Chris Martelli
Présentation

A vélo, en ville ou à la campagne. Je roule et je lis toujours à fond et "sans dérapage".

Chris Martelli a noté ces livres

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Cher Jean-François Dion, vous savez depuis longtemps que je suis fan ! Et ce nouveau roman m’a plu comme les autres. Et comme finalement je ne vois pas pourquoi je dirais autre chose que ce que je vous ai déjà dit dans le passé, je vais faire preuve d’une grande fainéantise et copier / coller mes mots d’avant. J’ai été chercher mes commentaires sur vos livres, qui je trouve s’appliquent tout aussi bien à votre dernier récit. J’aime vos mots. J’aime votre regard sur la femme (sur moi !!!) Merci. DES PHOTOS Si ce n’est pas forcément un roman de filles, ce n’est pas tout à fait le contraire non plus. Vous parlez des femmes comme un homme qui les aime. Et qui les comprend déjà beaucoup. Votre œil d’observateur attentif et jamais rassasié donne de l’audace à toutes ces photos et vous permet des réflexions vraiment bien vues. Il y a plein de talents dans votre roman et une grande qualité… on ne peut pas résister à tourner les pages. Et un grand défaut… on est frustrée à la fin queue de poisson. L'HOMME QUI N'AIMAIT PAS LA MER Il m’a semblé plaisant de continuer sur ma lancée du même auteur dont j’ai découvert avec bonheur un premier livre. Et dont j’ai aimé le second tout autant. Votre délicate écriture, vos fines pensées, l’apparent détachement de votre principal personnage… et vos fins sans fin, oui, c’est bien vous. LES PORTES, ET LES SONS QU'ELLES FONT Vous êtes fort. Vos récits le sont. Votre écriture l’est. Je m’aperçois que je vous suis fidèle ! (et que je vous suis) Comme un écrivain dont on ne veut pas louper le dernier roman. Les votres sont tous différents. On s’y attache. Ce n’est même pas une question d’empathie. C’est une réalité de ne pas pouvoir quitter une histoire dont la chimie s’installe, page après page. Ça y est, je suis arrivée à la dernière page. Je dis bien à la dernière page, pas au mot "fin", car comme dans vos autres livres lus, vous ne voulez pas de fin. Et ça rend vos histoires encore plus magnifiques parce qu’elles portent en elles une part de mystère entretenu, protégé. Surtout laisser des zones d’ombres pour que le lecteur puisse faire sa part de chemin. Chacun le sien, vous l’inventer, et nous le laisser faire sa trace dans notre mémoire. Très beau roman. Je m’en souviendrai. PHILIPPE ET PHILIPPINE On sait quand on commence un de vos livres que l’on va être prise. Celui-ci ne fait pas exception, j’y ai passé une partie de ma nuit et j’ai fini à l’heure de l’apéro. Une fois encore vous m’avez bluffée. j’ai apprécié votre savoir creuser profond, comme un archéologue, à la brosse à dents, couche par couche révéler le moi de vos personnages. Parfois un peu long pour mon impatience, mais vous n’êtes pas dans la recherche de scoop, du rebondissement. Non, votre truc, vous, c’est le pointillisme, les taches de couleurs qui s’ajoutent les unes aux autres, le château qu’on voit construire cartes après cartes. Je ferme la dernière page en me disant, chapeau ! Et merci !
Publié le 28 Juillet 2022
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De l’art d’être infiniment une observatrice. De petits riens qui font des grands tout. D’un détail qui devient essentiel. D’un récit tentaculaire, dont on ne peut plus très vite ne pas connaitre la chute. J’adore vous lire !
Publié le 16 Juin 2022
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oughhhh c’est dense. Ecrire c’est survivre, dîtes-vous. Sûrement. Et sûrement pas que pour ceux pour qui c’est vital. J’aime votre titre. Comme une bouteille. Et votre nom, comme celui d’une danseuse du Crazy. Même si on sait vite qu’il va y avoir un sacré contraste avec cette illusion ! c’est fou le nombre de phrases majeures que vous avez dispersées tout au long de votre mémoire. Quelle résilience (bah je n’aime pas ce mot). Quelle force brute. Et quel amour, surtout. Malgré tout. (j'ose "atemberaubend" - espérant que ce n'est pas un faux ami !)
Publié le 28 Avril 2022
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Incroyable et curieuse histoire. Et curieuses personnes. J’ai été mal à l’aise un bon moment avant de comprendre votre règle du jeu et d’avoir envie de poursuivre. Sans doute pour savoir tout simplement. Vous avez une manière étonnante de raconter, cette distance que vous mettez sur tout, sur les protagonistes, sur les descriptions (rares), la narration toujours rapide, ne creusant jamais, ni les personnages, ni les actions, vous tenez la baguette, on survole au rythme que vous imposez, on tourne les pages cherchant de l’air, puisque vous ne nous laissez pas respirer !, ce découpage ‘’mono cousine’’ au début (et en commençant pas par la plus… comment dire ? passionnante). Et puis on arrive à la troisième cousine et commence une autre histoire, plus dans le présent qu’au passé. Et cela devient dingue. On est happé. C’est vertigineux, vous nous plongez dans des abysses, on croit que vous nous allez nous ménager pour nous laisser la tête hors de l’eau, à peine en fait. Parce que là vous creusez, vous exploitez le filon à fond. Très très fort, catégorie assez inoubliable, chapeau.
Publié le 03 Février 2022
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Vraiment vraiment bien, j’ai beaucoup aimé ce récit. C’est simple, vrai. Vos personnages génèrent une empathie formidable. Comme ça, sans aucun effet de manches, on les accompagne où qu’ils soient, quoi qu’ils pensent. Et puis cette manière que vous avez de sauter d’une scène à une autre, comme si mettre des points de suspension la rendrait plus légère. Et non ! au contraire, le ver est dans le fruit et on y pense la page d’après. Bravo, magnifique roman. (sauf pour moi la dernière page…)
Publié le 07 Décembre 2021

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