Zoé Florent

Bonsoir @JeanPignon. À peine ai-je quitté le monde du professeur, sa CHUUT et sa MOC, qui m'ont bien fait bidonner, que me voilà propulsé dans cet autre, différent, mais toujours peuplé de neurones en ébullition qui jonglent, ricochent, à grands coups d'humour et d'autodérision, faisant un pied de nez à la morosité. /// "En terre rouge m'a évoqué "La réplique du chaos", de Jean-Pierre Barberine (un extrait est toujours disponible ici, je crois) : même voyage dans les méandres entrelacés de souvenirs, mâtés d'une touche onirique tour à tour délirante ou simple écho déformé de la réalité, qui prennent forme à la suite d'un fort traumatisme.... /// J'aime bien ce que vous écrivez, votre plume, cette façon dont vous mettez vos lecteurs dans la confidence, dès le départ. /// Merci pour cet autre partage, tout aussi singulier que "La machine à oublier les cons", et bonne soirée ! Amicalement, Michèle

@JeanPignon2 Ingéniosité, jusqu'au-boutisme, humour... Quel cocktail détonnant ! Devenue mouche dans l'esprit du professeur, je vous ai lu avec jubilation. La CHUUT, la MOC du MEC, excellent... jusqu'au bouquet final, aussi évident qu'implacable... /// Je suppose que le choix de votre pseudo n'est pas étranger à la pièce, devenue film, de Francis Weber, "Le dîner de cons", film que je visionne chaque fois qu'il repasse sur le petit écran avec un plaisir renouvelé. /// Merci pour ce partage original, fort bien écrit au demeurant, que j'ai zappé lors de sa parution. Votre petit tour par ma page me l'a rappelé, et je ne regrette pas d'avoir fait à mon tour une incursion sur la vôtre. /// Bonne fin de journée ! Amicalement, Michèle

@Marie-Hélène-Renaud-Fontès Il y a quelque temps déjà que vos mises en ligne me font de l'oeil, aussi ai-je sauté le pas ce matin, attirée par le titre de cette nouvelle. /// J'ai bien aimé cet écrit court, son rythme, ses fausses pistes habilement menées, votre plume... Seul bémol à mes yeux, car il contrarie légèrement la plausibilité de la scène finale : j'aurais plutôt vu Patrick armé d'une masse pour venir à bout de la garce ;-). Merci pour ce partage et bonne journée ! Amicalement, Michèle

@Alhéna Skat Bonsoir, Alhéna et Jan. J'avais tellement hâte de connaître la fin de l'histoire de "L'enfant du péché" que j'ai laissé ma lecture en cours pour m'y consacrer... et je ne suis pas déçue ! /// Que la réalité dépasse la fiction, cela arrive, et je m'y étais préparée, après lecture de la première partie et de votre commentaire qui attestait de la véracité de ce récit. Pourtant, l'impression de lire un conte ne m'a pas quittée, tant le destin d'Iris est incroyable, tant les beaux sentiments, si galvaudés de nos jours, triomphent sur tous les plans, nous offrant une fin de rêve qui réconcilie avec l'humanité. /// Mille mercis pour avoir ressuscité ces incroyables destinées qui m'ont fait retrouver l'innocence intacte de mes premiers émois... Sacré coup de jeune ! Serait-ce là votre filtre de jouvence, chère Alhéna ;-) ? Bises affectueuses à vous deux, Michèle

@Rosalie Fleuret Un concentré de mots, fort, épuré, qui fige avec justesse le sentiment de l'instant, la détresse de l'être rejeté, qui se noie dans la ronde infernale d'une mésestime de soi qui le tire indéfiniment vers le bas... Je ne sais pourquoi vos phrases-uppercut m'ont évoqué l'émission "Strip-tease", mais je sais qu'elles m'ont touchée. Merci pour ce partage fin, sensible... Amicalement, Michèle