Les Silences du pain

16 pages de carpov
Les Silences du pain carpov
Synopsis

Dans un village provençal, un boulanger solitaire et une mère exilée redonnent vie à un four éteint...

Publié le 08 Janvier 2025

Les statistiques du livre

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9 commentaires , 3 notes
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@Foxyne Moon
Merci Foxyne, votre commentaire fait chaud au coeur! J'ai écrit ce texte pour participer à un concours de nouvelles sur le thème : héritage et tradition. J'espère qu'il suscitera la même réaction dans les rangs du jury! Sinon, ce n'est pas bien grave, il vous aura procuré un moment de lecture agréable, et c'est déjà une réussite.
Meilleurs voeux pour cette année qui débute!

Publié le 10 Janvier 2025
3
@carpov. J'ai lu avec plaisir votre nouvelle. Je me suis retrouvée dans des collines où j'avais déjà marché avec Pagnol et avec tous ces écrivains qui décrivent la Provence, région qui est devenue la mienne il y a dix ans. On sent dans vos personnages toute la rudesse de leur vie mais également la joie de certains moments. Le but d'une nouvelle est d'écrire un pan de vie en très peu de lignes. Et c'est ce que vous avez réussi à faire. Bravo. Je vous souhaite une bonne continuation et que 2025 vous couvre d'inspiration. Foxyne
Publié le 10 Janvier 2025

Soyez sans crainte, "vous ne ferez pas" du Giono ni même du Pagnol, même (et surtout) en le voulant !
Mais si vous le souhaitez, je peux vous poser quelques questions qui devraient vous permettre de vous mettre sur la voie de votre voix unique... et provençale !
En off.

Publié le 10 Janvier 2025

@Catarina Viti
Alors parlons-en! Madame Catarina! :)
Mais laissez-moi d'abord retoucher un peu le texte. Il y a des souvenirs qui me remontent. Le problème, c'est que j'ai peur de faire du Pagnol ou du Giono, je les aime beaucoup, mais les copier ferait de mon texte une bien pâle imitation...
Avec votre permission, de reviendrai vers vous.
Amicalement.
Laurent

Publié le 10 Janvier 2025

Merci pour votre réaction, @carpov.
On peut en parler tant que vous voulez, de cette histoire de nature comme protagoniste principal d'une histoire !
Et nous avons nos maîtres en la matière (Giono surtout), et notre Sublime Maîtresse : la colline de chez nous.

Publié le 10 Janvier 2025

@Catarina Viti
"Et si ce commentaire ne vous convient pas, je l'enlèverai sur simple demande, de manière à ne pas ternir votre aura d'écrivain."
Ah! C'est bien mal me connaître Catarina! Je suis plus un écrivant qu'un écrivain! Rien ne me fait plus plaisir que votre commentaire! Je n'y vois pas une critique gratuite, mais un encouragement et un intérêt. Vos remarques sont fondées et pertinentes. La seule pensée qu'elles m'inspirent, c'est de faire aboutir ce texte à quelque chose de meilleur.
Je vais essayer de le réécrire en tenant compte de vos suggestions.
Un grand merci Catarina!

Publié le 10 Janvier 2025

Dommage que la nature ne joue aucun rôle dans votre écriture, c'est une dimension qui lui fait cruellement défaut.
L'histoire, nous la connaissons déjà ; ce sont donc ces éléments qui manquent au texte, ou plutôt : ce protagoniste central.
Par ailleurs, je ne sais pas si vous êtes sensible au détail, mais le thym n'émet pas de senteur en été dans nos collines (éventuellement, suivant où se déroule l'hisoire, vous pourriez avoir la senteur des fenouils sauvages -mais dans certaines conditions qui pourraient même intensifier votre récit-, celles des cystes ladanifères, du lentisque, ou tout simplement de l'essence de pin), et il est rare en plein été de croiser pissenlits et pignons (d'autant qu'il n'y a plus, dans la colline provençale, que du pin d'Alep). Bref (puisque vous êtes originaire de Marseille, vous comprendrez aisément le sens de mes remarques), un récit auquel le principal protagoniste de tout récit provençal fait bien défaut.
Alors, bien entendu, quel est le pourquoi de cette remarque ?
Pas pour vous embêter, mais pour vous encourager vivement à insuffler une nouvelle dimension à votre texte. A le faire vivre du dedans.
Prête à en discuter si vous le souhaitez.
Et si ce commentaire ne vous convient pas, je l'enlèverai sur simple demande, de manière à ne pas ternir votre aura d'écrivain.

Publié le 10 Janvier 2025

@Zoé Florent
Bonjour Michèle, je ne te félicite pas pour avoir laissé passer une telle faute! :) Une nouvelle fois tu avais raison, l'épisode du four était plus important que je ne l'imaginais. Un grand merci pour ta relecture, il ne reste plus qu'à croiser les doigts.
Bises.
Laurent
ps. Non seulement il fait chaud, mais c'est les vacances!

Publié le 10 Janvier 2025
3
@carpov Sobriété à tous les niveaux... Voilà ce qui caractérise cette nouvelle et la densifie. Dialogues tout en attitudes, en gestuelle, soumission apparente cachent des tempéraments rudes, déterminés, qui rendent tes personnages attachants. Ils m'ont évoqué ceux de ta première nouvelle mise en ligne ici. Ambiance, ton et style similaires t'avaient déjà valu l'allusion à Marcel Pagnol. /// @galodarsac, au temps pour moi pour le "fût", Patrick, et désolée, Laurent. J'ai dû avoir un gros, gros coup de mou ;-). Mais le "dut" de la page 13 est correct (passé simple sans accent). /// Merci pour ce joli partage. J'espère que ta nouvelle sera remarquée dans le cadre du concours auquel tu participes. Belle journée (30º... petit veinard. Ici, il fait froid et il pleut des cordes :-(... ). Amicalement, Michèle
Publié le 09 Janvier 2025

@galodarsac
@Ampre
Bonjour, merci pour vos commentaires élogieux. Zoé Florent m'avait déjà averti que le four devait être rallumé bien avant qu'il ne l'était dans ce récit. Mais cette entorse à la crédibilité me permettait de terminer la scène avec l'enfant qui regardait les flammes. Cela me semblait plus fort. Après avoir lu votre remarque, je me rends compte que j'ai eu tort. J'ai donc écrit une nouvelle version plus crédible.
Ecrire cette nouvelle a été un vrai plaisir pour moi, et je suis très heureux qu'elle en ait procuré.

Publié le 09 Janvier 2025

Un récit très bien écrit et émouvant, qui n'est pas sans évoquer Pagnol, toute une atmosphère s'élève sous votre plume légère.
Si légère qu'elle a fait indûment s'envoler l'accent circonflexe de "fût", page 11, sur "dut", page 13. Si vous le remettiez à sa place, le récit serait parfait :)
Peut-être un léger remaniement de l'histoire aussi, car les boulangers traditionnels faisaient chauffer leur four bien avant de préparer la pâte, pour pouvoir en retirer la braise (et il fallait plus qu'un fagot pour cela). Je le sais car j'ai eu l'occasion d'y assister dans un village de vieilles pierres, et ça vaut le coup d’œil !
Bien à vous
-LGA

Publié le 09 Janvier 2025
3
J’ai trouvé cette histoire très touchante et bien écrite !
Publié le 08 Janvier 2025