La comparaison est flatteuse bien sûr, je me rappelle de cet échange dans Amadeus entre le roi, à qui Salieri soufflait à l’oreille, et Mozart, lui disant que sa musique comportait trop... de notes ! Alors, votre opus, trop... long, point d’interrogation ? Ou, la générosité débordante et la diversité des sujets abordés impose derechef ces débordements donc. Sans doute. L’important je trouve, c’est l’intérêt, la curiosité devant ces personnages qui apparaissent, votre truculence, le verbe fier. Et aussi la musique qui fait tourner les pages. Il y a des descriptions qu’elles soient du jardin ou de la soupe ou de Luna sur la plage ou d’Hélène la mariée ou de toutes ces espèces d’oiseaux roucoulant en concert avec les amoureux, qui sont des merveilles. Bref j’ai aimé vos longueurs, vos mondes curieux et ai supporté leurs excès ! (ps. Bravo aussi pour le titre de votre livre)
Publié le 23 Février 2022