Alhéna Skat

@Brigitte Deleruelle Très joli poème, bien écrit qui invite à prendre le train pour une destination inconnue au pays du rêve. À mon retour, je vous raconterai mon voyage. Amicalement, Alhéna.

@Saphir Demetria Bonjour Saphir, Très joli nom de pierre précieuse qualifiée « Pierre Céleste » par sa couleur ciel et de par l’église qui la choisit comme symbole de la lumière de Dieu sur la Terre, c’est pour cela qu’elle est appelée « Pierre des Papes ». Mais, pardonnez-moi, je m’égare... Pour vous donner mes impressions sur votre roman, je dirai en quelques mots qu’il est passionnant dans la description d’une lutte continuelle entre le bien et le mal. J’ai bien aimé le début que j’ai relu, ensuite pour le déroulement de l’histoire, à mon avis, mais ce n’est que mon ressenti (surtout ne prenez pas comme une critique négative le fait que j’ose porter un jugement qui ne concerne que moi), je dirai donc que, pour ma part, j’ai trouvé trop de séquences relatant l’agression de Faust sur d’innocentes victimes destinées à assouvir sa faim, ce qui a mon avis alourdit le texte. Quant à la scène finale, je l’ai lue à minuit dans mon lit… Brrr… !!! … Brrr… vivement que la « Bête » meure, et ainsi soit-il... Lumière éteinte et bonsoir, chère Saphir, avec mes félicitations. Avec toute ma sympathie, et au plaisir de vous lire, Alhéna

Bravo ! Bravo ! Pour ces phrases aux mots émouvants et profonds. Au vu des commentaires qui vous sont adressés et mérités, je ne peux qu’y ajouter les miens, sincères. J’ai adoré la toute dernière fin : – « Bientôt l’autre cruel n’aura plus de visage, Le temps et ta jeunesse tranquillement les effacent » Tant il est vrai que sur le long chemin de notre vie seul le Temps est le grand maître capable de recouvrir de son manteau nos souvenirs. Avec mes chaleureuses pensées, Alhéna

@Parthemise33 Un grand bonjour, Désirant vous mieux connaître par vos œuvres, je me suis arrêtée pour lire votre nouvelle. Je me trouve être admirative et conquise par votre écrit, d’une plume où le grandiose burlesque s’inscrit dans les retrouvailles de personnages de fiction qui se fondent dans un décor majestueux autour d’une invitation où le lugubre côtoie des mises en scène cocasses. Le menu composé par des boissons avec des noms si bien adaptés à la situation m’a fait rire à m’en étouffer. Les personnages, sans oublier le renard et la chouette, et les dialogues bien construits nous amènent dans un univers ou le fantastique ne pouvait être décrit que par une auteure de votre valeur. Vous êtes une grande Dame de la littérature et je m’incline devant une telle fertilité d’esprit. Continuez à enrichir notre âme, chère Dame Parthemise, et permettez que je vous adresse avec des félicitations les plus belles fleurs de mon jardin.

@Zoé Florent Merci de m’avoir lue, et pour les étoiles qui accompagnent le commentaire. À mon tour de mieux vous connaître, en lisant votre nouvelle : « Ce ne sera pas écrit » Tout au long de votre récit, j’ai retrouvé le même cheminement, que j’ai subi moi-même, développé par l’indifférence de ceux qui entourent votre vie. L’histoire que vous avez écrite respectant le dénouement en partant du début : * La recherche du sujet, enfin trouvé * Le développement de l’histoire * La chute (hallucinante !) qui en régit une fin digne d’un grand Hitchcock. Je vais continuer à vous lire en histoire courte, le temps me manque en ce moment. Bravo, Zoé, j’ai beaucoup aimé, je vous encourage à persévérer. Avec toute mon amicale sympathie, Alhéna