@Zoé Florent
Bonjour, nous avons un ami commun qui m'a parlé de vous, Jean-Pierre Laurier. Je viens d'arriver sur MBS avec "Kabylie mon amour", un polar historique... Quel livre de vous me conseillez-vous de lire en premier ?
Bonjour @ALICE HOUAN,
... Tout comme chaque auteur a sa propre notion de ce qu'est pour lui un "bel échange". Pour moi, il consiste en écoute mutuelle et en réponses ciblées et franches.
Par ailleurs, je serais curieuse de connaître votre avis sur cette intervention de @Annie Pic sur votre récente tribune, intervention à laquelle vous n'avez pas répondu :
"Si l'écrivain utilise l'Intelligence Artificielle pour enrichir son œuvre, il doit avoir l'honnêteté de préciser « Écrit avec l'aide d'une IA ». Même réflexion pour les différentes formes d'art..."
Pour ma part, j'ajouterais volontiers les lecteurs-commentateurs, les bêta-lecteurs et les critiques littéraires à l'écrivain et aux différentes formes d'art ;-)...
Bonne journée ! Amicalement,
Michèle
Merci pour votre retour, @Zoé Florent. Je comprends votre amour pour la concision, et il est vrai que chaque lecteur, comme chaque auteur, a sa propre sensibilité à l’équilibre entre analyse et émotion. Je voulais simplement partager mes impressions avec la plus grande honnêteté, car votre texte a éveillé de nombreuses réflexions en moi. Chacun perçoit différemment les couches émotionnelles d’un texte, et c’est là toute la richesse de l’expérience de lecture. Encore merci pour ce bel échange. Amicalement, Alice.
@ALICE HOUAN Mille mercis pour vos lecture, commentaire avisé et notation.
Ma première impression est que vous êtes bien diserte pour une si courte nouvelle (pour ne pas dire trop, du point de vue d'une amoureuse de la concision ;-))...
Pour autant, je m'interroge sur l'intérêt de dévoiler le scénario par le menu à son propre auteur... En l'occurrence, dans cette nouvelle, ni suspens ni twist final, ce qui réduit l'impact de votre action, mais les éléments n'en sont pas moins distillés au fur et à mesure qu'avance le récit, et vous spoilez en les relatant tous, d'un coup, d'un seul.
Pour le reste, vous semblez confondre sentiments nuancés (ceux qu'ont tant de mal à cerner les IA :-)) et absence de jugement avec distance. Je ne suis pas distante de nature, ce serait même plutôt l'inverse, mais j'aime laisser une marge d'interprétation à mes lecteurs, ne rien leur imposer.
Merci encore et bonne soirée. Amicalement,
Michèle
Bonjour Zoé, j’ai choisi de lire ce texte court pour faire connaissance avec votre écriture. Votre nouvelle explore la complexité d’un couple, Véra et Renan, dont l’amour s’effrite, notamment à travers des questions de maternité et d’incompatibilité de modes de vie. Renan est un homme en conflit avec lui-même, hésitant entre indépendance et besoin de connexion, tandis que Véra semble atteindre une lucidité douloureuse mais libératrice sur la fin inévitable de leur relation. Vous avez su rendre ses tiraillements intérieurs et extérieurs, avec des dialogues chargés de sous-entendus et d’amertume. Les non-dits sont omniprésents, et c’est là que l’on sent toute la profondeur du conflit. Il y a clairement des couches inconscientes de frustration, de peur, et d'espoir déçu, des deux côtés. Cette spirale de malentendus n’est pas forcément un échec, mais peut-être un reflet du chemin intérieur qu’ils doivent encore parcourir pour mieux se comprendre eux-mêmes et, éventuellement, l’autre. Ne dit-on pas que parfois, le conflit n’est pas à résoudre immédiatement, mais à observer avec bienveillance ?
Ce qui m'a frappée, c'est cette tension non résolue, qui n'est pas nécessairement un échec, mais plutôt une exploration des émotions difficiles. Les malentendus entre Véra et Renan paraissent révéler leur besoin de comprendre encore plus profondément leurs propres sentiments. C’est ce qui rend leur parcours tellement émouvant et humain.
En revanche, ce qui a freiné ma lecture, c’est votre choix de placer le lecteur dans une position d'observateur extérieur, un peu à distance, comme si vous vouliez que le lecteur assiste à la scène sans trop s'y engager émotionnellement. Ce style crée cette distance, tout en laissant des interstices pour que le lecteur perçoive la profondeur des conflits sans les vivre intensément. Ce qui en ressort, pour moi, lectrice, c'est la façon dont un texte peut créer des barrières ou inviter le lecteur à s'engager différemment. C’est à cause de cette distance, que je vous prive d’un cœur ! Mais remarquez que ce n’est que « personnel », d’autres lecteurs n’éprouveront pas le même sentiment.
@Zoé Florent
Bonjour Zoé,
Tout à fait d'accord avec Anne Clécie. Oui, le titre intrigue et la couverture est super élégante.
Toujours un plaisir de vous lire.
Amicalement, Steve
@Odile Maudrijat Mille mercis pour votre adorable commentaire et les généreux coeurs associés, chère Odile. Votre commentaire me comble, car si cette nouvelle vous a embarquée en vous faisant parfois sourire (voire éclaté rire pour la phrase évoquée), tout en reflétant une forme de réalité, pour ma pomme, c'est mission accomplie ;-).
Merci encore et bonne soirée. Amicalement,
Michèle
Chère @Zoé Florent, vous avez le don de captiver votre audience à chaque nouvelle histoire ! Encore une fois, je n’ai pas boudé mon plaisir !
La plume est belle, efficace, juste. L’expression « un panier de crabes hétéroclite à forte tendance snobinarde » m’a fait éclater de rire !
L’histoire plante le décor d’un nouveau départ, d’une décision qui vient sonner le glas d’une vie faite de sacrifices et de dévotion pour trop peu d’amour en retour.
Si, en apparence, les personnages semblent quelque peu stéréotypés, ils reflètent avant tout une forme de réalité, celle de la vie d’adulte à n’en pas douter.
Vos histoires sont des petites friandises dont on se délecte à chaque bouchée. Un vrai régal !
Merci pour ce moment de lecture ! :-)
Amicalement,
Odile
Bonjour, @Anne Clécie, et mille mercis pour vos commentaire avisé, compliments et généreuse notation qui me ravissent.
Mon espace créatif étant contrarié de longue date, l'écriture compense un peu, mais j'espère bien avoir assez de temps devant moi pour exécuter quelques-unes de ces oeuvres que j'élucubre souvent, par la pensée.
En tout cas, votre intuition ne vous a pas trompée. À Boris de jouer, à présent :-)...
Bonne fin de journée et à très vite, puisque je viens de remarquer la mise en ligne de votre petite dernière. Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent, quel titre intrigant ! C'est ce que je me suis dit dès le début. Quand j'ai découvert l'œuvre dont il s'agissait, j'ai admiré votre créativité (ou plutôt celle de Véra).
En lisant la version des faits de Renan, puis celle de Véra, j'ai pensé à une "autopsie du couple", écrite avec finesse et lucidité. Je me suis doutée aussi que tout n'irait pas dans le sens de Renan …
Merci pour ce partage et bon dimanche !
Anne
PS : jolie couverture
@Cristina Leg Et toujours un réel plaisir pour moi de te lire, ma chère amie...
Décidément, quel œil de lynx ! Les retours à la ligne sont traîtres ;-). Mais voilà qui est rectifié.
Mille mercis pour tes lecture, adorable commentaire et cœurs chaleureux.
Bon week-end. Je t'embrasse fort,
Michèle
C'est toujours un réel plaisir de te lire mon amie... J'ai enfin trouvé un moment !
L'histoire peut paraître banale, ordinaire mais ton imagination et l'élégance de tes mots la mènent bien loin de cette simplicité, encore un grand bravo !! Je t'embrasse... Cristina.
PS : Au cas où cela n'aurait pas déjà été intercepté, j'ai rencontré une coquille page 15, "L'ampleur de(s) ses illusions".
@galodarsac Bonsoir, Patrick, et mille mercis pour tes lecture, commentaire plein de malice et généreuse appréciation.
En déplacement, je ne peux pas substituer le "que" à "si", comme il se doit, mais je le ferai dès demain. J'en profiterai pour préciser "à partir de la cinquantaine" pour me faire pardonner cette horrible faute ;-).
Merci encore, bises et bon week-end,
Michèle
Comme toujours, ta plume sensible et délicate caresse avec pudeur et efficacité une tranche de vie intime et difficile. Une écriture parfaite, si l'on fait abstraction de l'horrible "selon si" page 7 :), pour croquer deux portraits finalement symptomatiques de ce que sont devenues les relations homme-femme dans notre société moderne. Ah en passant, la remarque de Renan sur les performances aux abords de la cinquantaine est tout-à-fait vraie, mais juste après c'est très bien aussi ;). Bravo pour ce partage -Patrick
@Ahmed Bouchikhi Mille mercis pour vos commentaire flatteur et appréciation généreuse, cher Ahmed.
Enfin à jour de mes lectures, je vais pouvoir me pencher sur votre dernier roman mis en ligne ici, roman que je ne crois pas avoir déjà lu.
À bientôt. Amicalement,
Michèle
Bonjour, cher @Steve WALK, et mille mercis pour ce sympathique commentaire et son appréciation généreuse.
C'est cruel, oui, mais ainsi va souvent la vie ;-)...
Amicalement,
Michèle
@Bahloul Bonsoir, cher ami, et mille mercis pour ton commentaire fin et sensible ; pour ta fidélité de lecteur et ton appréciaion généreuse aussi.
Tu as parfaitement cerné ce qui motive ma démarche d'écriture : faire parler des personnages simples, confrontés aux problèmes et réflexions de tout un chacun. Tenter ainsi, à ma nano échelle, de favoriser l'expression, l'écoute et les rapports respectueux entre les Êtres.
Merci encore, bises et bonne soirée,
Michèle
@Zoé Florent.
Bonjour chère amie. Comme d'habitude, la finesse de ton style et ton sublime travail sur la psychologie des personnages, font de cette histoire, au thème apparemment banal- car très courant-un chef d'œuvre qui nous offre une lecture alléchante.
Toujours à la recherche de la compréhension, de l'écoute d'autrui, du respect, de l'estime; à la recherche du temps perdu, où toutes ces valeurs étaient encore de mise entre les humains.
Merci, chère amie, pour cet échange succulent.
@A.P. Gounon Bonjour, chère Anne, et mille mercis pour tes lecture, adorable commentaire et coeurs chaleureux. Pour des raisons personnelles, ils tombent à pic aujourd'hui...
Une fois de plus, tu as saisi ce que j'ai voulu exposer sans jugement : personne à blamer dans cette histoire, juste un banal loupé, pour ne pas avoir su être en phase, à regretter.
Merci de me rassurer à propos de ce titre aussi ;-).
Au plaisir de te lire. Je t'embrasse,
Michèle
@Zoé Florent. Chère Michèle, avec ton beau style classique et ton habituelle subtilité, tu nous dissèque la fin d'un amour, et nous y assistons comme à un film. Nous nous sentons impliqués et les personnages nous sont sympathiques : Renan, avec son égoïsme, mais aussi son désir de continuer à vivre cet amour, Vera, qui n'en peut plus de se sentir mal aimée...
Merci pour cette belle nouvelle dont j'adore le titre, élégant et mystérieux. Je t'embrasse. Anne
@Parthemise33 Bonsoir, chère amie, et mille mercis pour tes lecture, commentaire plein d'humour et coeurs généreux.
Ce n'est pas la première fois que l'on m'écrit que mes romans et nouvelles rappellent les films de Claude Sautet, mais quoi de moins surprenant, tant je suis fan de son oeuvre ? Du coup, tu me fais me trémousser d'aise ;-) !
Merci encore et plein des bises,
Michèle
@Zoé Florent Chère Michèle, les histoires d'amours doivent elles finir mal en général ? "Bien sûr que non", me susurre Joyeux. "Bien sûr que oui", ronchonne Grincheux. Comme le disait mon mari "Nous aurons tout le temps de nous bécoter avant le divorce". Si nous nous plaçons sur le plan de l'écliptique du romancier, qu'aurait-il donc à raconter si tout se passait bien entre des personnages totalement compatibles ? Ses lecteurs bailleraient d'ennui, les protagonistes se pendraient avant la troisième page. C'est pourquoi je te dis Merci Bisous Merci pour ton histoire dont j'ai apprécié la fluidité et qui me rappelle les films de Sautet.
Bonsoir, @Thierry Rucquois, et mille mercis pour vos lecture, commentaire avisé et généreuse appréciation ; venant d'un auteur tel que vous, ils me flattent.
La phrase que vous avez retenu est loin d'être anodine. Je ne sais pas si cela tient de l'atavisme, mais les prises de consciences ont souvent tendance à traîner un peu la patte, au masculin ;-).
Pour ce qui est des pronoms relatifs, je viens d'essayer d'en éradiquer quelques-uns, mais l'opération reste délicate quand on veut éviter la répétition des prénoms... dilemme...
Enfin pour conclure, le titre et les raisons de son choix : comme indiqué dans la nouvelle, il s'agit du nom donné à sa période artistique par Véra, auquel s'ajoute la symbolique évoquée par Iris... mais j'avoue avoir un peu de mal à saisir en quoi il peut rebuter ;-).
Merci encore et bonne soirée.
Amicalement,
Michèle
@Fernand Fallou Mille mercis pour tes lecture, adorable commentaire et jolis coeurs, cher Fernand.
"C'est un prêté pour un vomi", aurait dit notre ami Coluche, car que de balade dans ton cerveau tu nous offres, au gré de tes écrits ;-) !
Merci encore, bisous et bonne soirée !
Michèle
@Annie Pic Mille mercis pour tes lecture, commentaire fouillé (et pertinent, comme toujours) et tes trois coeurs chaleureux.
Ce genre de partition actée est effectivement fréquente. Qu'elle se joue encore, toujours pour les mêmes raisons, dont principalement l'égoïsme et l'incompréhension mutuelle, me navre. Mais j'ai autour de moi de nombreux exemples de personnes qui contredirsent l'adage comme quoi les histoires d'amour finissent mal, en général... Je préfère de loin me focaliser sur elles, dans la vraie vie ;-).
Merci encore et bonne soirée, chère Annie !
Je t'embrasse,
Michèle
Ma chère Michele alias @Zoé Florent
J‘ai lu cette histoire comme d’habitude très bien écrite, qui pourrait être banale, mais qui nous emmène grâce à ta plume dans la pensée élaborée des protagonistes.
Bravo pour ce texte dans lequel je me sens comme un neurone qui voyage dans d’autres cerveaux.
FF
Chère Michèle /
Dans cette rupture tout en non-dits, Véra fait le constat.
D'une douce fluidité, ta plume dissèque habilement la partition des deux amants. Tandis que Renan, enfermé dans son interminable blocage, réalise ses loupés ; Véra, habitée par son art et stimulée par son désir de maternité, transpose sa vision en une œuvre qui laisse, une fois de trop, Renan indifférent.
Les mots sont choisis, l'atmosphère oppresse, la partition est actée.
Merci pour ce sujet inépuisable que tu as su traiter avec sensibilité.
Belle journée à toi. Je t'embrasse, Annie /
PS : une mention spéciale pour la réalisation de ta couverture.
@Michel CANAL Bonsoir, ami très cher, et mille mercis pour tes lecture, adorable commentaire et généreuse appréciation. Te sachant surbooké, je les prise d'autant plus.
Tes éloges me font du bien, même si je les soupçonne d'être quelque peu influencés par nos complicités de longue date ;-). Mais tu m'aides et me suis depuis bientôt dix ans, alors si un membre de cette communauté d'auteurs peut juger de l'évolution de ma patte et de mes écrits, c'est bien toi.
Merci encore, bises chaleureuses, amicales, et bonne soirée,
Michèle
Chère Michèle, ici @Zoé Florent, j'ai été vraiment séduit par cette nouvelle sur un sujet qui pourrait impacter beaucoup de couples. Séduit par ton style qui entraîne le lecteur sans s'en rendre compte, happé par l'histoire, par la psychologie qui se dégage de la manière d'être de l'homme, si différente de celle de la femme (une observation très avisée, avec le plus de ton expérience et de ta sensibilité). Une manière habile d'intéresser le lecteur à tourner les pages sans se prendre la tête. On suit le parcours de ce couple, de son évolution, peut-être du détail qui peut le faire exploser avec ce "triptyque sur l'enfantement", désir de maternité pour elle, refus, égoïsme ou lâcheté pour lui. Une trame bien pensée, ciselée, émaillée de petits rebondissements jusqu'à la fin... Bref, une histoire qui se lit et se vit comme si on était acteur ou confident. Ce n'est pas la première fois que je peux t'en faire l'éloge, j'adore ton écriture, d'autant que je l'ai vue évoluer au fur et à mesure de tes écrits. Avoir un style aussi épuré et le combiner avec une présentation qui en permet une lecture confortable, un titre bien choisi, une couverture au graphisme bien conçu... c'est le rêve de tout auteur ! Chapeau l'artiste ! C'est toujours un plaisir de te lire, d'apprécier la psychologie de tes personnages, l'évolution des sentiments dans un couple soumis à l'usure du temps et des contingences professionnelles, à travers le prisme de ta finesse d'esprit. Avec toute mon amitié. MC
@Zoé Florent
Amusant.
Bon, je n'insiste pas, je ne comprends rien aux causes de ce malentendu, mais j'imagine que ça n'a aucune espèce d'importance. Quoi qu'il en soit, seriez-vous intéressée de savoir ce que je reproche exactement à votre prose ?
@Valérie Pison Milles mercis pour vos lecture et aimable retour avisé. Pour la faute d'étourderie aussitôt éradiquée itou ;-).
À l'origine, cette nouvelle était un des chapitres d'un roman que je n'ai pas terminé. L'expo, le sujet du triptyque m'avaient intéressée, et j'ai brodé autour un autre relationnel que celui des personnages de l'histoire initiale. Occasion d'aborder ce différend qui fait souvent obstacle à l'épanouissement du couple, de nos jours.
Merci encore et bon week-end. Amicalement,
Michèle
@Jérôme Lanclume Cher vous,
Merci pour ce retour qui vous ressemble. Plus que celui fait sur "Ce ne sera pas écrit", quand vous pensiez encore naïvement que je ne vous avais pas reconnu. Mais sachez que c'était déjà le cas, bien avant que vous vous trompiez de pseudo pour me répondre sur une récente tribune.
Bon week-end. Amicalement,
Michèle
Bonjour @Zoé Florent
J’ai apprécié cette petite nouvelle qui se lit d’un trait. Les phrases sont concises, efficaces et l’histoire, bien que banale ( la séparation est un thème riche et récurrent) est mise en scène d’une jolie façon avec ce triptyque qui symbolise ce qui a fait obstacle à ce couple.
(J’ai repéré une coquille page 6 ou 7: habillement au lieu de habilement)…
Amicalement
Valérie
@Zoé Florent
Chère amie, rêvé-je ou avez-vous décidé de faire dans le titre rébarbatif ? Je me pose sincèrement la question, parce que, après votre improbable "Irrésistible hétéronomie", ce "Triptyques et reliefs" me semble propre à repousser plus d'un lecteur. Mais peut-être me trompé-je ; ce que je vous en dis, c'est simplement pour vous confier mon sentiment : n'aurait-elle pas été signée de vous, je n'aurais certainement pas lu une nouvelle présentée sous ce malencontreux habillage.
Mais je vous ai lue, et force m'est de vous avouer que j'ai été profondément déçu. Non pas par le fond (je trouve toujours très réjouissantes les histoires de rupture !) mais par la forme. Je veux dire par là que je trouve votre prose malhabile ; ce sont souvent des petits détails, mais dont l'accumulation laisse le lecteur avec l'impression qu'il a affaire à une écriture mal maîtrisée. Je comprends bien ce que mes mots peuvent avoir de brutal, mais je vous assure que mon but n'est pas ici de vous froisser, il est plutôt d'attirer votre attention sur des maladresses qu'un peu d'attention devrait vous suffire à éviter.
Amicalement.
Publié le 07 Septembre 2024
Zoé Florent
Biographie
"Si tu éprouves le désir d'écrire, et nul autre que l'Esprit n'en détient le secret, tu dois maîtriser connaissance, art et...
Ce livre est noté par
Pour vivre en altitude et ne pas avoir la main très verte, je ne saurais vous répondre, cher @Joker380...
Et qu'en est-il de la culture de la ciflorette dans le sud du Bade-Wurtemberg ?
@Zoé Florent
Bonjour, nous avons un ami commun qui m'a parlé de vous, Jean-Pierre Laurier. Je viens d'arriver sur MBS avec "Kabylie mon amour", un polar historique... Quel livre de vous me conseillez-vous de lire en premier ?
Bonjour @ALICE HOUAN,
... Tout comme chaque auteur a sa propre notion de ce qu'est pour lui un "bel échange". Pour moi, il consiste en écoute mutuelle et en réponses ciblées et franches.
Par ailleurs, je serais curieuse de connaître votre avis sur cette intervention de @Annie Pic sur votre récente tribune, intervention à laquelle vous n'avez pas répondu :
"Si l'écrivain utilise l'Intelligence Artificielle pour enrichir son œuvre, il doit avoir l'honnêteté de préciser « Écrit avec l'aide d'une IA ». Même réflexion pour les différentes formes d'art..."
Pour ma part, j'ajouterais volontiers les lecteurs-commentateurs, les bêta-lecteurs et les critiques littéraires à l'écrivain et aux différentes formes d'art ;-)...
Bonne journée ! Amicalement,
Michèle
Merci pour votre retour, @Zoé Florent. Je comprends votre amour pour la concision, et il est vrai que chaque lecteur, comme chaque auteur, a sa propre sensibilité à l’équilibre entre analyse et émotion. Je voulais simplement partager mes impressions avec la plus grande honnêteté, car votre texte a éveillé de nombreuses réflexions en moi. Chacun perçoit différemment les couches émotionnelles d’un texte, et c’est là toute la richesse de l’expérience de lecture. Encore merci pour ce bel échange. Amicalement, Alice.
@ALICE HOUAN Mille mercis pour vos lecture, commentaire avisé et notation.
Ma première impression est que vous êtes bien diserte pour une si courte nouvelle (pour ne pas dire trop, du point de vue d'une amoureuse de la concision ;-))...
Pour autant, je m'interroge sur l'intérêt de dévoiler le scénario par le menu à son propre auteur... En l'occurrence, dans cette nouvelle, ni suspens ni twist final, ce qui réduit l'impact de votre action, mais les éléments n'en sont pas moins distillés au fur et à mesure qu'avance le récit, et vous spoilez en les relatant tous, d'un coup, d'un seul.
Pour le reste, vous semblez confondre sentiments nuancés (ceux qu'ont tant de mal à cerner les IA :-)) et absence de jugement avec distance. Je ne suis pas distante de nature, ce serait même plutôt l'inverse, mais j'aime laisser une marge d'interprétation à mes lecteurs, ne rien leur imposer.
Merci encore et bonne soirée. Amicalement,
Michèle
Merci pour ce nouveau passage fleuri, @Steve Walk ;-) !
Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Bonjour Zoé,
Tout à fait d'accord avec Anne Clécie. Oui, le titre intrigue et la couverture est super élégante.
Toujours un plaisir de vous lire.
Amicalement, Steve
@Odile Maudrijat Mille mercis pour votre adorable commentaire et les généreux coeurs associés, chère Odile. Votre commentaire me comble, car si cette nouvelle vous a embarquée en vous faisant parfois sourire (voire éclaté rire pour la phrase évoquée), tout en reflétant une forme de réalité, pour ma pomme, c'est mission accomplie ;-).
Merci encore et bonne soirée. Amicalement,
Michèle
Bonjour, @Anne Clécie, et mille mercis pour vos commentaire avisé, compliments et généreuse notation qui me ravissent.
Mon espace créatif étant contrarié de longue date, l'écriture compense un peu, mais j'espère bien avoir assez de temps devant moi pour exécuter quelques-unes de ces oeuvres que j'élucubre souvent, par la pensée.
En tout cas, votre intuition ne vous a pas trompée. À Boris de jouer, à présent :-)...
Bonne fin de journée et à très vite, puisque je viens de remarquer la mise en ligne de votre petite dernière. Amicalement,
Michèle
@Cristina Leg Et toujours un réel plaisir pour moi de te lire, ma chère amie...
Décidément, quel œil de lynx ! Les retours à la ligne sont traîtres ;-). Mais voilà qui est rectifié.
Mille mercis pour tes lecture, adorable commentaire et cœurs chaleureux.
Bon week-end. Je t'embrasse fort,
Michèle
@galodarsac Bonsoir, Patrick, et mille mercis pour tes lecture, commentaire plein de malice et généreuse appréciation.
En déplacement, je ne peux pas substituer le "que" à "si", comme il se doit, mais je le ferai dès demain. J'en profiterai pour préciser "à partir de la cinquantaine" pour me faire pardonner cette horrible faute ;-).
Merci encore, bises et bon week-end,
Michèle
@Ahmed Bouchikhi Mille mercis pour vos commentaire flatteur et appréciation généreuse, cher Ahmed.
Enfin à jour de mes lectures, je vais pouvoir me pencher sur votre dernier roman mis en ligne ici, roman que je ne crois pas avoir déjà lu.
À bientôt. Amicalement,
Michèle
Bonjour, cher @Steve WALK, et mille mercis pour ce sympathique commentaire et son appréciation généreuse.
C'est cruel, oui, mais ainsi va souvent la vie ;-)...
Amicalement,
Michèle
@Bahloul Bonsoir, cher ami, et mille mercis pour ton commentaire fin et sensible ; pour ta fidélité de lecteur et ton appréciaion généreuse aussi.
Tu as parfaitement cerné ce qui motive ma démarche d'écriture : faire parler des personnages simples, confrontés aux problèmes et réflexions de tout un chacun. Tenter ainsi, à ma nano échelle, de favoriser l'expression, l'écoute et les rapports respectueux entre les Êtres.
Merci encore, bises et bonne soirée,
Michèle
@A.P. Gounon Bonjour, chère Anne, et mille mercis pour tes lecture, adorable commentaire et coeurs chaleureux. Pour des raisons personnelles, ils tombent à pic aujourd'hui...
Une fois de plus, tu as saisi ce que j'ai voulu exposer sans jugement : personne à blamer dans cette histoire, juste un banal loupé, pour ne pas avoir su être en phase, à regretter.
Merci de me rassurer à propos de ce titre aussi ;-).
Au plaisir de te lire. Je t'embrasse,
Michèle
@Parthemise33 Bonsoir, chère amie, et mille mercis pour tes lecture, commentaire plein d'humour et coeurs généreux.
Ce n'est pas la première fois que l'on m'écrit que mes romans et nouvelles rappellent les films de Claude Sautet, mais quoi de moins surprenant, tant je suis fan de son oeuvre ? Du coup, tu me fais me trémousser d'aise ;-) !
Merci encore et plein des bises,
Michèle
Bonsoir, @Thierry Rucquois, et mille mercis pour vos lecture, commentaire avisé et généreuse appréciation ; venant d'un auteur tel que vous, ils me flattent.
La phrase que vous avez retenu est loin d'être anodine. Je ne sais pas si cela tient de l'atavisme, mais les prises de consciences ont souvent tendance à traîner un peu la patte, au masculin ;-).
Pour ce qui est des pronoms relatifs, je viens d'essayer d'en éradiquer quelques-uns, mais l'opération reste délicate quand on veut éviter la répétition des prénoms... dilemme...
Enfin pour conclure, le titre et les raisons de son choix : comme indiqué dans la nouvelle, il s'agit du nom donné à sa période artistique par Véra, auquel s'ajoute la symbolique évoquée par Iris... mais j'avoue avoir un peu de mal à saisir en quoi il peut rebuter ;-).
Merci encore et bonne soirée.
Amicalement,
Michèle
@Fernand Fallou Mille mercis pour tes lecture, adorable commentaire et jolis coeurs, cher Fernand.
"C'est un prêté pour un vomi", aurait dit notre ami Coluche, car que de balade dans ton cerveau tu nous offres, au gré de tes écrits ;-) !
Merci encore, bisous et bonne soirée !
Michèle
@Annie Pic Mille mercis pour tes lecture, commentaire fouillé (et pertinent, comme toujours) et tes trois coeurs chaleureux.
Ce genre de partition actée est effectivement fréquente. Qu'elle se joue encore, toujours pour les mêmes raisons, dont principalement l'égoïsme et l'incompréhension mutuelle, me navre. Mais j'ai autour de moi de nombreux exemples de personnes qui contredirsent l'adage comme quoi les histoires d'amour finissent mal, en général... Je préfère de loin me focaliser sur elles, dans la vraie vie ;-).
Merci encore et bonne soirée, chère Annie !
Je t'embrasse,
Michèle
@Michel CANAL Bonsoir, ami très cher, et mille mercis pour tes lecture, adorable commentaire et généreuse appréciation. Te sachant surbooké, je les prise d'autant plus.
Tes éloges me font du bien, même si je les soupçonne d'être quelque peu influencés par nos complicités de longue date ;-). Mais tu m'aides et me suis depuis bientôt dix ans, alors si un membre de cette communauté d'auteurs peut juger de l'évolution de ma patte et de mes écrits, c'est bien toi.
Merci encore, bises chaleureuses, amicales, et bonne soirée,
Michèle
@Zoé Florent
C'est vous qui voyez.
@Tomoe Gozen 7' Merci mais non, sans-façons ;-).
@Zoé Florent
Amusant.
Bon, je n'insiste pas, je ne comprends rien aux causes de ce malentendu, mais j'imagine que ça n'a aucune espèce d'importance. Quoi qu'il en soit, seriez-vous intéressée de savoir ce que je reproche exactement à votre prose ?
@Jérôme Lanclume Vous, très cher :-)...
@Zoé Florent
Je sais bien que, depuis Rimbaud, je est un autre, mais je vous avoue que, là, je ne sais pas qui je suis censé être.
@Valérie Pison Milles mercis pour vos lecture et aimable retour avisé. Pour la faute d'étourderie aussitôt éradiquée itou ;-).
À l'origine, cette nouvelle était un des chapitres d'un roman que je n'ai pas terminé. L'expo, le sujet du triptyque m'avaient intéressée, et j'ai brodé autour un autre relationnel que celui des personnages de l'histoire initiale. Occasion d'aborder ce différend qui fait souvent obstacle à l'épanouissement du couple, de nos jours.
Merci encore et bon week-end. Amicalement,
Michèle
@Jérôme Lanclume Cher vous,
Merci pour ce retour qui vous ressemble. Plus que celui fait sur "Ce ne sera pas écrit", quand vous pensiez encore naïvement que je ne vous avais pas reconnu. Mais sachez que c'était déjà le cas, bien avant que vous vous trompiez de pseudo pour me répondre sur une récente tribune.
Bon week-end. Amicalement,
Michèle
Bonjour @Zoé Florent
J’ai apprécié cette petite nouvelle qui se lit d’un trait. Les phrases sont concises, efficaces et l’histoire, bien que banale ( la séparation est un thème riche et récurrent) est mise en scène d’une jolie façon avec ce triptyque qui symbolise ce qui a fait obstacle à ce couple.
(J’ai repéré une coquille page 6 ou 7: habillement au lieu de habilement)…
Amicalement
Valérie
@Zoé Florent
Chère amie, rêvé-je ou avez-vous décidé de faire dans le titre rébarbatif ? Je me pose sincèrement la question, parce que, après votre improbable "Irrésistible hétéronomie", ce "Triptyques et reliefs" me semble propre à repousser plus d'un lecteur. Mais peut-être me trompé-je ; ce que je vous en dis, c'est simplement pour vous confier mon sentiment : n'aurait-elle pas été signée de vous, je n'aurais certainement pas lu une nouvelle présentée sous ce malencontreux habillage.
Mais je vous ai lue, et force m'est de vous avouer que j'ai été profondément déçu. Non pas par le fond (je trouve toujours très réjouissantes les histoires de rupture !) mais par la forme. Je veux dire par là que je trouve votre prose malhabile ; ce sont souvent des petits détails, mais dont l'accumulation laisse le lecteur avec l'impression qu'il a affaire à une écriture mal maîtrisée. Je comprends bien ce que mes mots peuvent avoir de brutal, mais je vous assure que mon but n'est pas ici de vous froisser, il est plutôt d'attirer votre attention sur des maladresses qu'un peu d'attention devrait vous suffire à éviter.
Amicalement.