Michel CANAL

Biographie

Après une carrière militaire ponctuée de mutations ou séjours en France, Outre-mer, Afrique et Balkans, modestement auteur, je suis venu à l'écriture pour relater une histoire sentimentale en deux tomes :
— L'éveil de Claire - Ou l'émancipation d'une jeune femme trop sage (294 pages)
— L'éveil de Claire - Journal intime (331 pages)
suivie plus tard de son complément :
— L'éveil de Claire - Courrier "très intime" (30 pages)
puis de bien d'autres en fonction des circonstances, à découvrir sur ma page d'auteur.

Michel CANAL a publié

Michel CANAL a noté ces livres

3
La note n’était pas un oubli @Lys Jean-Luc, mais un choix pour poster un commentaire incluant des retours à la ligne afin d'éviter l’aspect compact (ce que ne permet pas la rubrique "Je note ce livre"). Toutes mes félicitations pour ce travail de recherche des us et coutumes dans les différents pays où ont étudié les personnages... et pour l’intrigue, très bien menée. MC
Publié le 03 Février 2019
3
@Laure Avedian, il ne s'agissait pas d'un oubli pour la note. Seul le commentaire permet les retours à la ligne (pour éviter l'effet "pavé compact"). Votre histoire, racontée par Marie, est agréable à lire, crédible, bien écrite, bien présentée (format A5, espacement aéré, justification du texte, ponctuation maîtrisée). Le sujet des rêves qui peuvent avoir une incidence future est intéressant et bien traité. Comme tous les auteurs débutants, je sais que vous reviendrez cent fois sur l'ouvrage et que votre roman aujourd'hui pépite en devenir, sera l'oeuvre dont vous pourrez être fière à juste titre. Pour tout cela, chère Laure, je vous attribue la note maximale et vous dis : "bravo". Avec toute ma considération pour votre talent. MC
Publié le 28 Janvier 2019
3
Cher @Didier Leuenberger, encore une pépite que j’ai eu plaisir à savourer. Elle pourrait se satisfaire de plusieurs titres, chacun faisant l’éloge de tout ce qui fait les plaisirs de la vie et d’une existence réussie. Le premier mot donne le ton : « Séduire ». Quel beau mot que celui-ci ! écrivez-vous, englobant tout ce dont votre héroïne avoue avoir le plus besoin : amour, joie, excitation, désir, gourmandise…, ajoutant à bon escient « Ce à quoi devraient ressembler nos vies en quelque sorte. » Prénommée Aline, votre héroïne, gallinacé le plus convoité de la journée le 7ème jour de la semaine que d’aucuns appellent « Le jour du Seigneur », paradant avec son chapeau à fleurs du plus bel effet et sa longue robe mauve, est alerte et goûteuse à souhait pour qui sait apprécier les bonnes choses. Et les bonnes choses, elle avoue avoir su les apprécier — combien le titre est-il approprié ! —, tout comme elle sait vanter ses rondeurs, courbes agréables à l’oeil, d’un ensemble harmonieux, oeuvre de Dieu ayant si souvent inspiré les plus grands sculpteurs d’antan. Quand elle énumère les bonnes choses, c’est de choix et de plaisirs qu’il s’agit : délices, douceurs, veloutés, croquant et appétissant. Tout le contraire de l’énumération, par le diable (qui avait pris ce soir-là la face ronde et les traits indécis du jeune sacristain), des bonnes choses servies dans la salle à manger du château après la messe de Noël, pour induire en tentation le révérend dom Balaguère, chapelain des sires de Trinquelage, dans le conte de Noël d’Alphonse Daudet « Les trois messes basses ». La dernière phrase, faisant allusion à madame de Pompadour : « J’aime le champagne parce qu’il me rend belle » est la plus pétillante des chutes, justifiant les choix d’Aline et le titre. Cher Didier, j’ai beaucoup apprécié la finesse de cette nouvelle, autant que la "classe" d’Aline, de ses rondeurs et de son humour.
Publié le 05 Janvier 2019
2.4
Ah, cher @Boris Phillips, que j’eusse aimé te lire en 2013… toi tu existais déjà en tant qu’auteur qui te cherchais dans tes styles d’écrits, moi je n’avais encore pas songé à écrire et ne connaissais même pas l’existence de monBestSeller. Mon avis vient donc tardivement, après que tout a été dit. Te sera-t-il utile ? J’ai articulé mon commentaire dans un but précis (tu me connais : esprit d’analyse, formatage professionnel…) — Le titre est bien choisi, le début du synopsis : « Quatre intellectuels… Chacun d'entre eux a ses propres caractéristiques… un but commun : analyser l'homme en tant qu'être sexué masculin, au travers de ses diverses formes de sensualité... » annonce précisément le sujet traité, que tu as catégorisé "Roman - Psychologique". — Le ton est donné avec le sujet de la méditation du jour : "l’érection, la manière de la susciter, les effets, la conclusion logique, commentée de manière savante et éloquente", qui fait suite à celle du mois d'avant : "l’éducation du sexe, par et pour le sexe". — Les personnages (qui existent dans la vraie vie), trois initialement : Campbell, un Anglais (veston croisé, chapeau mou, cheveux blancs, qui pose ses avant-bras sur ses cuisses quand il s'adresse aux autres ou attend une réponse, études de théologie avant d'entrer dans l'ordre des Jésuites ; Heinrich, un Allemand (fidèle à la casquette de marin, emmitouflé dans un caban, barbu fourrageant dans sa barbe, ancien ingénieur maritime) ; Ernest, le Français, cadet de l’assemblée (pantalon de velours côtelé brun, pull-over beige à col roulé). Comme les trois mousquetaires, ils seront quatre à la fin de l’extrait. Charles, l’homme de service (pantalon et cravate noirs, chemise blanche, gilet cachemire fantaisie, croise et décroise souvent les jambes, câline affectueusement son dôme lustré). Viré par sa patronne, estimé "gabarit à leur mesure", il sera invité à prendre place auprès des trois autres (qualifiés de "penseurs", d'un aréopage d'intellectuels qui ne court pas les rues pour apporter la quatrième dimension aux conciliabules). — Le lieu : la terrasse du restaurant "A la cocarde", assis autour d'un guéridon, ou chez l'un ou l'autre, chez Ernest la fois d’avant. — Le texte : l’échange entre intellectuels de nationalités différentes contribue à la richesse du vocabulaire, propos croustillants, termes argotiques, de la sexualité taoïste. J’ai apprécié le choix des descriptions (poussées jusqu’aux caractéristiques vestimentaires et la gestuelle). L’introduction du quatrième personnage, simple barman mais observateur, qui parle allemand, s’immisce dans les conciliabules, surprend par son érudition et ses initiatives (comme celle de commander le repas). Il s'avèrera qu'il avait été professeur agrégé de philosophie. Son passé permet au groupe d’orienter la conversation sur la pédophilie et l’homosexualité. Si j’ai autant détaillé mon commentaire, cher Boris, c’est pour en arriver à la conclusion que ton roman, de par sa conception, aurait pu faire une excellente pièce de théâtre. J’ajouterai juste qu’il y a trop de propos en allemand (sans traduction). Cela nuit à l’attention des lecteurs. Autre défaut dont tu es conscient pour me l’avoir exprimé, la typologie : règles de bureautique, ponctuation aléatoire, texte trop compact. Ce texte perfectible fait partie de ton passé. J’imagine ton plaisir pour l’écrire, et les excellents moments passés avec tes amis. C’est toujours un plaisir de te lire.
Publié le 04 Janvier 2019
3
Mon cher @Jean-Bernard Hamaïde, j’avais à coeur de combler une lacune : lire le roman Prix du meilleur roman mBS 2017, du même auteur que celui plébiscité par les lecteurs en 2018 sous pseudo. Tout comme il n’y a pas de fumée sans feu, il n’y a pas de succès révélé par les lecteurs sans talent de l’auteur. Vous excellez pour camper vos personnages dans le Paris des années 60, tout en incluant, par petites touches, le contexte plus large de la fin de l’époque coloniale. Le parcours du môme Léo Larivière entraîne le lecteur dans une longue évolution faite de rebondissements qui donnent à la fois le cadre, le style et le rythme. Sans dévoiler l’intrigue, on va de surprise en surprise, jusqu’à comprendre pourquoi le titre : "Le fils du Père Noël". Les nombreux personnages qui gravitent ou graviteront autour de Léo, parfois attachants, parfois glauques, contribuent au succès du roman, un chef-d’oeuvre de construction. Merci pour ce moment de lecture.
Publié le 18 Décembre 2018

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Le tome 9 de "Macron, Napoléon des temps modernes ?" est publié, en lecture gratuite sur notre plateforme monBestSeller. Bonne lecture à celles et ceux qui souhaitent revivre le fil d'actualité de nos dirigeants, de nos institutions et des événements qui ont secoué la France depuis le 9 juin 2024. L'écriture du tome 10, qui prend le relais dans la chronique du second quinquennat à compter du 5 décembre 2024, après la démission du Gouvernement de Michel Barnier, est bien avancée, le Gouvernement du nouveau Premier ministre François Bayrou ayant jusqu'ici résisté à toutes les motions de censure.

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