Vanessa Michel

Biographie

Peintre et écrivaine depuis plus de quinze ans, j'ai longtemps travaillé à la rédaction d’articles et d’ouvrages ayant trait à la Seconde Guerre locale auvergnate.

Je viens de publier en auto-édition deux recueils de nouvelles : « Les Oiseaux chantent même en hiver » et « La couleur de cette journée ».

Mes thèmes de recherches sont les sentiments, la subjectivité, la poésie, la recherche de lumière, la mémoire...

Vanessa Michel a noté ces livres

3
Superbe sélection ! * "Le mendiant", je la trouve exceptionnelle et pour ainsi dire : parfaite. Je suis une inconditionnelle des phrases interminables… Quelle maîtrise faut-il pour y parvenir avec une telle légèreté ! J'ai donc aussi été chanceuse dans * "Chaque moment". Je ne vais pas en dire trop, mais il n'y a que chez Tchekhov que j'ai apprécié ce "procédé". Ce qui me fait penser que vous avez ce point commun de parvenir à vous faufiler assez merveilleusement dans différents types d'âme... (Bien qu'il me semble avoir plus de tendresse pour ses personnages - aussi pathétiques soient-ils). * La dernière, sur le fil, entre "presque-réalité" et "quasi-folie" comme vous savez le proposer… J'aime bien quand votre plume fait semblant d'hésiter, alors qu'on ressent toute sa jubilation ! J'admets avoir ri à l'évocation de poitrines "rondes comme des ballons d'eau chaude"... C'est pour le moins surprenant ;-) Bon week-end monsieur Cortex.
Publié le 11 Avril 2025
3
Chère Appoline, je me sens bien embêtée, parce que je trouve les taupinières bêtement salissantes. Alors je vais faire à la fois vite et par antonymes : banal, passable, triste, mou & malhabile. En bref : j'ai trouvé ça mortel ! Toutes mes amitiés à l'incommensurable fratrie. P.S.: Chapeau bas pour les parenthèses, j'ai détesté !
Publié le 11 Avril 2025
3
Ça claque, ça file, ça fuse. Outre la légèreté, chaque détail se révèle si juste et réaliste - et tout en drôlerie, ça reste toutefois en poésie. J'ai apprécié la majestueuse outrance qui plane dans la folie du langage, sa vitesse, et cette fièvre qui consume Rose l'espace d'un court instant - avant qu'elle ne revienne au feu naturel de son quotidien et de son grand amour. J'ai adoré ! Merci beaucoup. @Valérie-Pison
Publié le 10 Avril 2025
3
Cher Cortex, je ne suis pas du tout amatrice du genre ! Il y a quelques années, Christine Angot affirmait qu'elle n'était pas une intellectuelle, mais une artiste. J'ignore s'il s'agissait d'une coquetterie de sa part en tout cas : ça n'en est pas de la mienne. Vous avez dû vous en apercevoir avec mes retours, je lis bien plus avec l'âme, les sens et le cœur qu'avec la tête. Tout cela pour expliquer que j'ai eu des craintes, mais je ne vous ai pas trouvé abscons. Certaines subtilités ont dû m'échapper, je pense, mais j'ai appris des choses ; d'autres regards. Pour tout vous dire, j'ai adoré l'excipit. C'est lui qui m'a le plus parlé, et pas seulement car il y a l'extrait de cette fantastique nouvelle ("bien troussée", dirait l'un, "un bijou", dirait l'autre). Merci donc pour cette découverte ! lue naturellement en (re)pensant beaucoup à Olivia. Je me demande depuis quelques épisodes à quel point Olivia est Adrien ou Adrien est Olivia (...)Votre essai vient de répondre en grande partie à ces questionnements ;-) Bien cordialement.
Publié le 10 Avril 2025
3
C'est magnifique, tout ce qui passe et s'illumine en si peu de pages… La pudeur alliée à la force de l'amour est tellement pertinente et belle ! La dernière phrase clôt de poésie cette étape d'une vie, complexe, rendue simple grâce à la pureté des sentiments. J'ai beaucoup aimé Damian, merci !
Publié le 10 Avril 2025

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