Ça m’arrive parfois de vous dire : « le texte qui suit est un texte que vous n’avez jamais lu ».
Non pas, parce que je m’évertue à essayer de vous proposer du neuf. Des textes que vous n’avez jamais lus certes, sur des sujets peu usités, mais parce que j’essaie d’aller un peu plus loin que les raisonnements basiques que je me tennais quand j'étais jeunot et que je refaisais le monde.
Le texte qui suit, répond largement à ce cas de figure. Les mots sont choisis volontairement et ne sont pas le fruit des divagations libertines de ma plume.
Il y a le mot « cul » dans le titre, bon ! L’homme le plus pauvre ainsi que l’homme le plus riche en a un et, observation particulière et remarquable : n’en n’a qu’un, c’est con !
On va pas en faire tout un pataquès.
Bonne lecture
FF
Ce livre est noté par
Chère @Fauvette
Enfin, une femme qui reconnaît la justesse de mes propos. Nous sommes entourés de wokistes.
(Comme j’ai du mal avec la définition de ce mot, les gens qui ne veulent pas voir que le cul est le premier plaisir de la vie sont pour moi, des wokistes). je suis ouvert à toutes les autres explications.
Les gens qui ne veulent pas voir la réalité des choses existent depuis le commencement des temps.
Merci de m’avoir lu, commenté et étoilé.
FF
@Stog
Riche et en bonne santé avec de l’amour je suis presque sûr que l’on s’approche du bonheur.
Je viens avec vous.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Chère @Parthemise33
Ça me fait plaisir de savoir que mes textes ont le pouvoir de déclencher la boulimie. Je vais les proposer dans les pharmacies aux anorexiques. C’est un créneaux, vu que les éditeurs ne se bousculent pas sur mon paillasson.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Mon ami @kroussar
Coluche et Freud peuvent dire ce qu’ils veulent, pour moi le fric n’est qu’un moyen d’accéder à un désir louable ou non. Merci d’avoir beaucoup aimé ce texte.
Le cul, la bouffe, le pognon...
Si j'ai bien lu Freud, disait Coluche : les hommes auraient deux problèmes, le cul et le fric. Sachant que tout le monde a un cul, occupons-nous du fric.
Toi, Cher Fernand, c'est la "Bouffe", chacun son truc...
PS : j'ai beaucoup aimé.
@R. Bérurier
C'est bien joli, tout ça, c'est même gouleyant, mais ça ne nous dit pas de quelles insultes vous parlez...
@Jack and Jill coupent à pique et @R. Bérurier
J’ai du mal à comprendre quelle mouche vous a piqués, mais il me serait agréable que vous cessiez de vous crêper le chignon sur ma page. De toute façon, il se fait tard, je vous laisse les clefs, n’oubliez pas de fermer la porte en partant.
@R. Bérurier
Cher ami
Dans ce texte, je donne les deux premiers plaisirs de la vie, mais de suite après, c’est probablement de lire des commentaires comme le vôtre, et de plus, généreusement étoilés.
Merci.
@Chanelle75
Ma chère Chanelle quel plaisir de lire un commentaire aussi élogieux accompagné d’une bordée d’étoiles. Que demander de plus ?
Merci.
@Jack and Jill coupent à pique
C'est pas l'heure de la pilule ?
La classe, vous savez ce que c'est ? C'est de se retirer comme un prince des pages que vous saturez. Vous n'aimez pas ? Passez votre chemin et arrêtez d'emmerder le monde.
Vous sautez sur les dernières nouveautés comme la vérole sur le bas clergé dans l'inique but de démolir les auteurs au seul prétexte qu'ils ont oublié une virgule.
Mais ça, c'est vrai, c'est la grande classe !
@R. Bérurier
Quelle classe !
PS : Mais de quoi parlez-vous ?!?!?!?!?!?!...
@Fernand Fallou
Essayez plutôt le costume de Guignol.
@Jack and Jill coupent à pique
Je me disais bien qu’un jour des êtres exceptionnels comme les hommes qui tombent à pique allaient découvrir ma nature de penseur. Déjà à ma naissance, ma mère savait que je serais un grand penseur, vu le temps que j’ai mis à sortir en me disant « Naître ou ne pas naître, v’là une bonne question ! ». Puis plus grand, j’ai fait un stage de comptabilité d’où cette tendance à conter, on ne se refait pas. Le penseur conteur… c’est pas mal ça !
Faudra que je me trouve un costume, un peu comme Batman ou Superman.
@Fernand Fallou
Peut-être aurez-vous du mal à le croire, mais vous nous êtes fort sympathique. Toutefois, si vous commencez à vous poser comme un penseur original, il va nous falloir réviser nos sentiments pour vous. Un conseil : restez le conteur que vous êtes, votre vraie place est là.
@galodarsac
Cher Patrick
Ça me fait plaisir d’avoir de tes nouvelles, j’étais à la limite de l’inquiétude. Faut pas croire que c’est si facile que ça de se poser des questions que personne ne se pose. Merci d’avoir pris du temps pour me lire et me commenter. C’est vrai qu’il y aura une suite à cet essai. Mais je n’en ai pas encore écrit la première ligne.
Il faudra un peu de patiente.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
@Isabelle Blackeney
Tiens, tiens ! V'là d'un seul coup que vous nous connaissez très bien ! Petit prétentieux, négligeable péteux...
@Zoé Florent
Ma chère Michèle, c’est sûr, j’aurais pu appeler ce texte « Sexe, amour et gastronomie », ça fait beaucoup plus sérieux, plus intellectuel, mais ça fait plus de cinquante ans que mon coiffeur essaye sans succès de me faire une tête de premier de la classe. Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Chère @Isabelle Blackeney
C’est toujours un plaisir de lire ce genre d’humour, merci pour ce compliment qui me va droit au cœur. Même si Bernard et Bianca, non c’est pas ça, @Jack and Jill plantent des radis pour je ne sais quelles utilisations culières soporifiques. Chacun ses souchis comme on dit à Kotyo.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Cher @Joseph Victor Marclair
Je suis très heureux que vous ayez aimé ce texte et le choix de son titre pour lesquels j’avais quelques angoisses. Merci de les apaiser par ce commentaire généreusement étoilé.
Cher @Jack and Jill plantent des radis
Je voulais simplement prévenir les âmes sensibles de l’emploi du mot « cul ». Dans la mesure où sur terre, chaque homme, chaque femme en a un, il n’y a pas lieu de ni de s’ébaudir, et ni de s’en étonner, de s’en ébahir, de s’en éberluer, de s’en ahurir, de s’en interloquer, de s’en abasourdir d’en rester confondu, de s’en intriguer, d’en avoir le souffle coupé et d’en faire tout un pataques comme vous faites.
J’en suis désolé pour vous.
Merci d’avoir pris tout ce temps pour commenter mon synopsis.
FF
@Fernand Fallou
Nous retiendrons de votre essai philosophique que l'homme n'a qu'un cul et que c'est con. C'est une hypothèse hardie (non pas que l'homme n'ait qu'un cul - nous ne sommes pas là dans la spéculation mais plutôt dans l'observation scientifique ; et il n'y a nul besoin de microscope, de spectroscope ou de cyclotron pour s'en apercevoir ; l'oeil seul suffit ; surtout lorsque le cul appartient à une gente demoiselle bien appareillée - mais que cela soit con). En effet, et même si les fabricants de toilettes seront évidemment de votre avis (il faut penser au chiffre d'affaires), c'est aller un peu vite en besogne que de prétendre que la restriction culière à une seule et unique unité est cause du malheur de l'humanité. Car, M. Fallou, l'Homme aurait-il deux ou trois, voire quatre ou cinq, trous de balle, est-ce que cela serait suffisant pour qu'il s'ébaudisse davantage. C'est très discutable, et, d'ailleurs, saint Walter Closet d'Edimbourg, dans son "Discours sur les causes théologiques de la constipation hérétique", se prononce dans le sens contraire. "Nous avons interrogé nombre de premiers communiants à travers toute la chrétienté, écrit-il de sa plume autorisée, et tous répondent en choeur qu'un seul cul est suffisant pour se faire bien sodomiser par la prêtrise". Vous voyez donc, M. Fallou, que, sauf à vouloir à tous prix bouffer du curé, votre hypothèse ne résiste pas à l'épreuve des faits. Il ne vous reste donc plus qu'à faire pénitence et à prier pour que le Ciel demeure ouvert aux multiculistes (comme on les appelle) de toute obédience.
PS : Nous laissons le soin à la Florentine de vous octroyer les cinq étoiles de la visibilité. Nous ne voudrions pas la contrarier.