Marie Berchoud

Biographie

Auteure, lectrice, enseignante, éducatrice, mille rôles en une personne, comme bien d'autres !
Entrée dans le monde à Lyon. Entrée dans le monde du travail par l'usine (payer mes études, disais-je, et j'étais libre d'expérimenter, choisir, aimer, au lieu de me laisser confiner en classes prépas), et finalement la fac, les relations internationales, voyages, échanges, recherche, actions universitaires internationales...
Ouvrages publiés : en auto-édition, huit romans ou pire, en édition classique, un recueil de nouvelles ; autres ouvrages : une dizaine (je ne compte pas les rééditions). + Nouvelles en revues, ça entraîne la plume et l'imagination
Perspectives : continuer, pardi ! Et partager. Nouveau bouquin, L'orthographe, ça commence à l'oral, éd. Chronique sociale, Lyon

Marie Berchoud a noté ces livres

5
Encore une très bonne nouvelle ! Et peu importe que la chute soit peu abrupte (litote), le coeur y est, avec le style, et j'ai marché ! Bravo ! Je lirai d'autres textes de l'auteure.
Publié le 18 Février 2023
5
Un univers artiste et parisien, mais pas seulement. car il s'en passe dans les maisons sous les arbres. Arriver, s'enfuir, comprendre et pas tout à fait mais presque... Cette histoire de disparition dans le milieu de l'art met en scène des personnages à identité forte, et parfois un peu trop pour... (être honnête ? hum, je n'en dirai rien) Et puis, au total, la vérité s'assemble, les liens se nouent et c'est .. quasi-évident. On referme le roman et on se dit (on, je) : oh la la ! Comment n'y avoir pas pensé ? Eh oui, tout lecteur aime se faire balader quand c'est tramé avec art et astuce...
Publié le 17 Février 2023
5
Jolie nouvelle, grave et sensible. On cherche la clé, on avance comme dans de la neige fraîche, il y a des traces ici et là, sous les arbres, de la neige encore fraiche et la nuit prochaine le gel l"'aura fossilisée jusqu'à plus amples précipitations. La fin est absolue de logique des vivants. Merci.
Publié le 17 Février 2023
5
Quel plaisir que la diversité ! Je ne parle pas ici des "pinaillages" inconséquents, mais d'abord et surtout des lectures sur les lectures, en une ouverture qui semble s'épanouir au fil des échanges. Il y a des talents de lecteurs et lectrices très divers, et ça aussi, c'est bien. La variété des lectures fait écho à la variété des écritures et des expériences. Cela porte un nom simple : l'humanité. Dont la tâche la plus urgente est d'augmenter son poids spécifique, et de diffuser ce qu'il y a de meilleur dans l'humain.
Publié le 20 Avril 2020
4
Parallel, Les lignes exilées. Mon interrogation et mes éléments de soutien … L’auteur par son pseudo serait en résonance avec son titre ; alors, est-ce la personne d’un seul récit ? cela donne de la force, mais fragilise, aussi. Dans ce long récit complexe, les réseaux font communiquer Jakab Kalai alias Nocturnal, habitant de l’est européen, plus précisément la Hongrie (mais il n’y restera pas) et DaMihiMortem [donne-moi la mort, en latin, pseudo, mais la fille est française). Lequel est le plus désespéré ? la fille, semble-t-il. Mais le jeune homme vibre en écho à sa justesse, dit-il. Le tout dans des dialogues un peu longs ; apprendre à ne conserver que l’essentiel serait plus fort, je trouve. Car la tragédie est bel et bien là – aussi. Une épure plus forte et fine et dense me semblerait meilleure ; car cet ouvrage a du potentiel (ou plutôt son auteur). L’idée de départ est excellente, le style est net, les mots bien choisis. A mon avis, il faudrait juste resserrer le texte et l’action, sans se laisser déborder par les séquences dialoguées à distance ; il y aurait moyen de les reformuler, pour ne garder que les répliques essentielles. Mais ces dialogues s’arrêtent, DaMihiMortem a-t-elle cédé à ses démons suicidaires ? P. 39, le lecteur apprend qu’elle s’est jetée sous un train… mais elle en réchappe, cette Cassandre. Bon suspense, car le jeune Jakab craint ce que signifie le silence et va chercher à la rejoindre. Leur vie ensuite m’a paru un peu longue et détaillant trop de sentiments complexes mais fugitifs (ce qu’on ne sait pas alors !). Mon impression : + / - J’ai apprécié le rapport aux livres (Le Maître et la marguerite, si beau texte !) et à la culture, et l’ancrage dans le temps présent. Mais les excès même des deux protagonistes m’ont semblé sans distance, donc à reformuler. Pour un autre livre, plus abouti, car mûri. Les lignes exilées devront être oubliées puis reprises, dans un autre moment de vie (me semble-t-il), où l’indétermination aura pris du lest, et Parallel se sera posé-e ( ?).
Publié le 29 Novembre 2019

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Le plein de livres. Lus, à lire. Mais pas encore assez vite, et puis ici on n'est pas au championnat de lecture rapide. Quand je pense que mon premier livre publié en ME a porté sur ça ... c'était une commande et j'avais besoin de sous. Quand on est jeune, c'est ça.... L'à valoir du contrat, c'était (en francs): 1500 à la signature, et 1500 à la remise du manuscrit ! J'ai bouclé trois livres en un an et ça m'a permis de financer ma thèse. Sic. Ensuite, pour me défouler de la veine intello, j'ai publié des bêtises pour le journal L'Emmerdeur international (contrepoint à l'Idiot International de J-E Hallier)... et un autre éditeur m'en a demandé. Ah mes romans, je les écrirais quand ???? J'ai attendu et voilà. Blog ? Bientôt, juré craché promis

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