Vanessa Michel

C'est magnifique, tout ce qui passe et s'illumine en si peu de pages… La pudeur alliée à la force de l'amour est tellement pertinente et belle ! La dernière phrase clôt de poésie cette étape d'une vie, complexe, rendue simple grâce à la pureté des sentiments. J'ai beaucoup aimé Damian, merci !

La pudeur de la description finale augmente l'efficacité et l'effroi. Merci pour ce partage Michèle ! Bien à toi.

Cher Joker, j'admets avoir été d'abord effroyablement déçue (ayant déjà précommandé douze mugs de "Coup de foudre à Bidon") en constatant que vous aviez complètement changé de sujet. Ça va être plus compliqué en termes de produits dérivés avec Gilbert et ses deux tourtereaux... L'écriture est alerte, l'humour s'arrête la plupart du temps avant de basculer dans le trop et surtout : j'ai vachement envie de savoir la suite ! Bien cordialement.

C'est magistral en effet cette semaine... Les pages 15 à 17 notamment sont de vrais chefs-d’œuvre (et je pèse mes mots). Je suis laminée, décomposée et vidée. J'ai même beaucoup pleuré, je l'avoue... Mais je vous en remercie quand même chaleureusement ;-) Vous avez véritablement une écriture et une sensibilité à tomber. Je n'espère qu'une chose : avoir un jour dans ma bibliothèque, un ou des livres de monsieur Cortex - et pouvoir enfin profiter de tout ce que vos mots nous offrent sur papier. Merci ! Merci !

Chère Marguerite, J'aime parsemer mon quotidien de petits et de grands bonheurs, et j'avoue qu'avec "une éternelle hécatombe solaire" et "(…) un superbe oxymore de chair" vous avez contribué à embellir significativement ma journée. La pureté de votre écriture me laisse à penser que certains mots ont dû balancer des jours avant d'être posés au bon endroit, au moment parfait… Le rythme, les sonorités, les équilibres… Quelle maîtrise et quel talent ! Et tout ça en laissant transparaître une singulière sensibilité et beaucoup de tendresses. La qualité de votre écriture et votre amour de la littérature expliquent aisément que vous ne supportiez pas la médiocrité - ou les obscurs patois moldo valaques dont j'ai quelquefois le secret, qui vous hérissent le poil, mais qui me le caressent encore hélas ;-) J'avais essayé rapidement Patchouli, et même si j'avais vu que votre écriture était dingue (impossible de passer à côté!) je n'étais pas rentrée dans l'univers. Je vous suis donc très reconnaissante de republier vos nouvelles. J'aime être soufflée et stupéfaite, avec vous je suis servie ! Mais je vais cesser de ce pas, car je ne voudrais pas vous paraître plus antipathique que nécessaire... Alors, merci Marguerite et toutes mes amitiés à vos frangines.