Nouvelle extraite du recueil “Une autre réalité”.
Pour cette ultime soirée, Eugénie s'était parée de ses plus beaux atours...
Ce récit relate tout en délicatesse, l'histoire d'une histoire qui n'en finit jamais.
Bonjour @Maud de Fayard
Merci pour votre belle analyse sur la journée illusoire du fantôme du temps, et sur ce vieux chêne qui absorbe l'invisible pour se régénérer l'espace d'une journée.
Amicalement,
Annie
@A.P. Gounon
Chère Anne,
Tu as raison, dans mes écrits le fantastique n'est jamais très loin.
Merci pour ta fidélité à mes élucubrations imaginatives.
Bises, et à bientôt de pouvoir lire une de tes prochaines œuvres.
Annie
J’ai beaucoup apprécié la mélancolie et le bucolique, tout à la fois. Ce vieux chêne qui chaque année met sa belle parures fleuries pour une journée, une idée si délicate. Eugénie contenue par sa folle passion est un peu comme un recueillement dans l’espoir.
@Annie Pic. Délicate en effet, et joliment écrite, cette nouvelle qui commence classiquement. Mais le fantastique vous rattrape, chère Annie, et j'adore le vieux chêne qui refleurit un jour par an... Merci pour ce charmant partage. Bises. Anne
Bonjour @Alice Houan
Merci Alice, votre parallèle avec “Les aiguilles du temps” n'est pas dépourvu de bon sens. En effet, le temps qui s'écoule laisse une empreinte surannée dès que l'on regarde dans le rétroviseur de ce qui nous parait déjà si lointain, alors que ce n'est qu'une brève distance de ce qui a été et de ce qui sera. Dans “La musique du temps” la métaphore du vieux chêne, qui reverdit pour une journée, s'apparente à l'état émotionnel d'Eugénie, et à l'illusion du temps.
Amicalement, Annie
Annie, je dois dire que votre Eugénie a ce charme des héroïnes éternelles du gothique, figée dans un éternel retour de ses illusions brisées. C’est à la fois sombre et terriblement ironique : ce Noël, qui devrait être joyeux, devient pour elle la scène d’un théâtre bien macabre.
J'ai essayé d'imaginer ce pauvre chêne qui, année après année, refleurit juste pour la voir réapparaître avec son amour et son amertume... comme s’il en avait marre, lui aussi, de ce scénario qui n’en finit jamais ! Ça me rappelle mes Aiguilles du Temps, où le temps est tout aussi indifférent, mais complice, nous rappelant qu’il trace sa route sans se soucier de nos petites histoires.
Alors, votre texte, c’est un peu ça : une partition où le temps mène la danse, cruel mais poétique.
Chère Michèle @Zoé Florent
Merci pour ta lecture et la perspicacité de ton commentaire.
En effet, dans cette courte nouvelle, j'ai souhaité définir une atmosphère aux senteurs nostalgiques.
« Submergée, Eugénie reste prisonnière de sa folle passion... »
Et cette évocation venant d'une époque révolue, prête à réflexion.
Merci pour tes trois jolis petits cœurs, et très belle journée à toi, bises.
Annie
@Annie Pic Merci pour cette jolie nouvelle aux fragrances nostalgiques, chère Annie. Beaucoup de romantisme dans l'évocation de ce souvenir impérissable qui se manifeste avec une régularité de métronome sous la surveillance d'un grand chêne centenaire et ponctuel, fidèle au rendez-vous. Un récit tout en atmosphère, tout en douceur, et une autre facette de ton style que j'ai découverts avec grand plaisir... Merci encore, bises et bonne fin de journée, Michèle
Publié le 21 Octobre 2024
Annie Pic
Biographie
L'écriture, c'est un art très personnel.
Son pouvoir m'a permis à chaque étape de ma vie, d'élaborer mes pensées.
Je me...
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Bonjour @Maud de Fayard
Merci pour votre belle analyse sur la journée illusoire du fantôme du temps, et sur ce vieux chêne qui absorbe l'invisible pour se régénérer l'espace d'une journée.
Amicalement,
Annie
@A.P. Gounon
Chère Anne,
Tu as raison, dans mes écrits le fantastique n'est jamais très loin.
Merci pour ta fidélité à mes élucubrations imaginatives.
Bises, et à bientôt de pouvoir lire une de tes prochaines œuvres.
Annie
Bonjour @Alice Houan
Merci Alice, votre parallèle avec “Les aiguilles du temps” n'est pas dépourvu de bon sens. En effet, le temps qui s'écoule laisse une empreinte surannée dès que l'on regarde dans le rétroviseur de ce qui nous parait déjà si lointain, alors que ce n'est qu'une brève distance de ce qui a été et de ce qui sera. Dans “La musique du temps” la métaphore du vieux chêne, qui reverdit pour une journée, s'apparente à l'état émotionnel d'Eugénie, et à l'illusion du temps.
Amicalement, Annie
Merci @Françoise ROCHE pour votre moment de lecture apprécié.
Amicalement, Annie
Belle nouvelle pleine de nostalgie merci beaucoup pour ce moment de lecture !
Chère Michèle @Zoé Florent
Merci pour ta lecture et la perspicacité de ton commentaire.
En effet, dans cette courte nouvelle, j'ai souhaité définir une atmosphère aux senteurs nostalgiques.
« Submergée, Eugénie reste prisonnière de sa folle passion... »
Et cette évocation venant d'une époque révolue, prête à réflexion.
Merci pour tes trois jolis petits cœurs, et très belle journée à toi, bises.
Annie