Judith Le Ribaut

@LucieDelacroix merci pour ce roman choral riche d'enseignements sur l'univers carcéral et les liens familiaux. Je me suis plongée avec délices dans Vannes, où j'

@BAPTISTE29 Merci pour ce partage qui narre une réussite exceptionnelle dans le sport. J'ai en revanche trouvé votre roman beaucoup trop long, il y a quelques lourdeurs. Achille fit ci, Noah fit ça, trop de personnages se croisent à mon goût (Clarisse, Jeanne, Lise, Maryline et j'en oublie)... La prose s'éternise. Vous pourriez peut-être gagner du peps en privilégiant les dialogues? J'ai noté quelques fautes de français, votre récit gagnerait à être relu et écourté à mon avis. Bonne continuation, j'ai trouvé votre personnage de Noah intéressant par son handicap et sa résilience.

@Wilfrid TETARD Merci pour ces tranches de vie... Inindulgence et humable sont très peu usités. J'ai aimé "Mme Carek, là depuis l'origine, peut-être même avant", le pitbull atrabilaire qui me semble être un bon portrait, et votre description de l'open space des DRH. Humour, amour et surf se mélangent pour le plaisir des lecteurs.

@CamilleDescimes Merci pour ce roman empli de personnages fouillés et attachants, que l'on retrouve au fil de vos pages. Vous parlez du féminisme avec des mots justes. La paranoïa est bien évoquée à mon avis, elle fait parfois commettre des actes monstrueux, comme c'est le cas ici. J'ai beaucoup aimé votre métaphore des chaussettes trouées et l'absurdistan, même si j'ai, quelque part dans ma bibliothèque, les voyages en Absurdie de Stéphane de Groodt... Quelques petites notes suivent (fautes d'orthographe notamment) : on écrit vous courez avec un seul "r". page 50 nous n'appréciions pas (nous sommes au passé), page 118 la moitié du cheval m'a échappé, page 122 je ne me permettrai pas, page 132 quand j'aurais terminé mon papier, page 137 les tétées, page 143 je l'ai embrassée page 150 me rapportait... Bonne relecture et merci pour ce partage. Amicalement, Marion.

@Nathalie Ruiz merci pour ces nouvelles qui nous mettent effectivement face à nous ! J'ai beaucoup apprécié L'Heure miroir avec les rêves (prémonitoires?), moins les fautes de français relevées ici et là, et pourquoi l'interligne change-t-il à partir de la page 99? Vous avez semble-t-il beaucoup d'imagination et vos personnages sonnent juste. Merci encore et bonne continuation, amicalement, Marion.