Un recueil de poèmes variés, chantant la vie, l'amour, la mort, le temps qui passe...
Mais surtout la beauté du vers et de l'alexandrin, hommage à nos maîtres d'antan dont nous revendiquons l'héritage, loin, très loin du vers libre et de la poésie moderne.
Ce livre est noté par
@Jacques Lauzel Pas de soucis, toute critique est bienvenue tant qu'elle est constructive ! Je ne faisais qu'exprimer ma conception de la poésie, que je ne conçois pas en dehors des règles qui la définissent. Je suis très heureux que mes vers vous soient agréables. Au plaisir d'échanger de nouveau.
Bien à vous
-LGA
@galodarsac Merci de votre bienveillance... malgré ma légère critique d'un travail de très haute tenue... Je vous prie de bien vouloir pardonner : d'ordinaire je ne critique pas, je ne sais ce qui m'a pris (Je parlais surtout du comptage des pieds). Je continue de vous lire avec bonheur. Scusez encore confrère du genre le plus difficile de la littérature. Jacques
Merci beaucoup @Jacques Lauzel, je suis heureux que ce recueil vous ait plu.
Le "respect marqué" des règles est précisément ce qui définit la poésie. Sinon on finit par faire du vers libre, ce qui est à peu près la même chose que du football avec les mains ou de la natation sur du sable.
Toutefois, certains poèmes de ce recueil datent d'une époque où je ne maîtrisais pas toutes les règles, et même si la plupart ont été corrigés en fonction des règles de base, il ne vous aura pas échappé que quelques-uns ne respectent pas les règles de l'alternance par exemple. Je ne pouvais pas les corriger sans tout casser, donc tant pis, ils resteront de facture néoclassique !
Bien à vous
-LGA
@Francis LEDER Merci infiniment pour ce commentaire et les étoiles virtuelles qui l'accompagnent :) Ce recueil contient certains de mes plus anciens poèmes (certains ne respectent pas toutes les règles, que je maîtrisais mal alors, et je n'ai pas pu tout corriger sans tout casser :)
Je suis ravi que certains de mes vers vous inspirent, c'est le Graal de tout poète !
Pour la frime (parce qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien), le "Rondeau de nos vieux jours" du cycle d'Ombline, déjà primé l'an dernier à Flammes Vives, vient de recevoir le prix Anne Péron... Comme quoi il ne faut jamais négliger ce que nous inspirent nos belles !
Vos fables sont toujours dans ma file de lecture, elles s'approchent à petits pas, le moment de m'en délecter approche...
Bien à vous
-LGA
@galodarsac
Je viens de relire avec toujours le même plaisir ce magnifique recueil de poésie sensible et forte à la fois.
Toujours brillant et toujours inspiré, l'artiste !
Quel plaisir de s'y perdre et de s'y retrouver. On peut même, deçà delà, cueillir quelques vers dont on ferait une sage devise ou une interrogation permanente (ou les 2 !) tels que "qu'espèré-je encor pour croire que je rêve ?"
Impressionnant !
Bravo pour ce talent, bravo pour ce travail, bravo !
Francis Leder
Ps Si l'application fonctionnait (!) j'aurais mis 5* !
@Florence Ollivier Merci beaucoup pour votre commentaire, "les vieux amants" m'est venu en pensant à mes propres parents qui ont passé près de 60 ans de la sorte. Et quand le mur est tombé, j'ai bien eu peur que le lierre ne le suivît de près... Fort heureusement il a fait mentir mon poème et c'est tant mieux !
Si vous aimez le thème de l'amour, je vous invite innocemment à jeter un œil à ma "ballade des pauvres gens", mi-poésie mi-prose, et bien sûr à "libertinages", recueil dont le titre annonce la couleur.
Merci encore.
Bien à vous
-LGA
j’ai bien aimé les vieux amants avec des passages vraiment bien trouvés
#Soudés depuis toujours, l’un à l’autre complices
Ils ne tolèrent plus le moindre espace entre eux#
Mais diantre comment une telle fusion leur permet-elle encore d’exister en tant qu’individus me suis-je demandé, sachant que de tels couples existent, en ayant même croisé ?
@galodarsac le thème de l’amour vous l’aurez compris, avec bien d’autres tropismes est au coeur de mon écriture….
@GiL740 Merci beaucoup Gil pour ces étoiles et ces éloges !
Le cycle d'Ombline et, hélas, le volet funèbre sont du vécu, c'est sans doute ce qui leur donne toute leur dimension. Quant au manifeste et aux ballades, ils ne pouvaient que trouver écho chez un poète de votre trempe !
Je vous remercie également pour vos remarques détaillées envoyées en MP, j'y répondrai consciencieusement dès que j'aurai la tête hors de l'eau, promis !
Bien à vous
-LGA
@Zoé Florent Merci infiniment pour ces nouvelles étoiles !
Ce poème, comme tout le "cycle d'Ombline" d'ailleurs, est du vécu, c'est sans doute ce qui lui donne sa profondeur.
Tes félicitations me vont droit au cœur !
À très bientôt
@Pierre d'Arlet Merci infiniment pour ces belles et élogieuses étoiles !
Les poèmes en octosyllabes sont surtout des ballades et rondeaux de style médiéval, ce qui peut paraître contradictoire avec la poésie classique puisque les règles de l'époque étaient différentes. Mais l'exercice m'amuse énormément, et je trouve dans ces formes archaïques un charme et une force qui méritent, selon moi, d'être ressuscitées. Le décasyllabe était d'ailleurs, jusqu'au XIVème siècle, le vers épique le plus prisé avec sa césure 4/6. Mais il est vrai que l'alexandrin sera toujours le vers royal par excellence, celui qui, comme le violon, ne souffre aucune médiocrité !
Effectivement je vous ai cité dans un commentaire (et même plusieurs), parce que vous le méritez de par vos poèmes qui non seulement respectent les règles, mais en plus expriment une atmosphère poétique réelle, ce qui est la raison d'être même de la poésie. Et bien sûr, je ne cache pas que je suis fier de me dire que j'ai participé au déclenchement de cette révélation ;)
C'est une bonne nouvelle qu'un nouveau poète potentiel nous ait rejoint, s'il a besoin d'encouragements n'hésitez pas à me l'indiquer !
Bien à vous,
-LGA
@LadyAutrice1800 Un grand merci à vous pour ce commentaire généreusement étoilé. Je suis très heureux que ma poésie vous touche, car c'est l'art dans lequel je me donne le plus.
Bien à vous
-LGA
@Vyctor Ego Et bien, voilà un commentaire qui me coupe le souffle !
Merci infiniment Vyctor pour ces dithyrambes qui me récompensent de mes efforts autant qu'ils flattent mon ego!
Merci aussi pour votre top 5. Incendie est un des plus anciens poèmes du recueil, trente ans cette année et à peine remanié depuis ! Dans Guet-apens, le fripon dans mon esprit est Eros, mais on peut y voir qui l'on veut.
Le volet funèbre a été composé en quelques jours, suite au décès de mon père au printemps 2020. Un accouchement dans la douleur, d'où son aspect poignant en effet.
Concernant le chant royal, c'est sans doute celui qui m'a donné le plus de mal. C'est la forme fixe la plus contraignante qui soit, d'où sans doute leur si petit nombre ! La plupart au moyen âge, et le dernier en date (avant le mien) au 19ème siècle ! Je n'en composerai pas d'autre je pense !
Cela dit je préfère pour ma part le "rondeau de nos vieux jours", pourtant plus court et simple.
Pour la petite histoire, Ombline est celle dont je parle dans ma bio, qui m'a réveillé de ma torpeur littéraire... pour me jeter un an après ! C'est la vie ;)
Le cycle des vieux poètes est effectivement un coup de gueule contre la soit-disant poésie moderne, qui n'est que de la prose déguisée (et qui peut certes être de qualité en tant que prose...) Je suis, vous l'avez bien compris, un farouche partisan du respect des règles classiques, même si bien sûr je ne suis pas exempt d'erreurs quelquefois.
Je reçois, écuyer, l'appui de ton grand zèle,
Et ton quatrain me comble et de joie et d'ardeur:
Que nos alexandrins, comme lances d'honneur
Abattent le vers libre, et qui déjà chancelle ! :D
Enfin, les vieux amants... j'en ai tant vus qui se sont suivis dans l'au-delà à peu de temps d'intervalle, l'un soutenant l'autre, son unique raison de vivre... Cela m'a toujours bouleversé, et l'idée m'est venue devant une grange dont un mur ne tenait plus que grâce au lierre qui l'enserrait...
Bref, merci pour votre lecture ô combien gratifiante de cet ouvrage, dont je suis ravi qu'il vous ait plu.
Pour ce qui est des poètes classiques, s'ils se font rares effectivement il en demeure quand-même quelques uns ici-même. Voyez par exemple "Tristesse" et quelques autres de Pierre d'Arlet.
Et pour finir, je vous remercie encore une fois, en me citant (très modestement) moi-même : "Jamais je n'ai croulé sous tant de compliment" (c'est dans "le poireau d'Hercule")
Bien à vous
-LGA
@élu AdolpheMbou@ Merci beaucoup pour ce commentaire, j'en suis très touché
Bien à vous
-LGA
@galodarsac, j'ai été happé dès la première page. Félicitations !!
@Elisa Galam Un grand merci à vous Élisa pour cette généreuse pluie d'étoiles !
Le rondeau et le départ sont du vécu, d'où peut-être leur force d'émotion particulière. Quant au cycle des poètes, c'est un va-et-vient entre le regret des maîtres d'antan et la désolation de ce qui sévit aujourd'hui...
Je suis ravi que ma poésie vous touche, et vous donne l'envie de la découvrir plus avant. Au plaisir de vous lire !
Bien à vous
-LGA
@Chanelle75 Merci à vous chère Chanelle pour ces belles étoiles, puisse la magie de la poésie guérir les âmes et apaiser les cœurs en turbulences. C'est un remède dont on peut user sans modération, ne vous en privez pas !
Bien à vous
-LGA
@Parthemise33 Mille mercis pour toutes ces étoiles ! Le "rondeau" fait partie du cycle d'Ombline, la fameuse amie et amante littéraire qui a relancé en moi l'ardente plumitude... et m'a largué un an plus tard ! Reste un pentaptyque qui tapisse, dans mon souvenir, un doux moment d'échanges de diverses natures...
Le volet funèbre fut composé d'une traite, l'été dernier, suite à ce triste événement qui marque tôt ou tard chacun d'entre nous... et les douleurs décrites sont, hélas ! universelles. Mais si Vivaldi s'invite en clôture que demander de mieux !
Bien à vous
-LGA
@Fernand Fallou merci beaucoup cher Fernand, pour ces étoiles qui éclairent l'aube où je les découvre ! Les odes à la belle sont du vécu, ainsi, hélas, que le père qui s'en va, voici tout juste un an... Les autres poèmes sont plus hétéroclites, les premiers ont presque trente ans, et le cycle des saisons à mis plus de vingt ans à voir le jour (temps de gestation déconseillé pour un poète pressé de rencontrer le succès !)
Merci encore, bien à vous
-LGA
Merci @AndréSe pour vos étoiles et vos commentaires. Si mes vers peuvent peut-être sembler compliqués parfois (vous êtes le premier à me dire cela), c'est dû aux règles de versification qui sont parfois exigeantes. La poésie telle que je la conçois obéit à ces règles, établies par Boileau et Malherbe en leur temps, à l'opposé du vers libre qui à mes yeux est de la prose - qui peut être magnifique, là n'est pas la question. C'est le sens du passage sur les vieux poètes.
Le "volet funèbre" a été écrit en quelques jours, en juin dernier, lors du départ de mon propre père, c'est sans doute ce qui le rend touchant. Mais le cycle d'Ombline, également, est du vécu !
Bien à vous
-LGA
@Capucine Fleur, votre commentaire me touche, le troubadour joue de sa viole mais aussi de son rebec et de son dulcimer :)
Vous êtes la deuxième à me gratifier de la qualité "suranné", que je prends comme un magnifique compliment: tel Brassens je revendique mon âme moyenâgeuse !
Bien à vous
-LGA
Je m’aventure un peu dans un genre méconnu, j’aime ce titre évocateur d’images de la vie. Il y a un rythme qui swingue, bien sûr les alexandrins. On voit le troubadour et sa viole ( ? une viole vraiment ? pas sûre du tout !), Cyrano sous le balcon. Totalement suranné et sûrement rassurant. Bravo !
@lamish Un grand merci pour ces étoiles chère Michèle ! De mon côté je m'aperçois que l'extrait casse un peu l'unité de l'ouvrage... Je rectifie donc en publiant la totalité, chaque cycle y prenant tout son sens : peut-être l'apprécierez-vous davantage dans son ensemble ?
Par ailleurs je continue de vous découvrir, et je ne suis pas déçu ! À très bientôt !
- LGA