Zoé Florent

Biographie

"Si tu éprouves le désir d'écrire, et nul autre que l'Esprit n'en détient le secret, tu dois maîtriser connaissance, art et magie :
la connaissance des mots et leur mélodie,
l'art d'être sans fard,
et la magie d'aimer ceux qui te liront."
(Khalil Gibran)

Élève des Beaux-arts, puis infirmière psychiatrique, Michèle, alias Zoé Florent (ex-pseudo d'auteur Lamish) a ensuite travaillé dans des secteurs très variés.
Après dix années passées en Espagne, elle s’est installée en Haute-Savoie.
Dans un genre réaliste, le plus souvent intimiste, elle a écrit de nombreuses nouvelles, des novellas, des romans...

Zoé Florent a noté ces livres

5
@Alhéna Skat Merci, chers Alhéna et Jan, pour cette nouvelle adapatation en prose d'une des fables de Jean de La Fontaine. Merci pour sa toujours très jolie mise en page aussi. /// Cette fable-là me procure une impression mitigée, un peu similaire à celle de "La cigale et la fourmi". Je crois que cela tient au fait qu'aucune des attitudes des rats en question ne me permet de trancher vraiment, car celui des champs, sur la fin, a ce même côté péremptoire qui m'a toujours un peu dérangée chez la fourmi. /// Je vous espère en forme, vous souhaite une bonne soirée et vous embrasse, Michèle
Publié le 07 Février 2024
5
Bonsoir@Damian Jade. Beau, poétique, métaphorique, contemplatif, méditatif, un tantinet alambiqué... une réussite pour les amateurs du genre, mais un léger regret pour moi, car je préfère de loin le style pour lequel j'avais eu un vrai coup de cœur à la lecture de "La complexité des choses simples". Je sais que tu le sais, mais je réitère : je préfère Damian Jade spontané, qui écrit aussi avec son corps, à Damian Jade qui se regarde écrire, et ne le fait qu’avec sa tête ;-). Indépendamment de ce goût très personnel, j’ai trouvé que la richesse du style tend à étouffer les émotions d’un récit qui en fourmille… /// Concernant le fond, et pour connaître un proche qui a vécu des expériences similaires sur une plage océane où il avait ses habitudes, j'ai lu une réalité plutôt qu'un fantasme. À travers ce filtre, l’acharnement à ne pas ouvrir les yeux m’a paru quelque peu improbable. Les garder fermés une fois que l’on a compris, que l’on est rassuré sur les intentions, oui, mais non sans apercevoir ne serait-ce qu’une silhouette à contre-jour ou derrières des lunettes fumées au préalable. /// Ceci sincèrement dit, je salue ce grand pas que tu as franchi dans la confidence. Pas qui motive peut-être ton choix « plumitif », d’ailleurs ;-), mais pas qui exprime une plus grande confiance en tes lecteurs. Merci pour cela. Merci également pour ce nouveau partage plus rapide que prévu. Bises et bonne soirée, Michèle
Publié le 07 Février 2024
5
@MILA DESJARDINS Une histoire émouvante que la quête d'Ansia, tout comme l'amour que son mari lui porte et celui qu'elle porte à son fils ou à Yvette. /// J'ai senti que vous vouliez aborder de nombreux sujets, mais de façon pudique encore, par suggestions, sans les approfondir. Une allusion à une agression subie, la promesse d'évoquer les autres non tenue... Mais il serait malvenu de ma part de vous en faire le reproche. Je sais la difficulté de se confier au lecteur, cet inconnu ;-). /// Pour le reste, c'est à dire la forme, elle reste perfectible comme souvent. Personnellement, j'ai trouvé qu'elle manquait un peu de nerf. Il y a également un problème chronologique, me semble-t-il. Ensia née dans les années 80. Catherine (par déduction) dans les années 60 et Yvette les 40, ça ne colle pas. Je me suis d'ailleurs demandée pourquoi remonter jusqu'en 1850, soit quatre générations plus tôt... /// Un beau roman court, donc, qu'il conviendrait de retravailler un peu... Merci pour ce partage et bon dimanche. Amicalement, Michèle
Publié le 04 Février 2024
5
@Michel LAURENT Bonjour, cher Michel. Je ne m'attendais à trouver cette nouvelle ici, ce matin, et l'ai relue pour le plaisir. Plus que le sujet, que je connaissais déjà, ce sont les traits d'humour, le choix et l'assemblage des mots qui m'ont conquise en deuxième lecture. Lorsque je finis un écrit en me disant "Pas un manque, pas un mot de trop", cela m'émeut toujours. /// "J'en fis ma déesse, elle fit semblant de me prendre pour son Dieu", les vidéos messenger, l'incompatibilité des goûts en matière de littérature... Tout cela est à fois élégant, drôle, jubilatoire... /// Merci d'avoir décidé de partager cette friandise, bises et bon week-end, Michèle
Publié le 03 Février 2024
5
@alain.lamoliatte En plus d'être un bel hommage à la mémoire de votre grand-père, "César" en est également un à celle de tous ces hommes et ces femmes de l'ombre qui ont contribué à libérer notre pays. J'ai aimé qu'il rétablisse un peu l'équilibre dans la mémoire collective. Mémoire qui reste très axée sur des événements considérés majeurs, tel le débarquement de Normandie, qui ont tendance à occulter ce qu'il se passait dans d'autres zones de conflit. /// J'ai beaucoup aimé les personnalités de César et de Joseph. Leur amitié vraie, mâtinée d'une complicité, d'une sincérité rares et d'une propension à l'humour, qui arrache des sourires au lecteur en dépit d'un contexte dramatique. /// Pour la forme, elle reste perfectible encore, mais votre style sans fioritures colle bien à ce genre de récit, le rend immersif. /// Merci pour ce partage et bonne fin de journée. Amicalement, Michèle
Publié le 01 Février 2024

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