Parthemise33 a noté ces livres

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@Vanessa Michel Oups ! Mille confuses ! J'avais oublié l'inoubliable ! MBM
Publié le 14 Septembre 2025
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@A.Z J’ai ri, mais alors j’ai vraiment ri, comme une hyène sous caféine. Ce moment m’a ramenée à une avalanche de souvenirs délicieux : Les collègues en transes, telles des houris devant un eunuque (non ébréché), à la vue de la première échographie. Les injonctions contradictoires des amies, mères, tantes, voisines, médecins : « Six biberons, pas plus ! » « Laisse-le pleurer, ça muscle les poumons ! » « Ne le laisse jamais pleurer, il va finir sociopathe ! » Et puis, les pleurs. Les nôtres, ceux du baby. Mais le vrai luxe : pouvoir clouer le bec aux mecs qui fanfaronnent avec leur « service militaire ». Leur malaise quand je leur lance : « Bon, maintenant, on va vous raconter nos accouchements. » Un pur bonheur. Merci Bisous Merci pour ce moment de vérité hilarante
Publié le 04 Septembre 2025
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@Vanessa Michel Bon, ben voilà, voilà. Je suis en pyjama, emmitouflée dans mon plaid en coton, avec un thé trop chaud que j’ai déjà renversé deux fois… et vous, vous êtes là à me briser le cœur avec ces histoires. Franchement, c’est abusé. Votre style poétique, est comme une berceuse triste qu’on écoute en boucle en se demandant pourquoi on pleure alors qu’on allait juste checker Insta. Vos personnages ? Ils ont posé leurs valises et squattent mon cerveau après avoir signé un bail à durée indéterminée. Merci Bisous Merci pour les frissons, les larmes, et les petits ouch dans l’âme. Finalement, je laisse tomber le thé pour un chocolat chaud. Le seul breuvage me permettant de survivre à ces montagnes russes
Publié le 04 Septembre 2025
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@Annie Pic Dans un roman, on peut digresser, ralentir le rythme, s’égarer un peu. Au théâtre, pas le temps de respirer. Chaque réplique doit tomber juste, comme une balle de ping-pong bien placée. Vous avez réussi l’impossible : maintenir l’attention du public (moi-même). On rit, on s’émeut, on se dit “aïe” devant certaines piques bien senties. J’ai même cru entendre Guitry glousser dans un coin et murmurer : « C’est cruel, donc c’est bon. » Quant au reset… Participer à ce genre de redémarrage existentiel, j’hésite. J’ai déjà du mal à redémarrer mon grille-pain… Mais avons-nous le choix, quand même les horloges refusent de tourner dans le bon sens ? Merci. Bisous. Merci pour m’avoir amené à réflexiver sur l’Après, ce grand mystère. Vous en proposez une option. Elle est possible. Ou pas. Mais elle existe. Et c’est déjà beaucoup.
Publié le 01 Septembre 2025
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@Zoé Florent Chère Michèle, Je t’ai laissée surfer en paix sur le tsunami de commentaires avant d’y lancer ma petite vaguelette… pas de quoi mouiller les chevilles, mais assez pour dire que j’ai adoré ! Ta phrase-fleuve m’a fait sourire : elle ferait pâlir Proust et vaciller Combescot. On devrait la proposer en analyse logique aux enfants privés de cahier de vacances… ou aux adultes en quête de sensations fortes grammaticales. Ton grand-père m’a rappelé un arrière-grand-père que je n’ai jamais connu. Maréchal-ferrant, il est mort jeune, victime d’un coup de sabot de cheval qui a tourné en septicémie (je précise : le coup, pas le cheval qui lui, a dû mourir depuis de vieillesse). Tes souvenirs d’enfance sont racontés avec un tel talent qu’on a l’impression d’y être, planqués derrière le buffet, à respirer les odeurs, rire, pleurer, et observer les personnages hauts en couleur, à la fois attachants et légèrement crispants. Merci Bisous Merci pour ce délicieux moment de lecture.
Publié le 04 Août 2025

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