Actualité
Le 02 fév 2020

Nous n’avons pas attendu le virus pour vivre masqués et chacun chez soi

L'intérêt de cet article (d'un auteur qui garde l'anonymat,) c'est qu'il évoque cette gradation entre "être intéressé", "être concerné" et "être impliqué". Il dépasse de beaucoup les simples interrogations de l'auto-édition. "On veut être lu mais on ne veut pas lire", "on veut des commentaires mais on n'en fait pas", "quand on a par chance des commentaires, on ne répond pas..." Solidarité, réciprocité, justice, c'est toujours le devoir des autres, rarement le nôtre. Bienvenue en 2021.
100 000 membres masqués, 5000 auteurs à pseudos. On veut tous que nos talents soient reconnus.100 000 membres masqués, 5000 auteurs à pseudos. On veut tous que nos talents soient reconnus.

L’espace réservé aux auteur-e-s pour qu’ils viennent s’y exprimer sur des sujets intéressants, l’ensemble de la communauté qui échange, sont des signes distinctifs de la plateforme monbestseller.

On pourrait même dire qu’avec ses débats, ses prises de bec, c’est le cœur battant de notre petite entreprise. Tribunes, articles... hélas, la denrée se fait parfois rare.

Des raisons à cette carence, les plus anciens pourraient en brandir une liste avant que j’aie fini de rédiger cette phrase. Mais je voudrais en invoquer ici une plus simple, moins polémique : l’usure et l'égocentrisme.

L'individualisme a gagné du terrain

Les trois premières années de son existence, monbestseller était une aventure insolite. On avait le pied au plancher, on pétait le feu, on voulait découvrir les nouveaux territoires de l’autoédition, découvrir les autres, se faire découvrir par eux et éventuellement se découvrir soi-même.

Sept ans plus tard, le paysage n’est plus le même. Ni dans l’édition, ni dans la société, ni dans l’autoédition. 
Beaucoup d’espoirs ont été douchés. Même si quelques réussites notables se sont fait remarquées, même si le site s'est institutionnalisé avec un nombre de visites importants, le principe de réalité nous a rattrapés, la loi du marché… et pour couronner le tout : la pandémie avec son lot de confinements à répétition et autres couvre-feux.

Et puis l’humain est passé par là, avec ses gentillesses naturelles et ses petits côtés mesquins. L’individualisme a gagné du terrain. Et on a fini par oublier une certaine ambiance. En quelque sorte, on n’a pas attendu le virus pour vivre masqués et chacun chez soi.

Attention,par ambiance, je ne veux surtout pas dire "avant, c’était mieux". Non, ici, au bon vieux temps, question relations humaines, c’était la même chose, mais en pire : tonitruant, explosif et parfois carrément saignant !
Par ambiance, je veux parler d’implication.
Aujourd’hui, dans le meilleur des cas, on se sent concerné.

Être concerné ou être impliqué ?

Et il y a une si grande différence entre être impliqué et être concerné ! Comme on dit, la différence est dans l’omelette au lard.
Dans l’omelette au lard, la poule est concernée, le cochon est impliqué. (Ceci est une métaphore, je précise).

Or, il ne peut y avoir de synergie sans un minimum d’implication, et l’implication dans le domaine qui nous intéresse ce n’est pas donner sa chair, mais, par exemple, continuer à alimenter le cœur de monbestseller en proposant régulièrement comme ce fut le cas, des articles, des tribunes.

Personne n’est obligé de s’impliquer (on ne peut contraindre à l’implication), mais il est un fait vérifié : un ensemble de personnes concernées, cela donne un réseau social où chacun poste pour son compte, en likant vaguement ou frénétiquement ses congénères dans l’espoir qu’ils en fassent autant ; en taclant par plaisir ou par principe …

Un endroit qu’on finit par fréquenter par routine, peut-être, en tout cas pas un lieu où l’on aurait le sentiment de construire quelque chose de collectif.
Alors ?

...

 

Vous avez l'opportunité et la chance de fréquenter et d'être inscrit sur un site visité par plus de 6000 personnes par jour, alors montrez vous, intervenez, débattez. Profitez en, c'est un espace de promotion gratuit (mBS)

 

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34 CommentairesAjouter un commentaire

Bien d accord avec vous Youssouf Marius Abdoulaye : "entre commenter pour commenter et s'abstenir de commenter quand on n'a rien à dire" je préfère souvent ne pas commenter.

Publié le 17 Février 2021

La participation-pour ne pas dire la solidarité-devrait être le principe essentiel de ce site, vu ses objectifs. Lire et commenter(peut-être faut-il ajouter "aussi"), publier et échanger. Mais le constat est fait par la tribune: l'égocentrisme. Il y a certainement des "circonstances atténuantes" pour certains, mais toujours est-il qu'il manque a beaucoup le sens de 'interaction. Il n'est pas toujours nécessaire de donner des leçons (les choses sont déjà assez claires d'ailleurs, mBs=lire, publier, échanger), mais c'est bien de rappeler nos devoirs, enfin, s'il nous arrive de les oublier. Petit bémol: parfois on lit, mais on ne trouve pas exactement ce qu'il faut dire de la lecture, et, entre commenter pour commenter et s'abstenir de commenter quand on n'a rien à dire, la seconde option est la meilleure ,enfin, ce n'est que mon opinion
Sinon, merci aux initiateurs de ce site unique qui nous a permis à nous autres de rencontrer La Vie littéraire.

Publié le 16 Février 2021

-On veut être lu, mais on ne veut pas lire, on veut des commentaires, mais on n'en fait pas, et quand on a par chance des commentaires, on n'y répond pas... ou presque pas..."

C'est ma foi, une certaine vérité basé sur la généralité du genre. ^^
On peut aussi juste vouloir lire sans forcément y apposer un commentaire, Le contraire est impossible.
Faire don de silence peut-être bien plus éloquent que caqueter toute la journée pour ne rien annoncer de concret. Écrire ou lire par obligation n'a pas la même valeur que par plaisir.

Publié le 12 Février 2021

..... ..... Bonjour aux lecteurs,

..... Voici une proposition, si vous avez une remise, allez-y, prenez une hache et revenez et séparez en deux votre tableau des lectures et des classements. La mienne, ma hache est déjà maculée de rouge...
..... Vous aurez deux tableaux, celui qui intéresse véritablement et est à promouvoir et à entretenir de préférence, le premier, celui des nouveaux exposants et des auteurs qui participent à l'émulation du site. Vous aurez un deuxième tableau visible qu'après celui-là et plus simplifié peut-être. Enlevez-lui ses "vu", il est le blanc du pain, il est de valeur pour les yeux et d'importance à la fierté et la reconnaissance de l'auteur de par son ouvrage. Et sans doute l'un des moyens pour que les communications s'activent puisqu'il n'y a pas de meilleures paroles que celles qui sont partagées et qui est le double but du site.
..... D'un premier visuel l'essentiel sera démêlé de l'ivraie, le meilleur du grain de l'autre grain. D'un beau jardin et d'un terrain vague, et de l'un à l'autre : une valorisation ; de l'autre à l'un et d'une différence claire : une curiosité, un intéressement désintéressé. Une façon de signifier ce que vous attendez de leurs participations.
..... rouge de peinture parce qu'elle est neuve.

..... Autre chose, puisque vous avez été enfant, puis adulte, parent certainement et peut-être grand-parent ou de le devenir, agrandissez votre famille.
..... De ces personnes encore absentes de comprendre leurs existences montrées de mBS, défaits de la première vertu de la civilité et qui nous laissent croire de venir d'une autre planète ou de n'être fait que de bois, que vous aillez, en les nommant par leurs ouvrages, de tirer et d'accrocher ces personnes auteurs et que vous les aillez pris sous votre coupe et qui fait que cela vous engage un peu de les approprier à votre image et pour elle d'une promotionnelle stature donnée, qu'elles puissent exprimer un sentiment. Ou bien d'elles qu'elles reçoivent un mérite "en trop" plutôt que "de plus" et que, par défaut ils ne pourront s'enorgueillir de suites plus consacrées, qu'ils payeront leurs indolence. Ces personnes, initiez-les à la chose, après quelques jours, une semaine, avec un message personnalisé. Cela n'est pas un droit, cela n'est pas un devoir, cela est les deux à la fois, un service, un conseil, une affection presque, un rappel. Portez-les un peu. De ne rien d'agir, rien restera rien et d'agir sera de ne pas agir. Une vérité négative d' un reflet de vérité positive.

..... Chaque année de nouveaux mots entrent dans le dictionnaire, j'aimerais bien les voir ici et l'application de leurs avènement, ce qui explique leurs utilités, ce qu'en pensent les locataires du site et le site, ce qu'ils en déduisent...
..... Je serai curieux d'apprendre chez les grands auteurs-lecteurs s'ils ont remarqués ou trouvés des expressions tordues, des constructions de phrases inadéquates, du mauvais français et que beaucoup de personnes font parce que pratiquement tout le monde le fait.

..... Je vous suis redevable de vos "Libertés d'expressions" jusque leurs limites, près de les déborder ou de les déborder et tenu et accroché d'elles. Je vous ai déjà amené les marées de mes mauvaises humeurs, pas celles d'être plus chocolatées, je vous souhaite, cet instant, des pluies diluviennes, celles d'être servies gracieusement d'aumônes célestes et de soupirs doucement tièdes, légers.

Publié le 09 Février 2021

@monBestSeller.com
/n
Juste histoire de remettre une couche. Vous nous parlez d'USURE, de manque d'IMPLICATION, de ne pas être cette communauté qui construit quelque chose, ensemble. MAIS vous oubliez de nous dire que vous censurez de nombreux articles, de nombreuses propositions, surtout celles qui n'ont pas retenu les faveurs de "JE" comme le dit @Bruno Verdin ; alors ! Est-ce vraiment de l'usure ?

Publié le 07 Février 2021

Oui, @Catarina Viti je l’ai lu il y a un an, deux peut-être je ne me souviens plus trop. Je lis lentement, mais là, ce roman m’a scotché, une nuit pour lire « Schriyitouplak ». Des proches n’aiment pas son ton un peu brut de décoffrage, moi si. J’ai hâte du prochain Goropatatif, je compte sur vous pour que je ne le loupe pas.

Publié le 06 Février 2021

Hello @Christian Vial, il y a tellement de gens qui écrivent en France (des millions) que vos bouquins ont de grandes chances d'être lus par un auteur.
De plus, lire de sombres inconnus (certes d'immenses écrivains, des œuvres sublimes, des styles extraordinaires, de grands artistes de la plume) cela n'excite pas grand monde. Soyons réalistes !
A ce propos, avez-vous lu "Schriyitouplak" de Goropatatif ? Mon cher Christian, c'est à peu près l'effet que produisent nos titres et nos noms sur le grand public.
Alors, elle est pas belle la vie ?

Publié le 06 Février 2021

Je vous ai tous lus. Je suis d’accord à peu près avec tous, c’est-à-dire avec pas grand monde. La réalité c’est quoi ? L’état des lieux c’est quoi ? Des auteurs qui veulent être lus ! Lu ! Mais pour être lu, il faut des lecteurs, pas des auteurs. L’affaire est pliée dès le départ, c’est le problème de toutes les plateformes, il n’y a pas, ou peu de LECTEURS et les mêmes pugilats et règlements de comptes à OK corral sévissent entre… auteurs. Une petite citation pour conclure en toute amitié et pour sourire:

« Un écrivain ne lit pas ses confrères, il les surveille. »

— Maurice Chapelan

Publié le 06 Février 2021

..... ..... Re-bonjour à tous, bonjour aux lecteurs de poésies, d'amour confondus, de joyeusetés, bonjour à d'autres, les restants,

..... Enfin quelqu'un qui n'écrit pas pour répondre par réflexe, par humeur, par orgueil ( si, un peu, vu les arguments avancés, ou bien de bonne fierté ). Pour moi de remercier l'application que vous édictez ailleurs, plus loin, il y a longtemps.
..... Ecrire n'est pas comme de parler, c'est pour cela qu'il peut s'envoler et devenir un art. Cela n'est pas de nature animale, cela est de nature humaine, seulement. C'est de communiquer d'en plus que de parler, de communiquer de par les formes et les manières. Invisible de vue, entendable d'esprit, d'objectivité ajoutée à l'imaginaire par de l'imaginaire conceptualisé, formé, par l'inspiration, d'un partage d'une séduction à l'entièreté des messages et des sentiments. De ceux qui écrivent comme de parler de loin est... tant pis ! Si ces gens-là prenaient la peine d'écrire comme d'être "auteur"... de montrer qu'ils sont "auteurs" de toutes les manières, de toutes leurs façons, j'aurais plaisir de lire, de poser des commentaires... Je sais parler, et pour rien aussi mais "lire" de rien de parler, de ne concéder que 2 ou 3 lignes chichement remplis de "j'aime ; encore ; fluide ; à quand la suite ?", d'allonger ce qui n'est pas d'intéressement, cumuler, additionner des adjectifs, à la queue leu-leu que je promène de plus facile que des chiens, d'une bibine qui se jette à ma figure parce que je suis tenu des bras du fauteuil, pour que le professeur cathodique, de redevance, soit utilisé et utile ( choisir l'un des deux parce que le "et" est un "ou". A être galaffe ( sale gourmand ) on prend les deux, mais il y en a un qui prime ). Je me crois dans la rue en train d'apostropher mes voisins " Hé, bonjour ; tu vas bien ? ; quel temps ! au revoir ! hé, ta soeur, elle est où ?". Cela ressemble à une bonne journée. - une mauvaise fin de journée oui ! - D'être "auteur" et de ne pas savoir commenter comme de s'aimer d'être "auteur" soi-même... je ne sais pas, je ne conçois pas. Ce que je déduis, ce que je crois est que lire un commentaire d'un "auteur" est déjà lire le récit qu'il a écrit, une estimation, un synopsis de la personne, un préjugé, un préjugé presque juste. Je ne lis pas un Musso, un Bussi parce qu'ils s'écrivent en grand sur la couverture. Je lis un récit par la personne qui l'écrit, pas pour sa gloire ou son nom, pour moi c'est tant pis d'eux. C'est plus facile de lire une personne ici chez mBS, mais d'un petit monde, je retrouve un même monde avec des pies, des corbeaux, comme d'un monde entier, pas encore un morceaux, un bord, une senteur d'autre chose de bien et de mieux. Je n'attends pas d'un paradis, il ne sera pas de mes souhaits existés non plus. Et je retrouve des Musso et des Bussi, ils ne m'intéressent pas. Je lis une vraie personne investie par son récit et que d'elle même, pas pour des nombres, pas de publicité excessive, d'aguichements ou d'harcèlements. Je cherche le campagnard, le vrai, le humble, pas celui qui s'éclaire d'une auréole qu'il se fabrique ou d'une lumière qui m'aveugle de le discerner. Chez mBS, ici, comme d'un marché aux puces, pas les rues de San Francisco, trouver une personne comme cela, un nouveau Céline, pourquoi pas. Si elle ne se trouve pas de suite, elle arrivera quand même... un jour.. c'est fatal... c'est fatal comme de naître, ça viendra. Mais, ici, j'écris ce que vous ne lisez pas, j'...

..... arrive à vos affaires, les vôtres, celles de vos intérêts, celles mélangées et confondues à vos intéressements et vos préoccupations et qui vous égarent de vos occupations et qui sont celles de ne pas entendre. Celles de trancher et d'imposer. Et je ressens ce qui me vient comme d'être plus mBS que vous. Vous êtes d'un pouvoir qui grignote l'esprit et l'occupe et se défend d'entendre une sage intuition. De moins apprécier, de peu de considérer et que vous vous personnaliser du pouvoir du fond de la grotte, cachée et d'une grande magie. C'est tentant, oui.
..... Le premier mot est "Je" mais vous êtes une équipe chez mBS, vous êtes de plusieurs personnes. Pourquoi ne pas écrire " Nous" ou "mBS", qui est le "Je" et qui masque le "Nous", le meneur de l'équipe ? Lucius ? Passons, je deviens mesquin.
.....Qu' mBS aprenne au petit nouveau qui s'appelle "Je" que j'ai déjà participer à des commentaires de récits. Peut-être aussi est-il toujours le même mais d'une agrafe oubliée dans le cerveau. Et qu'est-ce qu'il veut savoir de ce que je fais sur mBS ? Et qu'il ne sais pas encore, si je regarde le tennis à Rolland-Garros ou si je mets un string rose sur ma tête quand je lis ? Vous voulez aussi que je demande à Google de vous envoyer mon historique internet ? Cafard raté !
..... Chez mBS je ne participe pas, non je ne participe pas, je me promène. J'ai déjà donné, je me souviens, vous pourriez l'annoncer et être de candeur si votre fierté qui dépasse par-dessus le chapeau n'en prenais trop la place. J'ai déjà posé des commentaires à des gens silencieux par les gènes, et à d'autres à des personnes percutées du variant du silence. J'en ai reçu aussi mais ce ne sont pas des commentaires, à défaut d'apprécier ou de savoir apprécier, ce sont des jugements, plus faciles à exprimer parce que venant de l'importance de soi-même et qui montrent bien de ce quoi ils sont, du vernis gratté, un monde polaire d'un pas dépassé de l'équateur.
..... Vous prenez de la distance, de la hauteur avec votre petit-grand "Je", vous impersonnalisez la communication et c'est moi qui doit me sentir petit et vous de devenir de tout, vous vous grandissez pour vous sentir de toutes choses, devenir comme roi et vous vous grandissez encore, vous êtes trop immense, vous vous cognez la tête du ciel, ça y est ! c'est de Dieu qu'il est là !... Et ce que je suis ? ( un lambda contestataire, une pleutre voix, un soupir dans sa lampe qui s'évapore d'intérieur en intérieur parce que shooté dans le fossé, impossible de me faire entendre ou bien que de têtards ou d'être noyé. Alors ce que je fais ? Par toute sa noblesse, je quémande à un roi, je prie à un dieu ? Quoi d'autre ? Que je me couche à plat ventre ? C'est quoi cette simagrée ? Revenez chez moi, vous ne m'entendez plus, vous serez respecté de près, de proche, autorisé de souffler de l'émoi, d'être mille fois quelqu'un d'une fois mais pas de titre ou de pouvoir, il y en a d'autres qui ont les odeurs de roi et d'autres des préceptes divins. Le " Je" je ne le crains pas, je ne l'aime pas. Je ne l'aime pas donc je ne le crains pas. Vous êtes métrés de critères commerciaux, à la surface héritée qu'occupe la profession, le coeur humain au vestiaire, lâme de Dieu, chez soi, à la maison, là où il est égoîste de se laver et de s'apaiser de ses mille tourments comme d'un bonheur mérité.
..... Que je parle de quoi maintenant. De votre tour de passe-passe quand vous évoquez ma présence sur ce site. Il me semble qu'il n'est pas une première fois et que cela aide et affermit votre pouvoir de contre-diseur ( de réalité vous devenez définissable par ces petites choses ) Cela n'a pas d'incidences mais prend le poids d'être posé et dit, plus posé que dit puisqu'il ne dit rien, juste un "psyco-viol", une amertume crachée, d'une cause de ce que je suis, d'une conséquence de ce que vous êtes et, sur ce coup là je suis moins mesquin que vous parce que je n'ai fais que surfacer une possibilité, vous vous l'avez grogné de honte et d'impuissance, vous l'avez feulé. Et de divulguer, je n'accepte pas, je refuse ce genre de bassesse, que vous cherchiez dans le fond de vos poches, de ce qui traîne de sale, de ce qui ne traîne pas et d'être propre. Vous n'êtes crédible que de moins de respect par manque de censure là où il y a censure, et de bien-entendu et de classe. Je ne vous autorise pas.
..... Le fond du sujet, Dieu ne me demande pas 2 euro pour vivre 15 jours de plus, Dieu me demande sa reconnaissance, il aura ma bravoure. mBS me soumet de verser 2 euro pour être lisible 15 jours de plus, il aura ma bravoure participative ou exténuée mais pas mieux ou plus, de même intention que je crois en Dieu. Et "si" ou "même" je crois en Dieu cela fais, de même mesure et tout de même, beaucoup pour mBS. - Payer aussi pour être lisible n'est pas à faire -, circonscrit puis outragé. C'est un clou torsadé que vous enfoncez et contre nature de vos premiers idéaux. Même si ces idéaux doivent évoluer, il prend la grande route de tout le monde, le large boulevard, l'indiscernabilité d'un individu dans le démesurable d'une foule. Il est une direction connue, trop connue, trop commune et mBS n'est plus un site décoré aux yeux, décoratif des regards mais décolorant des substances ( l'argent ) de la subsistance ; au bonheur d'être vivant, un drame de vivre, une dévotion pour survivre encore, la machine, l'entreprise, un commerce, un n'importe où d'un n'importe quoi qu'il y a partout.
..... Peu différend, pas reconnaissable, moins enviable et d'une chaîne de plus, une chaîne aspireuse et mâcheuse de fric.
..... - Ben ouais bonhomme ! c'est par le fric qu'on parle, il faut être friqué pour parler, la salive c'est comme une huile de moteur, pas mieux que cela, une huile. C'est la mesure étalon de beaucoup de choses et dépasse d'utilité les secondes du temps et des mètres des distances et aussi ces deux-là, la vitesse. Il est prévu que, de bientôt, le fric vénérable sustente les religions et leurs dieux. Dieu reculant d'une case bousculant Satan obligé de reculer de Dieu, première place dorénavant : Fric avec un feu majuscule. Prisé des hommes pour toutes ses utilités et des sommes de son importance, Fric pète le feu, ne devine pas une éventuelle collusion de Dieu et Satan qui mènerait à une rebelion. Avec 8 milliards d'âmes environ, il y a déjà les quantités de sangs et de sueurs pour fertiliser un prochain avènement.
..... "fric-frac" est un film de voleurs, aujourd'hui "fric frac" est un mode de penser comme tic tac est une façon du temps d'être compté et hip hop de chambouler un cerveau.
..... Le coeur de ma virulence, la liberté. La liberté est d'ouvrir des portes, des portes de n'importe quoi. Ouvrir des portes c'est recevoir tout le monde et tout le monde ce sont les bons, les moins bons, les mauvais. Surtout les mauvais ! Ce sont eux qui montrent et valorisent la liberté d'être comme ci, comme ça. Parce qu'ils sont moins bons et mauvais que nous ne sommes pas élitistes, sectaires mais de liberté et de liberté grande à toucher les horizons. L'expression : il y en a tant. Ici l'expression de recevoir, l'expression de savoir exister gratuitement, sans y être invité, sans en avoir l'envie, l'expression de passer et s'arrêter, se construire un coin et, d'y penser u
n peu plus, peut-être d'écrire et exposer, peut-être de trouver cela plaisant et d'attraper le confort de rester. Et que d'écrire il ne suffit pas, faire les courses du voisin, mûrir une nouvelle couleur, une étrangère couleur qui chauffe comme du soleil, chez mBS. Quelqu'un de bon qui semblait mauvais, un faux mauvais qui habite chez mBS parce que cela s'est fait d'évidence et simplement parce que mBS est d'expression libre. Il est libre parmi les libertés. D'écrire et de lire aisément, mBS peut s'accrocher à plus grand que lui, la référence, le modèle, la multi-nationnale qu'on nomme "Les libertés d'expressions".
..... Ce n'est pas de fermer des portes, de mettre des barrières, de poser des barreaux qu'il s'arrangera des choses désirées qu'elles soient meilleures. Je parie du contraire, vous serez gardiens de petites libertés, d'encore un truc-machin qui pullule sur internet.
..... Puisque vous êtes moins beaux, regardez de quel monde vous êtes, frottez vous les yeux et ne soyez pas fautif de ce qu'il est, il est de pollution entretenue, d'agacements et de caprices, d'exigences et d'égoïsmes et de le fermer et de le facturer chez vous, chez mBS, vous le copier. Vous vous ranger comme sont les autres ensuite, une fois pris dans la masse, vous marcherez au pas, et plus loin, il sera trop tard d'être original, vous serez défendant de votre survie. Et si ne rien faire ne fais pas plus beau, ne rien faire ne fera pas plus moche. Il fera et puis point. Il fera plus tard, il est le moment d'être sage. Il est temps de brosser et de balayer, pas le moment d'acheter du marbre, il est temps de garder de l'authentique envie. Les rêves attendent la nuit pour se révélés et les espoirs sont du jour, lorsqu'ils sont de joies et de conforts, poussent les bonnes choses et les idées aussi. Ne regardez plus l'autre monde, entrevoyez-le parce qu'il n'y a pas l'impératif de plus savoir? de mieux comprendre, l'intuition veut sa place.
..... Des idées, il n'est pas à moi d'en fournir, il est de votre travail et de vos compétences. D'ailleurs chez mBS, les idées de mBS s'imposent et on ne sait que sur le tard qu'elles étaient des idées. Vous vous sanctifiez de recevoir des dizaines de coup de téléphone, et je me targue de ne rien recevoir de dizaines de coup de téléphone si j'étais à votre place et de ne pas mal faire. Vous vous vantez d'être déshonoré d'une réussite espérée de force. Vous marchez sur la lune pour marcher longtemps du vide, c'est exceptionnel. Cessez de me vendre cette salade, elle est la votre de fait et de votre volonté.

.....Je ne me suis probablement pas suffisamment explicité mais mes repères vous les avez. J'agis de mes envies, pas des conséquences imaginées d'un retour de mes envies, bonnes ou mauvaises. Si mes intentions sont justes et véritables, elles ne peuvent être qu'ensoleillées mais n'empêchent pas l'adversité.
..... Vous voici un peu mieux savant de ma personne, si cela vous comble j'y gagnerai de me justifier. Blablabla...
..... Sachez, pour votre considération propre, que vous avez encore eu le bonheur d'avoir été lu par moi car je sais aussi ne pas lire ce que je ne veux pas lire.

..... Quand il est lundi ou mardi, je reçois un mail de mBS, pas une pub, pas une proposition, un courrier ordinaire qui me raconte le cours de sa vie. Mais de par le temps accompagné cela devient un plaisir et d'exagérer, presque un fulgurant plaisir. Comme d'un ami qui me fait les honneurs de passer me dire le bonjour ou de prendre de mes nouvelles. De ne pas coller à ce que je ne lui dit pas mais de s'en aller aussi heureux que moi, je crois. Je kiffe cela, je me suis habitué et est désirant de ce bon augure, il est dénué de quelconque contrariété et lavé de négativité, un péché-bonbon-sucré.

..... J'ai une idée mais traversera la fin de semaine.

Publié le 05 Février 2021

Bonjour@Alexis Arnaud c'était donc vous. Figurez-vous que je suis une telle quiche en informatique que, depuis quelques mois, je ne reçois plus les notifications sur ce compte. Je vous remercie beaucoup de l'intérêt que vous portez à ma plume qui attend impatiemment d'arriver à bon port avec ses personnages, oui qui en ont assez de faire antichambre après plus de 100 pages qu'ils ont vu le jour. Je ne sais même pas dans quel état et dispositions d'esprit je vais les retrouver ! Bonne après midi à vous. Cordialement. Fanny

Publié le 05 Février 2021

@FANNY DUMOND
J’ai bien aimé votre formulation : je vais rejoindre mes personnages qui se languissent de connaître la suite de leurs aventures.
C’est tout à fait ça ! Que font-ils quand on les met en file d’attente sur le bas côté ou dans l’antichambre ?
Alexis
PS : petit coeur rouge… je vous avais mis en bibliothèque il y a de cela plusieurs jours et Dans le courant de [votre] plume, je lis au fil de l'eau.

Publié le 05 Février 2021

Bonjour@monBestSeller Pour résumer, ce qui me fait malice c'est d'avoir commenté longuement (durant des heures, oui), honnêtement (sans chercher de retours sur investissement), quelques auteurs sur un ou plusieurs de leurs ouvrages, mis en avant par la suite (petit coeur), sans même un simple "merci" et de constater que pas une seule fois ils n'ont eu une petite curiosité d'aller sur ma page (mis en BV). Veuillez excuser les parenthèses, je fais court ce matin ! Alors, oui, à force que le partage soit à sens unique, je me suis lassée, car j'ai d'autres choses à faire, en l'occurrence écrire ! J'ai un roman en stand-by depuis 6 mois et, dorénavant, je vais rejoindre mes personnages qui se languissent de connaître la suite de leurs aventures. Bonne journée. Cordialement. Fanny

Publié le 05 Février 2021

@FANNY DUMOND
Tout à fait d'accord avec vous. C'est ce contre quoi nous essayons de lutter. S'ils ne participent pas, ils ne seront, quoiqu'il en soit, pas lus.
@Yvan Ollive Merci pour votre réflexion constructive en accord avec notre vision des choses.
@Saint-Bleyras
Bonjour, votre point sur les commentaires nous intéresse. Sachez qu'il ya un comité de lecteurs, et que par ailleurs de nombreux auteurs nous indique ce qu'ils ont repéré. Toute critique que vous déposerez attirera notre oeil. C'est donc vous AUSSI le sélecteur. Nous n'avons pas la prétention d'être un jury infaillible, et c'est pourquoi votre coopération est indispensable. L'un de vos lecteurs nous a transmis votre nom par exemple (c'est vrai). A nous de trouver le temps ou de trouver un auteur pour y jeter un oeil. Et oui, tout cela est bien artisanal, me direz-vous. Comme l'écriture.
@Papou Bezard
Merci

Publié le 04 Février 2021

@Bruno Verdin
Je trouve que vous passez beaucoup de temps sur un site que vous semblez mépriser, et que vous déployez une énergie colossale pour y participer et je vous en remercie grandement (vous venez de gagner 15 jours de visibilité) car c'est ce que nous voulons. Comme vous le noterez, cet article n'est pas spécialement laudateur, personne n'a noté que nous le diffusons sans sourciller. Liberté d'expression oblige comme vous ne le relevez pas.

1) Regardez le travail des membres que vous critiquez, il est immense (on peut vérifier leurs commentaires et leurs nombres). Par ailleurs nous sommes informés des aides secrètes, assistances particulières à des auteurs sans ressources ou sans orthographe ou sans moyens, ou sans traducteur... Il ya un monde derrière les mini apparitions des uns et des autres. Vous ne regardez que le décor.

2) Et oui, Heureusement nous avons des adeptes de notre vision des choses, quelle est la vôtre pour faire vivre un site ? Car c'est cela qui nous intéresse. Vous êtes particulièrement muet quand il s'agit de faire des propositions.
" Laisser la place à ce qui peut se faire d'autre, laisser venir ce qui n'existe pas encore et pas encore de venir... mais ne pas occulter, laisser advenir..."
Mais Proposez les , bon sang , ces idées géniales qui seraient l'objet de notre censure?. C'est le lieu. Elles sont bienvenues . Vous donnez le sentiment de cette opposition sur les chaines d'info qui tous les soirs hurlent au loup sur la politique sanitaire avec des YaKA, faut KON, se contredisant semaines après semaines, mus par leur valorisation individuelle via la critique, n'apportant aucune brique aux idées justement, se complaisant dans la seule vanité de la critique.

3)"La faute à mBS qui implore d'être beau parce qu'il l'est moins et qui, d'usure d'implorer sévit ...l'initiative, sanctionne les moins concernés" dites -vous.
L'usure est un terme de l'auteur de l'article. Pour les chiffres, ils sont bons, merci, mais nous essayons de faire mieux. Quant aux "moins concernés" comme vous dites, ils écrivent tous les jours par dizaine pour savoir "Comment réactiver leurs comptes". Rien de plus facile, ce n'est même pas un effort, c'est du respect.

4) "Laissez venir le talent", dites vous. Mais là vous êtes bien crédule, rien ne se passera...si l'on ne provoque rien. Tous les jours nous nous activons pour les faire venir ou les relayer. Nous ne sommes pas Oui-oui au pays des indés.

5) .......

6) "Le droit d'être silencieux", vous l'avez, celui de ne pas participer au site aussi, celui de critiquer encore plus. La preuve.

Merci du temps que vous nous consacrez, même si je ne souscris pas à vos propos.

Publié le 04 Février 2021

Bonjour ! Comme tout est dit et resucé depuis plus d'un lustre, j'ajouterais simplement une ou deux réflexions : "Les auteurs à découvrir" sont ceux qui ont opté pour des packs et "c'est l'jeu ma pauvre Fanny" que j'accepte sans aucun souci. Est-ce pour autant qu'ils s'intègrent un tant soit peu à notre communauté ? Après avoir fait un tour sur ceux qui ont obtenu le petit cœur (grâce aux nombre de lectures et de commentaires), je remarque que la grande majorité ne s'est jamais investie ni intéressée aux autres et que désormais leurs livres sont désactivés. Voili, voilou ! Bonne journée. Cordialement. Fanny

Publié le 04 Février 2021

@LadyAutrice1800. Afin de ne pas ouvrir une parenthèse trop importante dans ce fil de commentaires, je vous propose de me contacter (si vous souhaitez que je vous fasse part de mes profondes réflexions LOL) via ma page auteur. Je vous souhaite une excellente journée.

Publié le 04 Février 2021

Bonjour à tous et à toutes.
J'ai, je pense, pas mal lu sur MBS juste après la publication de mon livre sur le site. Maintenant beaucoup moins, pas par lassitude, mais juste parce que j'écris, je commence un nouveau livre et dés lors il est impossible pour moi de lire, même le plus fabuleux des romans. Sinon je m'embrouille, je perd le fil. Peut-être faible et influençable ? Les textes des auteurs de MBS, souvent accompagnés de commentaires, sèment le doute et l'hésitation. Ma bulle est malmenée. Quand j'écris, je lis des BD. Les images ne me dérangent pas. Lire et écrire ne sont pas compatibles. "Les vaches ne boivent pas de lait ", la métaphore n'est pas de moi et je ne cite pas l'auteur car je ne suis pas sûr de mon coup.
Je suis venu sur MBS pour être lu, j'ai été encouragé et comme je ne suis pas le seul, je me dis que rien que cela justifie un tel site. Auteur débutant, je ne me sens pas d’être un commentateur débutant. Inquiet de mes maladresses. Dire j'aime ou j'aime pas me ferait penser à d'autres plateformes.
Peut être que MBS est à un tournant, qu'il faut laisser du temps aux auteurs de devenir commentateurs, de s’aguerrir à cet art difficile.
Le plaisir que prennent certains commentateurs se voit au travers de leurs "critiques". C'est un bonheur de découvrir leur finesse et leur empathie. L’expérience qu'ils ont des auteurs est irremplaçable. Et c'est ce qu'un site d'auteurs peut proposer de mieux.
C'est un équilibre associatif, les auteurs proposent et les commentateurs ont tout le loisir d'exercer leur sens de l'analyse, leur maîtrise de la langue. Leur sensibilité, leur poésie. Chacun, du moins je le crois, se nourrit de la passion des autres. C'est une démarche généreuse, dans les deux sens.
Tout de bon à vous tous et toutes.

Publié le 03 Février 2021

*Les commentaires* : je vais sans doute poser une question idiote… Les livres postés ici sont-ils considérés comme définitifs ? J’ai cru comprendre que certains avaient apporté des modifications à leurs textes après la publication de certains commentaires, donc, si c’est le cas, un commentaire de critique constructive semble être dans la marge acceptable. N’est-ce pas rendre service à quelqu’un de lui dire que la mise en forme ou les coquilles sont problématiques ? Pour ce qui est du style et du sujet, tout est forcément question de goût, mais il me semble quand même possible de toucher mot sur la structure du livre… Si les retours sont uniquement positifs par autocensure, est-ce que le site ne se transforme pas uniquement en plateforme publicitaire biaisée ? //
@Catarina Viti *Le nombre de pages lues* : D’accord avec vos remarques, avec un petit bémol. Ce chiffre est-il réellement toujours signifiant ? On peut arrêter sa lecture pour de nombreuses raisons : manque de temps, interruption subite indépendante de sa volonté, confort de lecture (j’avoue que je trouve la lecture des PDF insérés dans le site impossible sur téléphone, et dois donc lire sur ordinateur)… ou effectivement, réel désintérêt ou décrochage. Alors, comment savoir ce qui a motivé cet arrêt ? L’auteur (ou autrice) désappointé (e) pensera toujours n’avoir pas plu, quoi qu’il arrive. Je ne sais si les ouvrages sont forcément placés dans les bibliothèques personnelles ou marquées d’un marque page (l’auteur peut-il avoir connaissance de ces marques pages, d’ailleurs ? C’est une marque d’intérêt non négligeable.) Et feuilleter n’est pas lire, non plus. //
Quant au *ratio nombre de lectures / commentaires*, j’avoue ne rien y connaître… d’autant plus que son comptés comme commentaires les réponses des auteurs sur leurs propres textes. Mais merci pour la suggestion ! //
Sans doute certains lecteurs cliquent-ils sur un livre par curiosité, malgré tout (thématique qui ne les intéresse pas plus que cela), lisent quelques pages, et referment sans commenter, parce que cela ne leur plait pas… J’avoue avoir cédé à cette curiosité et lu quelques pages de livres au Top du palmarès de la semaine et ne pas y avoir trouvé mon bonheur. J’avoue aussi être sensible à l’accroche d’un texte et à son style. Les premières pages sont souvent représentatives, et après une dizaine de pages tout au plus, je pense assez vite savoir à quoi m’en tenir, et du moins, savoir si j’ai envie de poursuivre ou non. C’est sans doute un tort, mais si je n’accroche pas, je ferme le livre et passe à autre chose. Il y a bien trop d’ouvrages à lire et trop peu de temps à y consacrer… //
Autre chose qui compte, à mon humble avis pour la lecture et l’incitation au commentaire : le synopsis ou résumé mis en avant. Il est parfois bâclé ou écrit à la va comme je te pousse… et peut donc être totalement rédhibitoire. Cette plongée dans le style de l’auteur et son univers est importante pour inciter à la lecture, et pousser au commentaire. //
*
@lamish Oui, commenter est un exercice de style très particulier… Je voulais m’assurer s’il y avait des règles officielles ou tacites sur mBS avant de plonger dans les commentaires. Sur certaines plates-formes, il est quasiment impossible de faire des retours sincères car il faut ménager la chèvre et le chou, et être systématiquement positif. Or, il me semble que sans démolir l’auteur ou l’autrice, il reste possible d’apporter des éléments permettant d’améliorer encore les textes. mBS ayant une rubrique "Conseils & Ateliers d’écriture", j’ai eu l’impression que ce type de retour était admis. //
J’ai effectivement vu en regardant votre profil que vous aviez un historique impressionnant de commentaires sur le site, et que vous étiez sur mBS depuis très longtemps. Vous devez être une usagère rêvée pour les créateurs du site ! (Et… (hors sujet de la chronique) merci d’avance pour votre futur retour sur ce bout de texte, si vous souhaitez le faire. Sachez qu’il me sera très précieux). //
*
@Saint-Bleyras Il me semble que, quel que soit le nombre de commentaires, un auteur ou une autrice sera toujours ravi (e) d’en lire un autre, et de savoir que son livre a touché ou intéressé une personne de plus. ;-) Commenter après d'autres ne me semble donc pas rédhibitoire.

Publié le 03 Février 2021

N'attendons pas pour participer activement? Avec plaisir, répondrais-je sans arrière-pensée, adroitement mais humblement. Je suis arrivé il y a peu, propulsé rapidement grâce aux lecteurs et auteurs du site, répondant à chacun de leurs commentaires, faisant même partie de la sélection 2020. Mbs a toujours été bienveillant envers moi et je ne puis que remercier l'équipe: interview, pack. Je continuerai à publier puisqu'il me semble que ce site n'est pas comme beaucoup d'autres que je connais autant que de groupes fb. J'essaie de répondre et j'essaierai de lire et de commenter les œuvres qui m'interpellent, sans blesser et avec respect.

Publié le 03 Février 2021

@Kroussar, @Alexis Arnaud, @Catarina Viti, @monBestSeller, @lamish, @LadyAutrice1800, @Bruno Verdin, @Parthemise33, @Michel CANAL, @Boris Phillips
Pour revenir à l'essentiel c'est à dire mBS et son devenir.
À l'instar de Boris Phillips et bien d'autres, je suis membre de monBestSeller depuis l'ouverture du site. À l'époque comme d'autres auteurs, mBS nous avait contactés sur facebook...
J'ai donc assisté à ses débuts balbutiants. J'ai pu tout au long de ces années, observer, publier et commenter.
Il est vrai qu'au fil du temps l'ambiance a changé, mais ce n'est que le résultat de notre évolution. Par expérience, je sais que rien n'est figé, surtout sur les plateformes.
Bien souvent, la fierté mal placée a favorisé des comportements agressifs. Hier ce n'était guère différent, mais cela restait plus feutré.

Mon expérience personnelle sur ce site, n'est ni décevante, ni des plus enthousiastes.
Lorsque l'on présente ses œuvres ( plus ou moins talentueuses )sur une plateforme, il faut savoir rester modeste.
Alors comment éviter le piège de l'orgueil ? Plus communément, celui de la grosse tête !
Sur ce site, ( sauf quelques exceptions ) certains auteurs dès qu'ils sont propulsés en tête, se voient déjà comme le romancier(e) du siècle. Ils affichent leur indifférence, ou mépris, pour les autres auteurs, n'attendant que des louanges dus à leur excellente position sur le site...
Ceux-là n'apportent rien à la communauté, ils ne lisent et ne commentent jamais (ou rarement) un autre auteur.
Pour conclure, et en ayant déjà donné dans ce sens, je pense qu'il est quasi impossible d'amener une majorité à s'impliquer.
Alors que vogue la galère. Méditons :
Ecrire, et ne pas publier, est un état bien agréable. Henry de Montherlant
Ecrire est un acte d'amour. S'il ne l'est pas il n'est qu'écriture. Jean Cocteau
Ecrire, c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit. Marguerite Duras

Publié le 03 Février 2021

@Kailijinn (je vous réponds // je précise pour ceux qui pourraient penser que j'abuse... MDR) Il y a bien un moyen, c'est celui de comptabiliser les lectures pleines d'un livre (d'autres sites le font). Sauf que 3.000 lectures deviennent 20... Depuis que je suis membre mBS (2015) j'ai eu le temps de réfléchir à la question et voici ma réflexion : je ne crois pas qu'un auteur conscient soit plus avancé d'avoir 3.000 clics que 20 lectures. Je crois que les choses se construisent au fil du temps, quand vous avez posté plusieurs textes, reçu des tas de commentaires différents. La littérature ne se décide pas dans l'instant, mais dans le long terme. (c'est mon point de vue, je précise). Par exemple : mes premiers textes qui étaient caca-bouilla caracolaient toujours en tête (j'ai fermé comptes et bouquins avec -pour un seul livre- plus de 15.000 lectures -c'était grosso grosso ma moyenne), maintenant qu'ils sont bien meilleurs, ils se fondent dans le paysage en un temps record avec moins de 200 lectures ! Alors ? Où est le vrai ?

Publié le 03 Février 2021

Bonjour à toutes et tous,

et merci pour cette tribune qui rappelle de nombreux questionnements sociétaux sur le système démocratique ou, pour ceux qui s'y impliquent (justement), dans le milieu associatif. Récemment arrivé sur la plateforme, je ne peux pas dire que j'ai participé de manière très active à la vie du site si ce n'est par quelques commentaires et à la participation à un appel à écritures.
Je ne vais pas entrer dans le débat sur le fond car il me semble que comme dans tout collectif il est important que chacun s'implique à sa manière, selon sa motivation, selon le temps qu'il peut y consacrer, etc. Et, en même temps (sans vouloir faire mon macroniste...), ce n'est que par la participation de ses membres qu'un site devient participatif et qu'elle est nécessaire pouyr qu'il vive.
Je voulais juste poser deux questions techniques qui me semblent des freins à la participation:
- la première c'est effectivement la question des lectures qui ne reflètent pas vraiment le fait que le livre ait été lu mais simplement le fait qu'il ait été ouvert (si j'ai bien compris) comme l'évoquent @Catarina Viti et @LadyAutrice1800. N'y-a-t 'il pas en effet un moyen de résoudre cette question?
- la seconde concerne le support de lecture. J'ai personnellement préférence à lire dans un endroit confortable, or j'ai remarqué qu'un grand nombre de livres n'apparaissent lorsqu'on ouvre le site sur une tablette (ou un téléphone portable). Pour lire ces livres je dois donc (suis-je le seul?) me mettre devant un ordinateur. Savez-vous pourquoi? Est-ce uniquement moi? N'y a t-il pas moyen de résoudre cette difficulté?

J'entends bien que ces questions ne vont pas à elles seules résoudre les problématiques d'implication des membres, de réponse aux commentaires des auteurs, ni révolutionner la participation des lecteurs mais, dans mon cas, elles faciliteraient la lecture de livres d'autres auteurs et de leur donner mon avis.

Belle journée à toutes et tous,

Publié le 03 Février 2021

@Kroussar, @Alexis Arnaud, @Catarina Viti, @monBestSeller, @lamish, @LadyAutrice1800, @Bruno Verdin, @Parthemise33, @Michel CANAL. N'ayant fait que citer les intervenants par ordre de parution, il n'y a donc aucun "favoritisme". Je me permets de rajouter @toutes celles et ceux qui voudront ajouter leur opinion... ah, vaste sujet qui me fut, jadis, posé en colle de philosophie : "peut-on avoir une opinion personnelle ?"
L'habile rédaction de cette "Actualité" - certes anonyme - nous fait osciller entre intérêt et implication... elle me semble toutefois imprégnée de bon sens autant que de sincérité.
Mais, qui suis-je pour ainsi donner mon avis ?
Sans doute un des plus anciens auteurs à s'être lancé dans "l'aventure mBS" où j'ai beaucoup appris !
C'est un plaisir que d'être lu et de répondre à la lectrice ou au lecteur - ce que je fais systématiquement - à propos d'une critique fondée... oups, n'entamons pas ici une polémique qui n'a pas lieu d'être.
Il est souvent gratifiant de lire les consœurs et confrères, de trouver chez-eux la petite étincelle qui nous avait manquée...
Il se trouve que le manque de temps n'est pas un prétexte pour se défiler, les obligations professionnelles existent, même si certains s'en font un sujet de raillerie.
Nous sommes une communauté... continuons à l'être !
Amicalement et avec humour.
Philippe.

Publié le 03 Février 2021

@LadyAutrice1800. Bonjour, vous soulevez un point crucial, lequel pourrait être "résolu" par une fonction que le site ne possède hélas pas : le nombre de pages lues. Que recouvre le silence ? S'il traduit le non intérêt du lecteur pour le livre, que penser alors du ratio nombre de "lectures" / nombre de commentaires au fur et à mesure que le nombre de lecture augmente ? Je n'ai personnellement pas de réponse. Pourquoi n'écririez-vous pas un papier sur le sujet ?
*
@Bruno Verdin, bonjour cher ami "viendrait-il à l'idée de Catarina Viti de lire et commenter les livres de ceux qui ont été sélectionnés au concours du meilleur livre de l'année, de faire oeuvre d'exemple ?". Mon choupinet, si l'on faisait défiler tous les auteurs (y compris concourables) que j'ai soutenu, aidé, aiguillé jusqu'en haut de la pile... on se lasserait. J'aurais moi-même des surprises tant j'ai oublié de noms. Mais nous ne sommes pas ici pour cela. Nous sommes, il me semble, ici pour se rappeler que mBS n'est pas une plateforme comme les autres, mais que si nous négligeons la dimension du collectif, mBS deviendra une plateforme pareille aux autres : un catalogue d'auteurs. C'est le risque qui nous guette si nous ne saisissons pas la perche tendue par le site (loin d'être parfait). Je ne crois pas qu'il y ait chez aucun de ceux qui s'expriment ici, l'envie de briller dans la galaxie plumitive. Et ce serait idiot qu'il y ait la nostalgie d'un temps passé. Je pense personnellement que ce qui compte (surtout maintenant) c'est de sauvegarder un esprit, sauvegarder une place où la coopération peut contrebalancer la compétition. Ce n'est même plus une question de lecture, de compteur, de commentaires, que sais-je. Pour moi, c'est simple, Bruno, depuis 2014, j'ai fait le tour du monde de l'autoédition (et de l'édition que j'avais commencé plus tôt, en 2001), je sais ce que valent les "succès" (vente de livres / les miennes et celles des autres) et je sais ce que valent les amitiés collaboratives ici même nouées. A bientôt.

Publié le 03 Février 2021

Un article intéressant dont l'ambition, si j'ai bien compris, est d'impulser l'implication des auteurs afin de recréer l'ambiance qui avait prévalu les premières années après la création de monBestSeller.
L'idée force pour faire passer le message est astucieuse : la gradation "être intéressé", "être concerné" et "être impliqué".
Et pour l'introduire, le pire dans le contre-exemple : les auteurs qui se publient pour être lus… mais qui ne font pas l'effort de lire les autres, qui ne répondent pas aux commentaires, qui ne s'impliquent pas dans la vie de la communauté, qui ne se sentent pas davantage concernés, dont on peut douter qu'ils soient pour le moins intéressés. Ceux-là ne sont hélas pas rares, et il est probable qu'ils ne liront pas cet article.
A l'opposé, d'autres se sentent concernés par l'apport nécessaire à la vie de la communauté, signent des commentaires dans les articles ou tribunes, dans les pages des écrits de leurs collègues, devenant parfois des bêta-lecteurs sollicités pour leur expérience et leurs conseils pertinents.
D'autres encore répondent au souhait majeur évoqué par une implication plus soutenue. Je pense en particulier à la minorité labellisée mCL, dont l'objectif est de mettre deux livres en avant chaque semaine et d'en sélectionner un par mois pour participer au Prix Concours monBestSeller.
La plateforme a un espace réservé pour que les auteur(e)s viennent s'y exprimer sur des sujets intéressant l'ensemble de la communauté, qu'ils peuvent proposer. J'aime l'expression choisie : « avec ses débats, ses prises de bec, c’est le cœur battant de notre petite entreprise ». Mais « Tribunes, articles... hélas, la denrée se fait parfois rare. » Impression ou réalité ? Usure ? Routine ? Indifférence ?
Je suis convaincu que l'initiative « nouveau monBestSeller plus communautaire, plus solidaire, plus participatif » portera ses fruits.
Le nombre de commentaires déjà postés me semble augurer d'un renouveau déjà en marche.
Merci à celle ou à celui qui a eu l'idée de cette piqûre de rappel.

Publié le 03 Février 2021

@lamish @Catarina Viti @Kroussar etc...
J'ai lu cette tribune et les commentaires de tous avec grand intérêt. Il est vrai qu'après avoir parcouru cette dernière, j'envisage MBS sous un angle plus ouvert. Émettre un avis sur les oeuvres des autres auteurs ne me pose pas de problème. J'ai d'ailleurs commencé en qualité de lectrice.
Les articles et autres tribunes, passage obligé sur l'écrit, me faisaient penser à des exercices imposés, comme en classe. Je suis plus à l'aise quand je rédige mes nouvelles. Mon imagination est un Mustang qui n'aime pas être bridé. Ne le prenez pas mal. Il n'y a rien de péjoratif, MBS est un espace de liberté d'expression incroyable. C'est moi qui refuse "l'obstacle ".
Et pourtant, une communauté n'existe que par la volonté de ses membres. La philosophie première de MBS s'est peut-être délitée au fil des années, avec de nouveaux arrivants (comme votre servante) qui n'ont pas compris son "vivre ensemble " loché par ses turlupins un chouïa cabotins, ou des participants plus bienveillants. 
Cependant, il ne faut rien imposer, mais suggérer, communiquer, expliquer. 
Une implication plus active de ma part est à considérer, et il se peut que je me frotte à cet exercice excellent pour décrasser des neurones ronronnant dans leur routine, quitte à me faire étriller par des histrions malévoles. Mais on ne peut pas plaire à tout le monde... Et c'est tant mieux. Rien ne vaut une bonne joute littéraire, même lorsque elle culbute dans la vulgarité la plus extrême. 
Merci Bisous Merci pour ce partage 

Publié le 02 Février 2021

..... ..... Bonjour ici, bonjour à tous,

..... ..... Viendrait-il à l'idée de Catarina Viti de lire et commenter les livres de ceux qui ont été sélectionnés au concours du meilleur livre de l'année, de faire oeuvre d'exemple ? Pratiquer la condescendance ? De partager intellectuellement et littérairement, d'échanger avec ses collègues du concours, se faire remarquer d'intéressement, d'aimer ? Non. Eux ne le font pas et toi non plus mais tu en parles, tu parles... Musso n'a pas le besoin de la reconnaissance de Bussi... Tes confrères-adversaires du concours auraient apprécié un message d'encouragement plus personnalisé. Ils ne sont pas de simples prospectus, et tu parle, tu parles...
..... Et Lamish d'inlassablement répéter à sa manière les mêmes choses dites et d'en exprimer sa morale. De le dire à tous pour l'expulser d'elle-même. Ce qu'elle doit de se dire à elle-même et qu'elle reproche à l'ensemble, à tout le monde et qui n'est personne, de sa part, comme d'un poison à expurger, il me semble vraiment. Simplement se mettre en évidence, écrire un mot pour se montrer à tous. Soeur Lamish " merci ", merci que tu existes, je le sais, nous le savons. Je sais que tu t'envoles d'idéaux, tu voles bas, tu rases. Tu es de nature fatiguée et excessive. Tes lectures sont textuelles, informatives. Il y a beaucoup de gens comme cela et tu es le " beaucoup " de " gens ".
..... Bla-bla-bla de mBS. Je me sens mieux de pas et de moins participer sur ce site. La faute de ces gens qui pratiques le copinage, de ces gens de propositions mais pas d'idées, d'interventions mais polémiques, de suggestions mais de raisons à entendre. Au lieu de taire l'inutile, laisser la place à ce qui peut se faire d'autre, laisser venir ce qui n'existe pas encore et pas encore de venir... mais ne pas occulter, laisser advenir. La faute à mBS qui implore d'être beau parce qu'il l'est moins et qui, d'usure d'implorer sévit l'initiative, sanctionne les moins concernés. De laisser courir les rats jusque, de nombres, la peste vienne. La liberté d'expression ? ...elle est grande cette maxime. Y a t-il, d'un parent, de laisser un enfant abîmer le jouet d'un autre enfant ? N'y a t-il pas une éducation à inculquer ? Un savoir-vivre de vigilance et d'intérêt ? La liberté d'expression n'est pas un habit qui couvre tout, il y en a d'autres à faire valoir. Et après d'autre il y en aura encore d'autres mais de celle-là elle est un camouflage à votre courte vue. A grandir comme cela, vous serez plus de règles et de lois, moins de liberté, plus de paraître que d'être. A la place de fusiller, n'est-il pas d'écouter un lecteur révolté, pour qu'ensuite s'entende ce qu'il a à dire
..... Ici, il n'est pas de conseil qui ne soit réfléchit; ici, il est irruption d'humeur; ici je n'ai rien à entendre. Maintenant est ouvert, ici, l'envie de vos vindictes, le craché de vos humeurs. Vous savez le faire, vous êtes de fierté groulante.
..... A ceux d'être toujours silencieux, d'avoir le droit d'être silencieux, d'avoir le respect d'être silencieux : une petite pensée.

..... A mBS, merci de l'occasion.

Publié le 02 Février 2021

Pour rester sur le sujet par le petit bout de la lorgnette (sur mBS). Très nouvelle venue, pour ce que je comprends du fonctionnement du site, l’interactivité entre auteurs semble en être l’ADN… mais… pour ce qui est des commentaires, si l’on commence à lire un texte et qu’on le lâche en chemin pour cause d’incompatibilité stylistique ou thématique, faut-il quand même commenter en expliquant pourquoi ? //
Il me semble que dire à un auteur ou une autrice qu’on n’accroche pas pour telle ou telle raison (donc avec un commentaire argumenté) n’est pas forcément perçu comme constructif et peut même être déprimant… Quels sont les usages en ce cas ? Ne vaut-il pas mieux le silence ?

Publié le 02 Février 2021

@Alexis Arnaud, @lamish, @Kroussar (et compagnie). Je crois que derrière le silence -je me recentre ici sur la planète mBS- se cache parfois un présupposé : "Les véritables écrivains n'ont pas besoin des autres pour exister ! Ceux qui vont vers les autres sont des tocards. Un véritable grand écrivain, ça écrit et ça se fait admirer. Punto. Il n'y a que lorsqu'il est très très connu et invité partout partout... alors là, il balance des bisous à l'humanité entière (mais juste à l'humanité).
Viendrait-il à l'idée de Musso de soutenir Bussi, à Nothomb de bêta-lire Grimaldi ? Pfffffhihihihihi...
Bon, mais voilà que je délire (redélire). Je vois même arriver des gars tout de blanc vêtus... mais que me veulent-y donc ?

Publié le 02 Février 2021

@monBestSeller
Je pensais plus à cette marmotte là :
https://www.youtube.com/watch?v=N9WWAI066D0
ou
pour être plus explicite :
https://www.youtube.com/watch?v=ScXxy0MI2WQ

Publié le 02 Février 2021

@Alexis Arnaud
oui, on attend que les commentaires sortent de leurs terriers

Publié le 02 Février 2021

Merci pour cette tribune qui dépasse largement le cercle monbestsellerien, et nous confronte aux beaux discours de l'époque, genre si ma tante en avait, on l'appellerait mon oncle.
Pourtant, comme dit la chanson "Il suffirait de presque rien..."
Commencer par s'intéresser à l'autre... sans le regarder toujours à travers son lorgnon.
(qu'ess' que je suis vieux-jeu, ma doué !) (bonne pour les scouts)(pffffffffffff)

Publié le 02 Février 2021

C'est le jour de la marmotte ?

Publié le 02 Février 2021

Alors ?
Comment puis-je croire certains(es) auteurs(es), alors qu'ils sont des dizaines à nous dire qu'ils nous liront... bientôt, enfin s'ils ont un peu de temps, d'ici une bonne dizaine d'années. J'ai les noms comme disait Coluche; la liste est longue, alors attention...
/n
Je penche plutôt pour un tout autre problème que ce fameux manque de temps, toujours évoqué. En fait, monBestSeller vient juste de le rappeler dans sa dernière newsletter... et dans le titre de cet article.

/n
"On veut être lu, mais on ne veut pas lire, on veut des commentaires, mais on n'en fait pas, et quand on a par chance des commentaires, on n'y répond pas... ou presque pas..."
Et MBS d'ajouter "Solidarité, réciprocité, justice, c'est toujours le devoir des autres, rarement le nôtre. Enfin pour beaucoup".
/n
Alors ? Mesdames les Autrices (Oui, on dit ça maintenant), Messieurs les Auteurs, arrêtez d'être hypocrites et lisez un peu les autres... Cordialement Jean-Claude dit Kroussar.

Publié le 02 Février 2021