La comtesse déchue

22 pages
Extrait
de Jean Benjamin Jouteur
La comtesse déchue Jean Benjamin Jouteur
Synopsis

L'histoire peu crédible imaginée dans les ruines d'une ferme oubliée. Je l'avoue, j'ai fantasmé quelque peu sur une dame que je croisais souvent. Elle n'était ni comtesse, ni déchue, mais possédait les deux qualités que je prête au personnage de cette nouvelle : La beauté et la noblesse : Celle du coeur !

Publié le 10 Décembre 2024

Les statistiques du livre

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9 commentaires , 8 notes
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@Papou Bezard Et surtout, merci à toi de l'avoir lu, ami Papou... Une histoire bizarre, vous avez dit Bezard ?

Publié le 17 Décembre 2024
3
Si ceux qui ne connaissent pas encore Jean Benjamin Jouteur souhaitent découvrir sa plume, c'est bien avec cette histoire fantasmagorique. Merci, l'ami, de l'avoir publiée sur ce site. Etonnant, non?
Publié le 17 Décembre 2024

@AUDRAS Frédéric Merci, Frédéric, pour ce retour. Oui, l'histoire est étonnante... comme le disait Arthur C. Clarke : "La science-fiction est quelque chose qui pourrait se produire – et la plupart du temps, vous n’en auriez pas envie. Le fantastique est quelque chose qui ne pourrait pas se produire – alors que vous aimeriez souvent que cela arrive."

Publié le 16 Décembre 2024
3
Quelle histoire étonnante dans un style remarquable ! La lecture de votre nouvelle est très agréable, j'ai été happé par ce récit. Merci beaucoup pour ce partage.
Publié le 15 Décembre 2024

@alain.lamoliatte Bonjour Alain, houla ! n'en jetez plus ! Lorsque vous citez ces auteurs magnifique (surtout Hugo) je rougis du sommet de mon crâne chauve à la pointe de mes orteilles. Merci, vraiment, pour votre retour. Nous avons tous plusieurs vies... il suffit parfois de simplement s'en rappeler

Publié le 12 Décembre 2024
3
Bonjour Jean. Comment pouvez-vous être un descendant de Zola, Balzac et Hugo? Car c'est à eux que j'ai pensé en lisant votre nouvelle. Dieu que c'est bien écrit et que l'histoire est belle. Bien sur que l'homme sur la photo c'était vous, vous avez vécu plusieurs vies pour nous narre quelque chose de si formidable. Alain.
Publié le 12 Décembre 2024

@Kroussar Grand merci pour cette pluie d'étoile, Kroussar... Amitiés à toi aussi

Publié le 12 Décembre 2024
3
OUPS ! Avec les trois cœurs, c'est beaucoup mieux.
Publié le 12 Décembre 2024

J'ai vraiment aimé ce conte entre rêve et réalité ! Parfaitement bien écrit et délicieusement malicieux.
Amitiés,

Publié le 12 Décembre 2024

@bichetdenis Oui, il n'est pas d'amour impossible, il en est des difficiles, et même de très difficiles... Et plus ils semblent inaccessibles , plus ils sont heureux... merci pour ce commentaire.

Publié le 11 Décembre 2024

@Catarina Viti Oui, Catarina, nous avons tous dans le coeur des moments en Ombrie ou ailleurs... des rencontres furtives, des sourires fugaces partagés, et même des silhouettes de passage que l'on a jamais oubliées. Merci à toi pour ce retour.

Publié le 11 Décembre 2024

@Valérie Pison2 Moi le dingue de ciné, je ne puis qu'être touché par votre commentaire, merci Valérie

Publié le 11 Décembre 2024

@Hubert Merci à vous d'avoir rêvé avec moi

Publié le 11 Décembre 2024
3
Un rêve éveillé. bravo et merci pour le partage
Publié le 11 Décembre 2024
3
Quelle histoire merveilleusement écrite. Comme devant un écran de cinéma, j’ai vécu de l’intérieur la découverte de la ferme et la rencontre avec ces personnages attachants. Merci pour ce texte empreint d’une belle nostalgie.
Publié le 11 Décembre 2024
3
C'est vraiment un plaisir de pouvoir dégainer sans hésitation des coeurs à un auteur qu'on connaît et qu'on apprécie pour mille raisons. Et pas juste parce que c'est lui, parce que c'est moi et que... Pour le texte, et lui seul. Pour le soin avec lequel il a été écrit, ciselé. Pour le plaisir dont l'auteur a été saisi à imaginer l'histoire. Pour tout ce que cette histoire fait renaître chez la lectrice (des moments en Ombrie, en Suisse, dans les Alpes, dans les Pyrénnées, le Massif Central -des moments de rencontre, des souvenirs presque effacés... mais en Ombrie, surtout... une nuit, dans un village qu'on ne retrouvera jamais, dont on n'a jamais su le nom, un visage, un prénom qui résonne encore : Walter (comme Bonatti)). Merci J.B pour cette délicieuse plongée entre rêve et réalité. Et comme on dit chez moi : se non è vera, è bella !
Publié le 11 Décembre 2024
3
Histoire d'outre temps, pleine de nostalgie... nous avons tous, un jour, été interpellés par une vieille bâtisse mangée par la végétation, qui avait dû accueillir la vie, des joies, des peines, avant de sombrer dans l'oubli, impitoyable. Belles descriptions... distorsion du temps... vie parallèle, onirique... Et cette union qui défie le temps et bouscule les conventions... Elle n'a rien d'impossible. Je me souviens d'une féministe allemande qui avait épousé un maffieux sicilien et semblait heureuse...
Publié le 10 Décembre 2024