Zoé Florent

@AHUSKI Bonjour Caroline. J'ai passé un agréable moment à lire ces quelques nouvelles très imaginatives. Mes préférences sont allées à "Double J", Joseph", "Gregory" et "Jenny" (à cette dernière, tout particulièrement). /// J'aurais bien vu "Je m'appelle Rivière" narrée à la troisième personne afin d’éviter le côté naïf et les pensées improbables de votre adorable Labrit. /// Sinon, j’ai trouvé le scénario de "chloé" un peu capillotracté, et la dernière nouvelle m'a laissé, comme à l'un de vos autres lecteurs, une impression d'inachevé. /// Pour ce qui est de votre style, le verbe simple et les phrases courtes donnent un certain rythme, mais les enchaînement parfois trop abrupts nuisent à la fluidité de l'ensemble. Pour améliorer la musicalité, se faire lire par un synthétiseur vocal, l’écouter, est un bon outil, qui présente aussi l'avantage de mettre en évidence oublis et répétitions. /// Merci pour ce joli partage et bonne journée ! Amicalement, Michèle

Bonjour @Sylvie ETIENT. Voici mon retour après lecture intégrale sur Kobo... /// Ce fut un vrai plaisir de retrouver Rose, dont je gardais un souvenir précis en dépit du temps écoulé entre la parution des deux tomes. Ses tâtonnements de citadine, parisienne jusqu’au bout des ongles, son individualisme affirmé, m’ont encore amusée ou agacée selon, au gré des nombreuses péripéties qui pimentent ce roman. J’ai apprécié de retrouver Milo itou. Milo, doux et fier, ouvert d’esprit, cohérent, droit dans ses bottes... En quelques mots : Milo toujours aussi débordant de charme ;-) ! J'ai cru comprendre de qui tu t'es inspirée pour Gaïa, versus hiératique de l’héroïne citadine, comme j’ai cru reconnaître le concours littéraire, le site pour autoédités… Avec l’édition du roman de Rose, et pour avoir trop souvent lu ce genre d’expérience, ces parties m’ont moins intéressée, je l’avoue, mais elles intéresseront ceux qui les découvrent, c'est certain. /// Ce que j’ai apprécié : l'aisance de ta plume, riche et précise, comme de coutume, avec ce petit quelque chose de léger qui ne la rend pas ronflante. L’évolution de Rose, bien sûr, et la fin qui conclut sur une stabilité retrouvée. Les relations Milo-Martial-Melchior, le travail de la vigne, l’anecdote du cabanon. Ces petites touches d’humour, d’autodérision qui persillent le récit... En bref, une suite (ou une fin ?) très plaisante. /// Merci pour ce très bon moment passé en compagnie de personnages hauts en couleur, attachants, pour la plupart. Bonne journée ! Amicalement, Michèle

@Alhéna Skat Bonsoir, chers Alhéna et Jan. Merci pour cette nouvelle publication qui confirme qu'Alhéna va mieux, ce qui me ravit. /// C'est un bien joli conte que vous avez écrit. Dans la lignée de ceux qui ont marqué notre enfance... avec cependant l'avantage de délivrer un message clair, car certains d'entre eux sont restés abscons pour la fillette que j'étais, tel le conte d'Andersen : "La princesse au petit pois". Je me souviens encore de mon incompréhension à sa lecture, c'est dire :-) ! /// Merci encore, et surtout, prenez grand soin de vous. Je vous embrasse, Michèle /// PS : bravo à Jan pour l'élégante couverture ! Et bien sûr, un deuxième bravo @J P LAURIER pour cet art du vers aussi spontané que bien à propos.

bonjour @Albert H. Laul_2. Interpellée par votre commentaire sur la tribune d'Antall, je me suis penchée sur votre recueil, que j'ai lu en trois fois, afin de mieux le goûter. /// Sujets et formes variées rendent la lecture attrayante. J'ai apprécié votre regard sur notre genre, la joliesse de vos phrases, le choix de vos mots. Sensible à la musicalité, j'ai savouré leur mélodie. Quant aux descriptions des "images du monde flottant" d'Hokusai, elles ont ravi mon oeil comme mon esprit. /// Merci pour cette jolie bulle intemporelle et bonne journée. Amicalement, Michèle

@Fred Opalka Bonjour Fred. Retrouver un personnage que l’on connaît déjà, revivre sa passion pour le tableau de Munch, sa relation ambiguë avec le Professeur, regarder de nouveau danser Madame Balaquine dans son dressing sur un air de Julie London, s’extasier encore sur le choix et l’assemblage des mots pour les écrire, est suffisamment rare pour être pointé, créer une alerte : “Hé, pépite, auteur talentueux en vue !” /// “Ce tout petit supplément d'âme / Cet indéfinissable charme / Ce j'n'sais quoi que d'autres (romans) n'ont pas / Qui nous met dans un drôle d'état”, le tien le possède, comme Ella, dans cette chanson signée Michel Berger. /// Y ajouter une enquête policière (certainement dans le but de le classer dans un genre qui se vend mieux) fut une erreur, selon moi. Cela a cassé le nerf de l’histoire en la diluant. Sans l’effet parasite d’autres personnages, de leurs investigations, Alex accapare toute notre attention, occupe le devant de la scène, interprète avec force le rôle qui lui revient. /// Merci pour le partage de cette séduisante nouvelle version ! Bises amicales et bonne fin de journée, Michèle