Parthemise33 a noté ces livres

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« Les victimes à peine au bord de l’ouverture disparaissaient comme une goutte d’eau sur une plaque rougie,et une fumée montait dans la grande couleur écarlate. Cependant l’appétit du Dieu ne s’apaisait pas. Il en voulait toujours. Afin de lui en fournir davantage , on les empila sur ses mains avec une grosse chaîne par-dessus ,qui les retenait. Cela dura longtemps, indéfiniment jusqu’au soir. Puis les parois prirent un éclat plus sombre. Alors on aperçut des chairs qui brûlaient. Quelques uns même croyaient reconnaître des cheveux, des membres, des corps entiers. (...) Le bûcher, sans flamme à présent,faisait une pyramide de charbons jusqu’à ses genoux ; complètement rouge comme un géant tout couvert de sang , il semblait,avec sa tête qui se renversait,chanceler sous le poids de son ivresse. » Salammbô Moloch ch 13 Cher@Fernand Fallou Je ne saurais dire pourquoi, mais la lecture de votre roman m’a immédiatement remis en mémoire ces quelques lignes de Flaubert. Difficile en effet de parler de l’horreur des Camps. Vous y arrivez à la fois avec puissance et délicatesse. Votre compassion pour toutes les victimes de cette folie lucide et organisée se ressent à chaque instant. Comme d’habitude, votre récit m’attrape dès les premières lignes et je le suis, toujours curieuse de savoir jusqu’où il va m’emmener. Mêler alchimie et histoire comme si cela était évident, fallait oser ! Tous vos mots sont importants et les actions s’enchaînent parfaitement. Vos personnages sont humains dans leur force, leur faiblesse et leurs paradoxes.Je vous offre ces cinq étoiles. Je sais que vous aurez à cœur de les partager avec ceux qui furent abandonnés par leur bonne étoile dans la nuit et le brouillard. Merci Bisous Merci
Publié le 01 Juin 2020
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Cher @Laurent Moussard 3 Votre histoire m’a profondément touchée. Votre style est efficace.Au début , j’ai retrouvé l’atmosphère insouciante du livre de lecture « Mamadou et Bineta ». Puis j’ai entendu le chant poignant d’un griot ponctué par le balafon, la cora et le djembé. Vos personnages sont attachants. Votre fiction n’en est pas une, hélas , pour des milliers de gens. C’est un beau portrait de cette mère Courage, de ses enfants et de leur rage de vivre « quand même » que vous nous offrez . Au bout de l’espérance, il y a le rêve.Merci bisous merci
Publié le 01 Mars 2020
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Cher@Landry les fêtes et la magie de Noël permettent à l'imagination de se renouveler en permanence. Merci pour cette pièce de théâtre déjantée où des alliés improbables tentent de sauver M Noël. Il fallait le faire et vous l'avez fait, avec brio. Merci bisous merci. Et très bonne année à vous.
Publié le 01 Janvier 2020
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@Max Jangada C'est un texte dur que vous nous offrez. Il m'a fait penser à l'Indien de Gilbert Bécaud. Une chanson que les moins de vingt ans ne connaissent pas. Elle m'avait profondément marquée. C'est très loin de l'histoire romancée de Sacagawea. Voici cinq étoiles pour l'espoir. Bisous merci bisous
Publié le 28 Novembre 2019
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@Philippe Clausels Belle promenade dans un labyrinthe qui dévoile sa logique au fil des pages. Comme l'ADN de nos ancêtres qui se mélange et qui inconsciemment nous façonne génération après génération. C'est peut-être cela l'éternité. Celle-ci n'a ni passé ni futur . Comme nos rêves. Recevez ces étoiles qui vous serviront de fil d'Ariane pour visiter d'autres réalités. Bisous merci bisous
Publié le 28 Novembre 2019

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