous, Alice Houan
Bonjour @Zoé Florent,
Merci pour cette précision. Il semblerait en effet que nos perceptions diffèrent, mais c'est justement la richesse de ce genre d’échanges. J’apprécie votre attention portée au texte et aux détails, et je suis ravie que vous ayez partagé votre ressenti.
Bonne continuation également,
Alice Houan
@ALICE HOUAN Bonjour chère Alice,
Si vous prenez le temps de lire quelques-uns de mes commentaires développés, vous constaterez que vous n'avez pas "subi un régime spécial".
Je vous ai donné mon ressenti et signalé quelques maladresses en prenant le soin de ne pas évoquer le sujet qui fâche... Je croyais avoir tout juste, et voilà que je constate que nous n'avons pas la même conception de ce qu'est la langue de bois... Pff, c'est ballot ;-) !
Bonne continuation également. Amicalement,
Michèle
Bonjour @Zoé Florent :)
Merci pour cet avis détaillé qui, je dois l’avouer, m’a autant surprise qu’amusée. Vous semblez avoir scruté le texte avec une précision chirurgicale, cherchant le moindre pli dans sa structure. Cela force l’admiration pour votre dévouement ;)) même si, je l’avoue, je ne partage pas votre vision de l’écriture. Il est vrai que je n’écris pas pour les perfectionnistes obsessionnels, mais pour les lecteurs qui, eux, s’abandonnent au plaisir du récit et de l’émotion. Peut-être est-ce un langage qui vous est moins familier ?
Quoi qu’il en soit, je vous remercie de m’avoir lue jusqu’au bout, malgré votre aversion pour mes "chaque" et mes participes présents. J’en suis presque flattée ! Je vous souhaite de trouver un texte qui, peut-être, répondra un jour à vos attentes si exigeantes. Qui sait ?
Bonne continuation à vous, avec ma complicité d'autrice;))☺♥
Alice Houan
@Sylvia Myriam. Merci pour ce retour si juste. Si ce texte a pu évoquer ce noyau essentiel qui nous rappelle notre place face à la nature et la force des valeurs simples, alors je suis heureuse qu'il ait touché juste. Merci pour votre lecture et vos mots !
Bonjour @Alice Houan
Un petit noyau abstrait qui nous rappelle que nous ne sommes rien au sein de la nature, qui met en avant les valeurs fondamentales de la vie !
Réussi !!
Sylvia Myriam
Bonjour @Alpha Keïta, merci pour ce message empreint de gratitude. Si ce texte a pu rappeler la précieuse beauté de l'eau et de la création, alors j'en suis ravie. Merci pour votre lecture et votre ressenti.
Bonjour Alice. Ce beau texte m'inspire de la gratitude pour l'eau du ciel ainsi que pour toute la création. Bravo !
Merci, @Nelson M, pour ce retour chaleureux. Je suis touchée que l’écriture ait su transmettre cette puissance et cette vulnérabilité de la nature face à l’humain. La scène du fruit et la notion d’eau sacrée symbolisent effectivement cette beauté simple mais essentielle que nous partageons tous. Merci d’avoir ressenti et exprimé ce contraste si profondément. Bien à vous,
Alice.
Cher @Denis Bichet, merci pour ce commentaire qui souligne si bien l’essence de la nouvelle. Votre lecture du texte, comme une descente aux enfers suivie d’une renaissance dans la simplicité, capte magnifiquement cette leçon de modestie et de bonheur retrouvé. Je suis ravie que le texte ait pu vous toucher.
Bonjour @Nicola Niclass, merci pour vos mots et votre regard philosophique sur la nouvelle. Ce questionnement subtil sur l’avenir de l’homme est au cœur de ce récit, et je suis heureuse qu’il ait trouvé écho chez vous. Au plaisir de partager d’autres réflexions littéraires.
Bien à vous tous,
Alice Houan
Une écriture métaphorique très agréable, très fluide, vous avez le talent de faire parler la nature et de nous faire ressentir les émotions du narrateur, ce qui est une performance notable. Au travers de votre écriture puissante, vous nous faites sentir à quel point la nature est souveraine alors que nous les êtres humains nous sommes éphémères. Il est beau ce contraste que vous faites ressortir. Vous avez de très belles paroles pleines d'espoir qui touchent le cœur: la beauté celle qui sauve et guérit n'est jamais inaccessible. La scène du fruit que le narrateur mange et qu'il le sauve alors qu'il meurt de soif est parlante. Même quand on est au bout du bout l'instinct de survie est très forte, c'est ce qui transparait dans votre récit. L'eau est sacrée.
Chère @Catarina Viti,
Votre commentaire est une étincelle de clarté et de soutien, que je reçois avec gratitude et sourire. Si ce texte a pu capter un fragment de la beauté brute de l’expérience humaine, et surtout laisser place au lecteur pour qu’il y trouve sa propre résonance, alors la mission est en partie accomplie. Merci pour ces trois cœurs qui confirment que l’histoire a su tracer son propre chemin. Vous décidez si bien de vous écarter des notes de 10/10 pour privilégier une recommandation sincère !
Un grand merci pour votre lecture généreuse et votre retour bienveillant.
Cher @Joker380,
Votre style poétique et votre série d’aphorismes sont une lecture en soi, un regard presque ironique et bien aiguisé sur le texte. En jouant avec ces contrastes et inversions, vous captez peut-être ce que peut parfois être la quête d’inspiration : un chemin sinueux, où la lumière semble se dérober, et où chaque phrase devient un défi. Merci pour cette perspective créative qui, elle aussi, offre aux lecteurs un point de vue supplémentaire sur l'expérience de lecture et d’écriture.
Inspiré de la célèbre raffarinade « La route est droite, mais la pente est rude », je dirais qu’en littérature aussi :
Le stylo est plein, mais l'inspiration est vide.
Les mots s'alignent, mais le sens s'égare.
Le livre démarre, mais la fin se dérobe.
Les idées sont claires, mais les phrases sont troubles.
Les pages s'écrivent, mais le chef-d'œuvre se cache.