EVASION EN COURTS

@orsini sylvie Bonjour, ma chère Sylvie

Ne vous en faites pas pour le supposé retard, y a pas le feu au lac ! De mon côté, c'est idem pour répondre à votre amical coucou. Depuis quelque temps, je ne reçois plus les notifications de commentaires sur mes 3 comptes et comme je ne suis pas scotchée à longueur de journée sur le site, je ne les vois que le jour où je me connecte. Je m'attends si peu à en trouver que c'est une grosse surprise !

Ce qui est magique avec la lecture, c'est qu'on peut partager avec nos doubles, des personnes avec qui on entre en osmose et grâce à mBS, nous pouvons le faire. Parmi tant d'écrivains que j'apprécie, j'aimerais tant pouvoir discuter avec Steinbeck et avec le grand romancier Simenon, mon mentor en écriture, celui qui m'a stimulée pour oser entrer en écriture.

Je vous retrouve dans la journée sur votre page pour vous citer un passage de votre magnifique roman, qui m'a fortement interpellée. Votre œuvre est une pépite que je me régale à la lire, à mon rythme.

En attendant, je vous souhaite une toute belle journée et vous envoie d'affectueuses pensées depuis mon Auvergne ensoleillée.

Fanny

@Fannydumond2
Coucou, chère Fanny, je prends enfin le temps de vous répondre, et surtout de vous remercier de tout cœur pour votre message débordant de sensibilité et d'authenticité. Votre regard bienveillant sur mon roman et vos encouragements m'ont beaucoup touchée - et le mot est faible !
Vous faites partie de ces personnes avec qui l'on se sent immédiatement en confiance, sans masque ni artifice, et je pense que les rares auteurs avec lesquels vous entretenez un lien épistolaire ont beaucoup de chance de faire partie de ce cercle de privilégiés.
Et puis, quelle belle façon vous avez de vivre l'écriture : comme un don, un partage... mais aussi comme une quête de vérité, de lien et d'émotion.
Malgré votre grande humilité - qui vous honore - vous tracez votre chemin littéraire avec une sérénité admirable. Félicitations pour votre 10e ouvrage ! C'est une belle reconnaissance, et surtout, une preuve de votre persévérance et de votre talent.
Et d'après vos lignes, il semble que vous ayez encore quelques manuscrits en réserve... Vous m'avez fait penser à Amélie Nothomb, qui a publié de nombreux ouvrages, tout en gardant presque autant de textes, qu'elle ne souhaite peut-être jamais publier, dans ses cartons.
J'ai souri en lisant votre évocation de la Corse. C'est vrai, on n'en revient jamais vraiment. Lorsque je l'ai découverte pour la première fois, je suis repartie avec une seule idée en tête : y retourner.
Mes parents y étaient déjà installés, j'avoue que cela a facilité les choses...
Quant à votre Auvergne, je suis certaine qu'elle n'a rien à envier à la Corse, même si je ne l'ai jamais visitée. J'ai eu la chance de découvrir plusieurs régions en France, toutes plus belles les unes que les autres, et je peux affirmer, les yeux fermés, que notre pays est un véritable joyau.
Je vous souhaite de tout cœur, Fanny, de pouvoir un jour vous rendre en Égypte. Et lorsque vous vous tiendrez au pied des pyramides, j'espère que mes oreilles siffleront en entendant l'écho de vos paroles : "Elle avait raison ! C'est tellement plus beau en vrai !"
Merci encore pour votre fidélité, votre douceur et votre belle lumière.
Bien affectueusement,
Sylvie

@orsini sylvie bonjour !

Coucou, chère Sylvie, ma compagne en écriture, deux âmes qui se sont reconnues. Je vous remercie infiniment pour votre retour sur mes « papotages » ! Je vous lis très petit à petit parce que votre roman, richement documenté, n’est pas un insipide page-turner. Je savoure vos magnifiques descriptions de paysages, et j’en suis à me demander comment est-ce possible que vous n’ayez pas encore de commentaires ? Beaucoup d’entre-soi sur ces plateformes (c’est juste une constatation) et je ne cherche pas à savoir qui est qui ? Je ne commente pas à tire-larigot, mais sur des publications qui m’accrochent vraiment. Je corresponds seulement avec 3 personnes, un Français avec qui je partage notre passion, notre amour fou de la littérature et avec deux jeunes à 6 000 km de la France ; nous partageons nos cultures, nos modes de vie, nos doutes, nos espoirs et avec les trois, nos joies, nos chagrins et nos rigolades. J’en aurais pour une éternité pour rassembler nos centaines de correspondances confidentielles, par surcroit. Je garde contact avec une petite poignée d’auteurs avec qui je ne corresponds pas, mais qui sont sincères lorsqu’ils me font des petits coucous, de temps en temps et vice versa lorsqu’ils publient d’autres textes. Je vous rejoins, notre temps n’est pas élastique, nos vies matérielles, terre-à-terre et trépidantes prennent le pas sur celles plus profondes, spirituelles. J’ai une PAL de 10 livres papier en attente, car en ce moment, j'ai de nombreux échanges avec mon éditeur qui a bien voulu accepter mon 10ᵉ ouvrage, c’était pas gagné ! Je n’écris pas pour vendre, c’est pour les offrir et pour ma petite fierté de les voir dans ma bibliothèque. Hélas, je n’ai pas assisté au coucher de soleil dans le golfe d’Ajaccio sur les îles Sanguinaires. Alors là, je me demande si ma famille chérie ne m’aurait pas ramassée à la petite cuillère. J’aimerais beaucoup retourner en Corse : « on y va une fois, on y retourne toujours ». Contrairement à nous, vous avez fait davantage de beaux voyages qui vous ont éblouie l’âme et le cœur et j’en suis très heureuse pour vous. Je vous envoie tout plein de gros poutous depuis mon Auvergne, la petite Corse, dit-on. Fanny

@Fanny dumond2
D'accord, je comprends mieux à présent... la sensibilité que je pressentais dans vos mots, ce lien profond que vous entretenez avec la beauté, avec l'Art, celui qui bouleverse, qui nous dépasse.
Votre message m'a énormément touchée, Fanny, tant par sa sincérité que par cette révélation de vous-même, tout en douceur, comme on entrouvre une porte sur un jardin secret.
Je trouve l'idée d'un recueil de votre correspondance, égrenée au fil des années avec d'autres passionnés des mots et de littérature, mais aussi née de ce besoin de rompre la solitude de l'écrivain, absolument géniale ! Si vous avez conservé ne serait-ce qu'une partie de ces lettres, vous devriez vraiment envisager de les publier. Comment ne pas penser à "Lettre à Anne", ce bouleversant recueil de plus de mille lettres que François Mitterand à écrites entre 1962 et 1995 ? Vous, chère madame de Sévigné des temps modernes (j'adore !), vous pourriez l'intituler "Lettre à toi, compagnon de plume"...ou peut-être "Lettre en quête d'écho", car c'est bien ce que vous faites : écrire, semer, espérer que les mots rencontrent une âme réceptive, même loin, même plus tard ; et en profiter au passage, pour y glisser entre deux confidences, votre parcours... quelques petites anecdotes sympathiques, votre vision des choses et en particulier de la littérature. Je suis persuadée que vous avez une infinité de choses à partager, et votre plume, si juste et si humaine, mérite d'être lue largement.
Vous évoquez le golfe d'Ajaccio, et je me suis tout de suite demandée si vous aviez eu le bonheur d'assister à ce moment suspendu où les Sanguinaires semblent s'embraser doucement, comme une offrande au ciel ? Ce coucher de soleil-là à quelque chose de sacré...
Quant à vos confidences sur Notre-Dame, vous m'avez ramenée à mes propres émerveillements : Florence, les plafonds du Palazzo Pitti, que mon fils, petit enfant, contemplait allongé sur le sol, comme pour mieux épouser le regard des anges... Et plus récemment, les pyramides d’Égypte : tant de fois vues à la télévision, mais en présence réelle, elles m'ont donnée cette sensation physique de petitesse, comme face à une montagne façonnée par le divin... qui est dans l'homme.
Et lire que vous ressentez quelque chose de semblable dans les pages de mon livre... c'est un cadeau précieux. Vous touchez quelque chose de très intime chez moi.
Je dois toutefois vous confier que je ne pourrai, malheureusement pas entretenir une correspondance aussi régulière que vous le souhaiteriez. Entre mon travail, mes responsabilités familiales, des parents âgés qui réclament de plus en plus mon aide et mon roman à écrire qui est encore loin d'être terminé, les journées me paraissent décidément bien trop courtes. Mais je ne me fais aucun souci : votre intarissable inspiration saura combler les silences et faire vivre l'échange sans contrainte.
Merci Fanny, pour votre confiance et votre beauté d'âme. Je suis très heureuse de cette rencontre. Et je me réjouis de vous lire encore, à votre rythme... et au mien.

@Orsini sylvie Bonsoir !

Savez-vous, ma chère compagne de plume, que je me suis inscrite sur Mbs voici une décennie, déjà ! pour sortir de ma solitude d’écrivailleuse, afin d’avoir des échanges constructifs, pour faire partie, en quelque sorte, d’un club de passionnés de littérature et que je ne me vexe jamais, bien au contraire ! J'accueille avec gratitude tout de qui me permet de m’améliorer. Je suis un peu plus âgée que vous de quelque treize ans, et je pense qu’on apprend tous les jours et tout le long de notre vie. Finalement, le plus beau, c'est que grâce à cette inscription, j’ai fait et ferai encore quelques précieuses rencontres, même à des milliers de kilomètres de chez moi, qui perdurent dans le temps et qui me permettent d’avoir des relations épistolaires depuis 7/8 ans. En rigolant, je leur dis que je pourrais en faire un énorme bouquin, pour faire comme l’épistolière madame de Sévigné.

Qui n’a pas de doutes dans la belle aventure de l’écriture ou dans tout art ? Si on est sûr de soi, c’est qu’il y a comme un petit problème. D’un naturel timide, j’écris pour mon plaisir, voire mon amusement. La première fois, j’avais pris mon courage à deux mains pour poster mon premier roman et ma foi, je ne le regrette pas.

Je ne sais pas s’il s’agit vraiment du syndrome de Stendhal. Je suis tombée deux fois en amour d’un lieu au point d’en pleurer, comme si j’étais ailleurs, dans un autre monde ! Dans les années 80 dans la cathédrale Notre Dame de Paris. J’avais lu quelques livres historiques sur ce chef-d’œuvre et m’est venu une vive émotion à penser à ses bâtisseurs qui pour beaucoup n’ont jamais vu l’aboutissement de leur art. Et le lieu est imprégné de quelque chose qui m’a dépassée. Le Divin que je vais retrouver dans votre livre, d’après le premier chapitre que j’ai lu. En 98, le golfe d’Ajaccio qui est tout simplement l’une des merveilles de la nature qu’on se demande, quand on sait voir, comment une telle beauté peut exister ? Époustouflant !

J’ai donc commencé de vous lire et là, vous avez tapé dans le mille avec moi. Outre votre magnifique écriture, le fond me correspond. Soyez patiente, parce que je lis peu longtemps sur écran because mes yeux ont quelques soucis et je dois les ménager.

En vous souhaitant une bonne et belle continuation, je termine mon papotage ; je suis intarissable quand je m’y mets ! Alors, je vous dis à dans quelque temps sur votre page.

Fanny très heureuse de nos beaux échanges.

@fanny dumond2
Et voilà comment naissent les histoires ! Un souvenir, un lieu, une image, un incident qui aurait pu virer à la catastrophe...si la providentielle clôture n'avait pas résisté à l'assaut d'un taureau mal luné. Peut-être étiez-vous un peu trop vêtus de rouge !
Merci beaucoup, Fanny, d'avoir pris le temps de partager avec moi ce moment palpitant qui a inspiré votre nouvelle !
Et je suis presque certaine que, parmi celles que vous n'avez pas encore publiées, il doit bien y en avoir une qui se déroule sur l'Ile de Beauté...dont vous semblez être "innamurata", comme on dirait ici.
C'était un plaisir de vous écrire, même si j'avoue avoir eu un peu peur de vous vexer en exprimant mon ressenti personnel. Mais j'ai été agréablement surprise, voire même très touchée, par votre belle réponse.
Chère compagne de plume, votre attitude face à l'écriture - lucide mais confiante - m'inspire à garder le cap, même quand les doutes s'invitent.
Excellente fin de soirée à vous, et au plaisir d'échanger encore...

Bonjour@orsini sylvie
C’est avec grand plaisir que j’ai reçu votre fort sympathique commentaire sur mes textes apparemment déjantés et je vous en remercie beaucoup. C’est marrant, car chacun de mes lecteurs a une préférence pour telle ou telle histoire et c’est bien finalement qu’il y en ait pour tous les goûts. Ah oui ! se faire courser par un taureau me rappelle une anecdote vécue avec mon fils cadet âgé d’une dizaine d’années. Nous faisions une balade à vélo sur un chemin quand tout à coup un dans son pré a foncé tout droit sur la barrière de clôture qu’il a presque renversée. Dans la panique, mon fils a sauté de son vélo et a pris ses jambes à son cou en oubliant sa bicyclette. C’est comme ça que les beaux souvenirs refont surface pour en écrire des petites histoires. Comme toutes les mères, sans trop exagérer non plus, j’étais une maman poule et le suis encore, un peu ! Je garde d’excellents souvenirs de nos vacances sur l’ile de beauté et de liberté pour nos amis les animaux. J’ai été prise du syndrome de Stendhal dans le golfe d’Ajaccio ! J’ai fait un grand poster d’une photo des maisons tout au bord de la falaise, je l’ai encore. C’est vrai que la chute du dernier texte n’est pas terrible ! À retravailler quand j’aurai un peu plus de temps ! Chère Sylvie, je vous souhaite une excellente fin d’après-midi. Bien cordialement. Fanny (oui, un beau prénom que j’ai adopté pour écrire !)

@ Bonjour Fanny,
Un prénom que j'adore et qui colle parfaitement à vos charmantes nouvelles, fraîches et légères, en apparence, mais non dénuées d'une réalité plus complexe qui affleure entre les lignes. Gros coup de cœur pour "La leçon de maman" sûrement parce que j'ai failli vivre une mésaventure du même genre avec un taureau que je n'avais pas vu arriver...J'ai dû détaler comme une folle ! Et pourtant, le champ était bien dégagé. Comme quoi, on n'est jamais trop prudents, et les mamans ont bien raison de mettre en garde leurs oisillons ! En Corse, c'est bien connu : vaches, cochons et chèvres font la loi !
Quant à la dernière "Il est interdit de mater les dessous des...", je salue votre imagination débordante, même si j'avoue avoir espéré une chute un peu différente.
Au plaisir de découvrir vos prochaines histoires, avec toute ma sympathie et un brin d'admiration !

Ce jour, page 22, un rajout tout juste sorti du four "Il est interdit de mater les dessous des..."

Bonne lecture et peut-être à une prochaine fois.

Fanny

Bonjour@Buvard des mots Merci beaucoup pour votre beau commentaire poétique avec vos rimes en "ique". Comme je ne suis pas poétesse, je ne sais pas s'il est facile de les placer dans un poème. Bien cordialement. Fanny

@FANNY DUMOND2 : trois jolis contes oniriques écrits avec une belle touche d'humour ironique.

@Ange-François bonjour !
Par l’écriture, comme pour bon nombre d’auteurs, je m’évade de ce monde qui marche de plus en plus sur la tête. D’insidieux « cordons sanitaires » barrent nos vies ; nos libertés fondamentales sont bafouées. Et comme le dit si bien @Gaspard Galopin sur sa page « Merde Alors ! » CQFD. J’ai eu grand plaisir à lire votre retour de lecture et je vous remercie de la recommander. J’adhère à vos comparaisons sur RG qui, au-delà de soi-disant futilités pour adolescents boutonneux, faisait passer des messages : Culture, Histoire... dans son œuvre. Sur les tableaux impressionnistes qui ont sorti l’art de ses codes initiaux – liberté chérie de créer autrement. (j’ai mis en exergue sur mon premier livre « Liberté » de Paul Éluard). Quant aux autres textes, écrits sur l’instant, comment vous dire ? Comme j’en écris toutes les semaines, mon petit loisir devient une histoire sans fin, parce que les bougres me demandent des titres, des relectures et quelques corrections. Avec tous mes remerciements, je vous souhaite une bonne journée. Bien cordialement. Fanny

Bien "joué" ! Je ne dirais pas qu'il s'agit là d'univers absurdes mais de rêves qui comportent leur part de réalité. Vos textes me rappellent les rêves si joliment dessinés dans Tintin,les tableaux expressionnistes du début du xxe siècle. Bravo ! Où sont les dizaines d'autres ?

Bonjour@Corinne Messonique Je suis ravie de vous avoir embarquée dans mes évasions et de constater que vous savez lire au-delà des apparences. Je vous remercie beaucoup de votre passage sur ma page agrémentée de vos forts sympathiques petits cœurs. Bien cordialement. Fanny

Le titre est joli et correspond bien à vos histoires conduites par un désir de liberté : une belle énergie moqueuse, la critique d'un monde très policé et raisonnable déguisée en petites fables en apparence pleines de fraîcheur et de gratuité.

Bonjour Fanny, pour ne pas répondre sur la page des CHIFFONS, dont l'auteur veut se tenir à l'écart de la fureur du monde –ah ! les écrivains aseptisés – et si votre saut d'humeur m'est destiné, je me permets de vous retourner l'argument : de quel droit interdire au lecteur de savoir à qui il a affaire ? Si votre photo n'est pas gérée par l'IA, votre joli minois doit attirer les brouteurs et j'imagine que devant un profil glauque (qui signifie seulement sombre) vous préférez savoir qui est derrière. Alors pourquoi en faire grief aux autres ?

Bonjour@GUY MASAVI je vous remercie beaucoup pour vos cœurs et votre commentaire très flatteur, car j'aime lire ce mouvement littéraire de "l'absurde". Autrement dit, sortir des cases lorsque j'écris certains textes. Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année. Bien cordialement. Fanny

Du très court pour entrer dans de vastes univers absurdes

Bonjour@Yann POREE je vous remercie beaucoup de votre passage sur ma page et pour votre fort sympathique appréciation, encourageante à poursuivre sur ma lancée d'écrire sur l'instant, sans me prendre au sérieux. Et, je suis plus que ravie de vous avoir diverti le temps de votre lecture. Je vous souhaite de bonnes fêtes. Bien cordialement. Fanny

Original et divertissant.

bonjour@Vanessa Michel Ne dit-on pas que la lecture procure l'évasion de notre quotidien, mais de l'autre côté des pages, la réciproque est vraie. Lorsque j'écris, comme tous les auteurs, je me déconnecte de la réalité pour un moment hors du temps. Un grand merci à vous d'avoir apprécié le voyage en ma compagnie ; j'en suis ravie. Je vous souhaite de bien poursuivre vos belles activités et une bonne journée. Bien cordialement. Fanny, l'Auvergnate.

@FANNY DUMOND2 charmantes échappées renouvelées au coeur de votre plume chaque semaine... J'ai beaucoup apprécié le voyage. Merci !

bonsoir@Preveaut Merci très beaucoup ! Je suis ravie de savoir que vous avez apprécié mes histoires à dormir debout. Le terme me plaît, c'est exactement ça ! J'aime beaucoup écrire des bêtises et si elles ne sont pas soporifiques, alors, j'ai atteint mon objectif de divertir mes lecteurs. Je vous souhaite d'autres belles lectures ; vous avez de quoi piocher dans cette vaste bibliothèque. Bien cordialement. Fanny

Voilà de jolies histoires à dormir debout. Rafraîchissantes et pas le temps de s'endormir. j'ai appréciécié.

Bonjour@Maud de Fayard avec beaucoup de retard, je vous remercie beaucoup pour votre commentaire qui m'a fait grand plaisir de savoir que vous avez apprécié votre lecture. En fait, comme il en faut pour tous les goûts, j'ai choisi 4 histoires de genres littéraires différents. Il ne me reste plus qu'à savoir si la 4ème aura davantage attiré l'attention d'une autre personne. Je vous souhaite une bonne journée. Bien cordialement. Fanny

4 petites histoires étonnantes qui ont des fin inattendu. J’ai beaucoup celle des jumeaux et de la fée qui bien mignonne.

@Steve WALK Bonjour ! Si, si ! j’aime beaucoup les poissons rouges, comme toute la Création jusqu’au 5ᵉ jour ! Bien que c’était interdit de m’approcher de la pièce d’eau de mon grand-père, quand j’étais toute gamine, je restais de longs moments à les observer pendant que mes parents étaient affairés à servir les clients de sa guinguette au bord de l’Allier. Faut pas croire à toutes les bêtises que j’écris ! J’ai lu un passionnant article sur eux qui remet tous les clichés à plat. Des scientifiques ont étudié leurs comportements grâce à des séries de tests étonnants. Ils ont beaucoup de mémoire sur le long terme, s’attachent à leurs soigneurs, ont des sentiments ou des aversions pour leurs semblables… Après, allez savoir s’ils sont intelligents. C’est quoi l’intelligence ? Je vous remercie beaucoup pour votre savoureux passage sur mes élucubrations et vous souhaite une toute belle journée. Bien cordialement. Fanny

Bonjour,
Vous n'aimez pas les poissons rouges ? Que dommage ! Voici ce qui m'est arrivé la dernière fois:

Dialogues muets entre un Poisson rouge et votre serviteur

Steve :
Passionnante, ta conversation, c’est bien que tu sois bien joli dans ton bocal …

Poisson rouge :
je ne dis pas grand-chose, mais je pense moi … bien plus que toi !

Comme chez certains bouddhistes, mon cerveau crépite, tout en ne portant mon attention sur rien de bien précis.
Mon cerveau est en mode automatique, un peu comme quand toi tu vas au boulot par le chemin de tous les jours : tu ne fais pas attention, sauf si quelque chose de spécial éveille ta curiosité.
Je sens très vite ta présence quand tu viens me donner ma boustifaille !

Steve : bizarre, bizarre… Tu es un inconscient.

Poisson rouge : ton prof de cognition et apprentissage, un dénommé Juan Carlos Lopez de l’université de Séville dit que j’ai bien une conscience, mais à quel niveau : that is the question !

Bonne journée, amicalement, Steve

Bonjour@galodarsac En attendant que les 80 volcans endormis se réveillent, les Auvergnats fabriquent des apéros à base de verveine du Velay, de gentiane des volcans, font des cures à Chaudes-Aigues (82° à la source du Par), lisent feu le truculent Alexandre Vialatte et, au milieu de tout ça, une écrit des bêtises. Merci beaucoup pour votre sym-patoche clin d’œil et pour votre conseil au pêcheur pour le jour où une gentille fée lui offrira un étang pour qu’on se fasse dévorer par les moustiques. Je vous souhaite une excellente journée. Bien cordialement. L’Auvergnate

@FANNY DUMOND2 Voilà un recueil un peu déjanté mais agréable et un brin surréaliste. On pourrait même se demander s'il ne pousse pas quelques étranges herbes à fumer sur les volcans d'Auvergne :)
Ma préférée est la première histoire, avec ses grenouilles au vacarme insupportable. Pour régler ce problème dans son étang, feu mon père y avait introduit quelques brochets: radical, en moins d'un mois !
Bien à vous
Patrick

@Philippe De Vos Bonjour Philippe et un grand Merci pour vos sympathiques appréciations sur mes petites récréations attendues, mes évasions des samedis de ce monde trop terre à terre à mon goût. Effectivement, je n’ai pas pioché très loin dans la multitude que je m’amuse à relire, à peaufiner, à titrer, voire à éjecter quand ils sont mauvais, selon moi ! Je les rédige dans la foulée, en toute liberté, sans aucune contrainte. Quand, parfois, l’idée ne jaillit pas, je ne me triture pas la cervelle durant 107 ans, sinon ce ne serait plus amusant à rester des heures sur une page blanche ! Je n’ai aucune obligation de rendre ma copie comme à l’école et qu’importe le style, les fautes… Tout simplement, le but de ces petits exercices est de réveiller l’imagination innée que nous, adultes, avons laissé s’endormir. Avec tout ça, nous attendons toujours le verdict de notre participation au concours de nouvelles, pas facile avec ses grosses contraintes, proposé ce printemps par mBS. Là, on peut dire que nous y avons passé des heures ! C’est un tout autre genre d’exercice, pour nous deux les touche-à-tout. Je vous souhaite une bonne fin d'après-midi et vous dis à bientôt ! Patricia

Bonjour@Valérie Pison je suis contente de savoir que mes diverses petites histoires vous ont plu. En ce dernier dimanche pluvieux, ce fut une belle occupation de les mettre en forme pour les proposer à mes lecteurs. Moi aussi, j'aime bien la " surréaliste ". Merci beaucoup pour vos encourageantes impressions sur mon petit loisir. Je vous souhaite une bonne fin de journée. Bien cordialement. Fanny

Bonjour Patricia voici un aperçu de votre amusement du samedi, lorsque vous relevez le défi d'un thème différent chaque semaine. Le faire une fois, c'est bien, le réaliser toutes les semaines, sans faillir, ou presque, relève de l'exploit. Mais cet exercice, je n'en doute pas, vous l'attendez avec impatience. Merci de nous avoir servi quelques morceaux de ce travail effectué sur de longues années, même si, en les lisant, on s'aperçoit que certains sont très récents. Philippe