Zoé Florent

Biographie

"Si tu éprouves le désir d'écrire, et nul autre que l'Esprit n'en détient le secret, tu dois maîtriser connaissance, art et magie :
la connaissance des mots et leur mélodie,
l'art d'être sans fard,
et la magie d'aimer ceux qui te liront."
(Khalil Gibran)

Élève des Beaux-arts, puis infirmière psychiatrique, Michèle, alias Zoé Florent (ex-pseudo d'auteur Lamish) a ensuite travaillé dans des secteurs très variés.
Après dix années passées en Espagne, elle s’est installée en Haute-Savoie.
Dans un genre réaliste, le plus souvent intimiste, elle a écrit de nombreuses nouvelles, des novellas, des romans...

Zoé Florent a noté ces livres

5
@Marius Kline Un voyage métaphorique, symbolique et philosophique, lu d'une traite, qui m'a évoqué "Le petit prince", de Saint-Exupéry, en plus long et plus actuel ; en plus humoristique aussi ;-). Un voyage qui semble ne pas vouloir prendre fin, avec celle-ci aux allures de "never ending story"'. D'autres destinations à envisager pour sortir de la boucle, me semble-t-il, parmi lesquelles l'enfance et l'autre genre, entre autres. /// Votre style alerte comme votre plume fluide, précise et concise, collent bien au sujet. Merci pour ce partage original, qui offre un agréable moment d'évasion, même si l'on retrouve en filigrane des questions existentielles que nous sommes tous appelés à nous poser à un moment ou à un autre de notre vie. Cela tient certainement au fait d'avoir su aborder avec légèreté ce que tant tendent à dramatiser. /// Merci encore et bonne fin de journée. Amicalement, Michèle
Publié le 21 Avril 2024
5
@Michel LAURENT Lisant les premières pages, je me suis dit “Michel aurait-il été frappé par la foudre ?”, puis, notant que tout y était, jusqu’à l’enfant conçu sans coït et l’intervention de fées, “Eh non ! Autre corde à son arc, il s’agit bien d’un conte avec son lot d’improbabilités et de nunucheries :-)”. Constat rempli d’étonnement, forcément, mais constat non figé, fort heureusement, car j’ai retrouvé ce qui me plaît de ta plume dans les derniers paragraphes, et le sourire à te lire, comme souvent. /// Du plus loin qu’il me souvienne, les contes m’ont toujours laissée très dubitative, quand ce n’était pas incrédule. Autre temps, autres mœurs, pourrait-on conclure. Pourtant, je ne compte plus les fous-rires, pris par mon petit-fils et bibi avant qu’il ne sache lire, à la lecture de certains contes modernes. Décidément, cette tendance à prendre les enfants pour des imbéciles m’étonnera toujours ;-)… /// Merci pour ce surprenant partage, fort bien rédigé, comme d'habitude. Bises, bonne fin de journée et bon week-end, Michèle
Publié le 20 Avril 2024
5
@Sharewood Autre temps fort, dont vous avez l'art, avec ses décalages et ses étrangetés renforceurs d'ambiance... Votre signature ;-). Merci pour ce nouveau partage fort apprécié et bonne journée. Amicalement, Michèle
Publié le 17 Avril 2024
5
@JEAN FELIX EVEN "La faim justifie les moyens", "Tel est pris qui croyait prendre", sont les adages que m'ont inspiré votre pièce. Une pièce divertissante, conclue par un imprévisible double twist final, le reste se devinant rapidement, probablement dans le but d'ouvrir de fausses pistes et mieux les amener, ces fameux twists. /// Merci pour ce partage et bonne soirée. Amicalement, Michèle
Publié le 10 Avril 2024
5
Bonjour, cher @Dialeb INIRGIT. J’ai failli abandonner votre essai, car la notion de vacuité du point de vue de la philosophie orientale ne m’a jamais convaincue. Encore moins en tant que seule philosophie qui permettrait l’émergence de la conscience. J’ai d’ailleurs eu un mal fou à appréhender ce mot dans le sens que vous lui accordez, car dans mon esprit, vacuité = vide intellectuel, absence de valeur et non monisme métaphysique. /// J’ai donc failli abandonner au bout de 200 pages, lues comme un rappel de lointaines réflexions et discussions métaphysiques qui, si elles m’ont intéressée sur le moment, m’ont vite lassée. Même impression de tourner en rond au bout du compte, comme souvent dans la pratique de l’onanisme intellectuel, risque évoqué par votre interlocutrice, d’ailleurs. J’ai connu dans les années 70 quelques personnes qui en bavaient, sur le chemin de l’illumination. Pourtant, il était plus connu et mieux éclairé que de nos jours, ce chemin ;-)… /// La curiosité l’emportant, j’ai cependant lu les 488 pages. Ceci grâce aux répliques de l’IA. Une IA, comble des combles pour moi, avec laquelle j’ai été plus souvent en phase qu’avec vous :-) ! Une IA qui vous suggère d’être plus accessible, d’expliquer comment vous vivez votre évolution spirituelle, comment elle s’inscrit dans votre vie ordinaire, comment elle pourrait s’inscrire dans celle d’autrui. Une IA à qui vous ne répondez jamais sur ces points, alors que vous la questionnez sur les potentielles réactions des lecteurs à vous lire. Une IA qui invite à l’exploration continue de la nature de la réalité et de la conscience quand vous êtes figé dans une vision métaphysique radicale. /// En conclusion, j’ai envie de vous demander où vous en êtes de votre ascèse, de votre chemin vers l’illumination, car il me semble, à la lecture de cet essai, que vous cherchez moins à communiquer, à dialoguer, qu’à vous consacrer entièrement à votre quête intérieure. /// Merci pour cet ambitieux partage et bonne fin de journée. Amicalement, Michèle
Publié le 03 Avril 2024

Pages